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Votre avis sur Harry Potter et la Coupe de Feu ?
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Les nouveaux personnages sont à nouveau très bien choisis et introduis ! Le trio grandi et devra affronter rien de moins qu'un bal et donc trouver un(e) cavalier(e) ! En plus d'autres épreuves, des cours, des premiers amours... Aussi bon que les précédents avec de meilleures performances pour les 3 acteurs principaux et des méchants que l'on apprécie même s'ils sont méchants. Très bon !
Harry Potter et la Coupe de Feu est un film hyper bien réussi. Certes tout n'est pas comme dans le livre, mais les passages essentiels (pour ma part) sont présents. La saga grandit avec les lecteurs et prend une tournure beaucoup plus sombre. Le jeu d'acteur est bon, les effets spéciaux sont brillants. On est face à un excellent film.
« Harry Potter et la Coupe de Feu » est une nouvelle fois un très bon film fantastique qui nous amène à voyager dans l’univers de la magie et la sorcellerie. L’histoire est riche en aventure et une teinte plus sombre que précédemment. L’intrigue est tout aussi riche, ponctuée de décors proposant un univers propre à cette franchise. Les effets spéciaux sont plus riches et la distribution, outre les nouveaux arrivant, est également en évolution, proposant des prestations plus nuancées. L’ensemble reste un pur divertissement et un égayement visuel.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Pour ce 4ème tome adapté au cinéma, c’est au tour du cinéaste Mike Newell de s’y coller. Reprendre la main derrière la patte minutieuse d’Alfonso Cuarón n’était pas chose aisée ; les lacunes en sont donc rehaussées de grès ou de force. En sabrant volontairement l’intrigue à coup de guimauve, le réalisateur délaisse maladroitement l’atmosphère établit initialement par Chris Columbus. Son film n’est pas mauvais pour autant, loin de là d’ailleurs, mais manque cruellement de peps et de maturité par rapport aux précédents opus. On ne retrouve pas non plus cette rêverie féérique de la magie et des sortilèges à son paroxysme. Hagrid s’amourache pour une géante, et chacun à son cavalier ou sa cavalière pour le bal de noël. On frôle parfois le gentillet, et il nous manque quelque chose ; un je ne sais quoi d’éprouvant et de sensationnel. La petite lueur d’intensité se trouvant forcément dans un pavé de près de mille pages. Seule la dernière partie s’assaisonne de piquant avec cette première apparition concrète de Lord V, celui dont on ne doit prononcer le nom. Le personnage campé par un Ralph Fiennes ténébreux est plutôt cohérent avec la réputation qui le précède. Mais le tournoi de la coupe de feu ne se limite pas à une conspiration vis-à-vis d’Harry Potter. Il réserve quelques surprises et des épreuves éprouvantes, comme un combat à la loyale avec un dragon terrifiant et magnifiquement réalisé, une petite plongée dans les eaux infestées de sirènes du lac noir, et surtout le final claustrophobique du grand labyrinthe. Un véritable enchainement de tours de force pour notre héro et ses fidèles amis, beaucoup plus axés à leurs préoccupations d’adolescents. Comme chaque volet nous réserve son lot de nouveaux personnages, celui-ci n’échappe pas à la règle : Cédric Diggory ou encore Viktor Krum. Toujours ces décors surréalistes et ces effets spéciaux à couper le souffle, pour un plaisir néanmoins partagé. Un 4ème volet peut être moins marquant, mais non négligeable, faisant office d’interlude plus guilleret. 4/5
Un blockbuster. Ce film est le seul de la saga à être un vrai blockbuster, un film dont l'énorme budget se comprend et se voit. Le scénario, déjà très en marge du livre, est très simple et contrairement aux autres films, n'essaye pas de transmettre un message. ce qui fait que les différents messages du livre sont passés sous silence et on perd donc en consistance. Vraiment dommage car il y avait de quoi faire un bon film, toujours aussi bourré d'action. Car à ce niveaux, le film ne pêche pas, c'est bien le seul (avec HP7-2). Mais il comporte lui aussi ses longueurs, même si elles peuvent paraître moins lourdes. cependant l'univers sombre du livre, le retour de Voldemort et les tâches sont plutôt bien retransmis. Les acteurs du trio entrent dans cette période de "disette" qui ne s'éteindra définitivement que dans HP7-1. Aucun n'est vraiment satisfaisant : entre une Emma qui joue plus sur ces sourcils que sur autre chose, un Rupert toujours boudeur et un Daniel des moins crédibles (mais c'est le meilleur des 3 sur ce film), on se demande vraiment ce qui s'est passé. Pour les acteurs secondaires, là aussi on est déçu, seuls Brendan Gleeson et Ralph Fienes et Miranda Richardson (les nouveaux en gros) se démarquent du lot : Gambon n'interprète pas Dumbledore (à croire qu'il a pris de l'adrénaline), Rickaman est trop peu présent et sous exploité, tout comme Coltrane...seule Maggie Smith s'en sort plutôt bien, mais on est vraiment loin de ce qu'on avait pu voir avant. On ne voit pas Gary Oldman, du moins pas en "vrai", et c'est dommage. Les acteurs campant Diggory (le plus crédible des trois), Krum (moins de carrure) et Fleur (faut pas abuser, 1 dialogue de...3-4 phrase pour Poesy, un scandale quand on connait la Fleur des bouquins) sont sous-exploités, et on y perd beaucoup. Ah, et Katie Leung campe une Cho convenable. Comme je le disais plus haut, le film est spectaculaire. Et il le doit grandement à ses effets spéciaux qui sont sans doute les meilleurs de la saga à ce jour (les dragons, le lac). Tout comme les cascades. La musique n'est pas la meilleure, loin de là. Seul le thème d'intro et quelques autres se démarquent vraiment du lot. Pour le reste, ça correspond bien au film : spectaculaire et grandiose mais sans magie. La réalisation suit le schéma que s'est donné le film, avec des plans à en mettre plein la vue, perdant parfois le spectateur dans tous ces mouvements. Cependant, Newell réussit à nous proposer un film bien plus propre que Yates dans HP5, et plus dynamique aussi. Le seul défaut est l'enchaînement des scènes : un début où elles se suivent à une vitesse folle, puis un grand flottement pendant une bonne demi-heure, voir plus, et après, des scènes d'actions qui se suivent sans de vraie logique, un peu à la Transformers, avec des accalmies plus ou moins bien gérées. Les décors...bah ce sont les même et ils sont toujours aussi magnifiques. Notamment l'ajout de la volière, la Grande Salle lors du Bal de Noël et les fonds du lac. Bien qu'irrespectueuse du roman, cette course poursuite avec un dragon reste magnifique, on voit Poudlard comme on l'a rarement vu. Super ! Un film donc divertissant,ce qui joue en sa faveur, mais qui s'éloigne un peu trop du livre. Non pas que je déplore le manque de certaines scènes, mais celles présentées ne sont pas toujours en accord avec le livre. Un non-fan, ou un non-lecteur, se contera volontiers de ce spectacle, mais un fan pur et dur restera sur sa faim.
Harry Potter et la Coupe de Feu, un film si décrié par les fans de la saga. Et pourtant… Si Mike Newell prend beaucoup de libertés par rapport au livre en supprimant ou en sous-exploitant des personnages et des scènes capitales, il n’en fait pas moins de ce HP4 un divertissement honorable. Grâce à une mise en scène efficace, l’intrigue se tient dans son ensemble et est même rendue captivante, parsemée de scènes spectaculaires et racontée de manière fluide, sans aucun temps mort. L’atmosphère magique est toujours présente, avec cette fois-ci plus de frivolité liée à l’adolescence des héros, mais aussi plus de mystère, d’inquiétude et de noirceur. Cependant, c’est sur la fin que le film faiblit. Après la seconde Tâche du Tournois des Trois Sorciers, les scènes s’enchainent rapidement et certains évènements apparaissent trop soudainement jusqu’à être expéditifs. C’est dommage car c’était là l’occasion de développer certains personnages tels que Barty Croupton et son fils, et d’expliquer les liens qui unissent Harry Potter à son ennemi. Mais pas que le rythme inégal, d’autres éléments font de HP4 un film largement perfectible. Le jeu des acteurs ado comme Daniel Radcliffe et surtout Emma Watson est archi-mauvais. Dumbledore, quelque peu agité, est en totale contradiction avec le personnage, le grand méchant est plus ridicule que réellement terrifiant, et quelques passages sont d’une niaiserie à faire peur. Heureusement que le casting adulte est toujours aussi bon, que la musique de Patrick Doyle donne une âme au film et que le visuel est soigné. En bref, si La Coupe de Feu n’est pas le grand film qu’il aurait pu être, il n’en demeure pas moins divertissant et agréable dans son ensemble.
Le meilleur des quatre premiers épisodes. Chaque personnage a beaucoup gagné en humanité, dailleurs les acteurs ont beaucoup donné deux même
Leur jeu est largement meilleur que précédemment. Les effets spéciaux sont prodigieux, lintrigue est très intéressante et les décors, très sombres, sont somptueux.
Cette fois ci, Mister Potter va devoir concourir, malgré lui, à une compétition dont les épreuves sont toutes folles et plus perieuses les unes des autres. Ce nest pas la seul chose quil devra affront : Ladolescence, Sa première dispute avec son ami Ron et les filles
Mais rien de comparable avec le combat qui clôture la fin de lépisode: cest à dire affronter VOLDEMORT en personne !!!
Cette fois ci, Mister Potter va devoir concourir, malgré lui, à une compétition dont les épreuves sont toutes folles et plus perieuses les unes des autres. Ce nest pas la seul chose quil devra affront : Ladolescence, Sa première dispute avec son ami Ron et les filles
Mais rien de comparable avec le combat qui clôture la fin de lépisode: cest à dire affronter VOLDEMORT en personne !!!
Un bon film avec ses personnages toujours aussi attachants. L'histoire est très entrainante mais dommage que le réalisateur a installé une atmosphère que je trouve pas terrible. 15/20
La coupe de feu, un des meilleurs de la saga, toujours aussi bien réalisé, effets spéciaux magnifique, casting encore meilleurs et une superbe histoire ! Avec le retour de celui dont on ne doit pas prononcer le nom !
Pourtant pas mon livre préféré, Harry Potter et la Coupe de Feu est pour moi le film le plus abouti de la saga. L'histoire prend enfin de l'envergure, au même titre que la réalisation, cette fois attribuée à Mike Newell et, si Daniel Radcliff n'évite quelques mimiques de temps en temps, il y a quand même une amélioration tangible chez les acteurs depuis le premier épisode. Du point de vue de l'histoire aussi, on entre dans une autre dimension: le tournoi change la donne et offre une alternative rafraichissante au schéma narratif classique des précédents épisodes, à savoir: l'année scolaire se déroule sans qu'il ne se passe rien et tous les rebondissements sont concentrés dans le dernier quart d'heure. L'action est donc également mieux répartie sur tout le film au gré des différentes tâches que doit accomplir notre héros, et atteint évidemment son apogée à la fin avec un affrontement d'anthologie entre Harry et Voldemort. Avec cet opus la saga franchit également un cap que ce soit au niveau des enjeux mais aussi du ton général, qui est dorénavant beaucoup plus sombre. Et puis, encore une fois, les effets spéciaux sont bluffants.
Un an après le troisième opus, "Harry Potter et la coupe de feu" est tout simplement le plus intéressant et le plus riche que la célèbre saga a pu atteindre. Le réalisateur Mike Newell, déjà connu pour "Donnie Brasco" dirige de main de maître cet univers merveilleux qui laisse s'épanouir les protagonistes qui entrent dans l'âge pubère et les conséquences de ce changement d'attitude. Les premiers films de la saga étaient principalement destinés à un très jeune public or celui-ci impressionne par sa maîtrise, son intelligence et cette soudaine violence qui noircit le parcours du plus connu des apprentis sorciers. Ainsi, on peut déceler des caractères liés à l'adolescence comme la timidité des garçons envers les filles, la peur de s'amuser, la crainte d'un refus de proposition. Enfin pourra-t-on ajouter aussi que l'intrigue est bien plus exploitée dans ce quatrième épisode confrontant pour la première fois le héros et son pire ennemi. Le scénario ne manque pas d'originalité et sa richesse extraordinaire permet au spectateur de ne pas quitter l'écran pendant une seconde tant le rythme l'entraîne vers un suspense qui grandit de minute en minute. Pour la première fois, la saga de "Harry Potter" s'adresse à un public plus mature et non plus destiné à l'enchantement qui pouvait agacer les parents à cause de l'innocence dégagée par les trois premiers films qui s'interdisaient toute violence explicite. Dans ce long-métrage, "Harry" souffre mentalement et physiquement car il est devenu plus mûr, plus sensible et doit affronter souvent seul les évènements qui l'approchent d'une mort potentielle. Mike Newell signe un blockbuster fascinant, éblouissant, virtuose dans tous les paramètres qui le constituent que ce soit des effets spéciaux toujours très performants ou de l'analyse psychologique de la nature humaine. Mike Newell introduit des éléments dramatiques qui viennent perturber cette tranquillité que l'on croyait inchangeable. Un film brillant destiné à tous les publics.
Plus sombre, plus dense. Ce quatrième volet de la saga harry Potter est une véritable plongée en enfer. Son scénario, particulièrement bien travaillé nous entraîne dans un monde ténébreu et inquiétant. Le réalisateur, quand à lui, nous propose un film sans faille, à la hauteur des attentes des plus exigeants. Je crois que l'on ne pouvait espéré une meilleure adaptation.
On commence a deviner la grandeur de cette série, ici le réalisateur arrive à équilibrer les genres, la magie, les décors féeriques, l'ampleur des personnages, le voile du mal qui se renforce, on suit Harry Potter, et on commence à voir qu'il sera seul face au mal suprême. Au fil des années qui passent à Poudlard, on se sent faire partie à part entière de cette jeune troupe de sorciers, belle réussite
Ce quatrième film encore plus sombre que le précédent, nous offre tout de même de sacré sueurs froides. Toujours aussi aussi palpitant , cet épisode respect toujours l'univers créer par J.K. Rowling .
4ème film de cette saga si chère à mon coeur, "La Coupe de feu" approfondit l'amorce de tournant du "Prisonnier d'Azkaban". Je m'explique : dans les 2ers films, on serait dans ce que l'on pourrait appeler l'enfance avec la découverte, le merveilleux, toutes ces fêtes et cette insouciance. Dans le 3ème et le 4ème, ce serait la pré-adolescence durant laquelle les personnages font face à des injustices, où ils découvrent que le monde magique n'est pas aussi merveilleux qu'il n'y paraît et où ils commencent à s'affirmer et à entrer en rébellion contre certaines autorités. Puis, les films qui suivront, seront le passage à l'adolescence puis à l'âge adulte.
"Harry Potter et la Coupe de feu" se situe donc à cette charnière, juste avant que la saga ne devienne beaucoup plus sombre. Et pourtant, elle aborde ce changement avec une simple compétition entre écoles. Une compétition dans laquelle on peut mourir, certes, mais une vaste compétition entre écoliers tout de même.
C'est l'occasion d'échanges internationaux. Les élèves de Poudlard découvrent ceux de Beauxbatons et de Durmstrang et prennent conscience de l'immensité du monde magique, comme ils avaient commencé à le faire avec la Coupe du Monde de Quidditch. Ils s'émancipent alors : non, le monde magique ne s'arrête pas à Poudlard ou Pré-au-Lard.
Mais la mise en scène est ratée à ce niveau là. Déjà, pourquoi avoir choisi de ne mettre que des garçons chez Durmstrang et que des filles chez Beauxbatons alors que le livre évoque des garçons et des filles dans chaque école ? Ensuite et surtout, pourquoi ces entrées dans la Grande salle ? Les garçons plein de muscles, de barbe et de virilité qui entrent de manière guerrière dans la Grande salle tandis que les filles dansent, soupirent de joie et lancent des petites oiseaux en faisant tournoyer leurs robes ? Théorie du genre, puis-je entendre au fond de la salle !
Avec un tel choix, on a ridiculisé les élèves des autres écoles et surtout on a donné l'impression qu'ils étaient interchangeables.
Même chose avec Viktor Krum qui apparaît comme un tas de muscles dans le film alors qu'il est beaucoup plus subtil et sensible dans le livre.
Mike Newell et son équipe sont passés à côté de pas mal de subtilités du livre. Je comprends qu'ils aient dû passer sous silence certaines histoires comme la S.A.L.E. ou certains personnages comme Ludo Verpey ou Winky (même si j'aurai adoré les voir sur grand écran) parce que le livre est très dense, néanmoins changer le caractère de Krum ou l'identité des élèves des autres écoles n'a aucun sens parce qu'il n'est cette fois pas question de gagner du temps sur la durée du film.
Heureusement, l'équipe technique fait encore une fois un travail formidable permettant de nous faire oublier ces choix douteux. Quel travail extraordinaire ont fait les décorateurs, les costumiers, les accessoiristes, etc ...
Et puis les effets spéciaux n'ont pas vieilli, même 15 ans après.
Donc même si l'on peut trouver quelques choses à redire (comme un rythme un peu trop accéléré au départ où l'on enchaîne beaucoup trop rapidement les scènes), "Harry Potter et la Coupe de feu" reste un très bon film.
"Harry Potter et la Coupe de feu" se situe donc à cette charnière, juste avant que la saga ne devienne beaucoup plus sombre. Et pourtant, elle aborde ce changement avec une simple compétition entre écoles. Une compétition dans laquelle on peut mourir, certes, mais une vaste compétition entre écoliers tout de même.
C'est l'occasion d'échanges internationaux. Les élèves de Poudlard découvrent ceux de Beauxbatons et de Durmstrang et prennent conscience de l'immensité du monde magique, comme ils avaient commencé à le faire avec la Coupe du Monde de Quidditch. Ils s'émancipent alors : non, le monde magique ne s'arrête pas à Poudlard ou Pré-au-Lard.
Mais la mise en scène est ratée à ce niveau là. Déjà, pourquoi avoir choisi de ne mettre que des garçons chez Durmstrang et que des filles chez Beauxbatons alors que le livre évoque des garçons et des filles dans chaque école ? Ensuite et surtout, pourquoi ces entrées dans la Grande salle ? Les garçons plein de muscles, de barbe et de virilité qui entrent de manière guerrière dans la Grande salle tandis que les filles dansent, soupirent de joie et lancent des petites oiseaux en faisant tournoyer leurs robes ? Théorie du genre, puis-je entendre au fond de la salle !
Avec un tel choix, on a ridiculisé les élèves des autres écoles et surtout on a donné l'impression qu'ils étaient interchangeables.
Même chose avec Viktor Krum qui apparaît comme un tas de muscles dans le film alors qu'il est beaucoup plus subtil et sensible dans le livre.
Mike Newell et son équipe sont passés à côté de pas mal de subtilités du livre. Je comprends qu'ils aient dû passer sous silence certaines histoires comme la S.A.L.E. ou certains personnages comme Ludo Verpey ou Winky (même si j'aurai adoré les voir sur grand écran) parce que le livre est très dense, néanmoins changer le caractère de Krum ou l'identité des élèves des autres écoles n'a aucun sens parce qu'il n'est cette fois pas question de gagner du temps sur la durée du film.
Heureusement, l'équipe technique fait encore une fois un travail formidable permettant de nous faire oublier ces choix douteux. Quel travail extraordinaire ont fait les décorateurs, les costumiers, les accessoiristes, etc ...
Et puis les effets spéciaux n'ont pas vieilli, même 15 ans après.
Donc même si l'on peut trouver quelques choses à redire (comme un rythme un peu trop accéléré au départ où l'on enchaîne beaucoup trop rapidement les scènes), "Harry Potter et la Coupe de feu" reste un très bon film.
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