Avis : Harry Potter et la Coupe de Feu - Page 4

Le meilleur des quatre premiers épisodes. Chaque personnage a beaucoup gagné en humanité, d’ailleurs les acteurs ont beaucoup donné d’eux même…Leur jeu est largement meilleur que précédemment. Les effets spéciaux sont prodigieux, l’intrigue est très intéressante et les décors, très sombres, sont somptueux.
Cette fois ci, Mister Potter va devoir concourir, malgré lui, à une compétition dont les épreuves sont toutes folles et plus perieuses les unes des autres. Ce n’est pas la seul chose qu’il devra affront : L’adolescence, Sa première dispute avec son ami Ron et les filles…
Mais rien de comparable avec le combat qui clôture la fin de l’épisode: c’est à dire affronter VOLDEMORT en personne !!!

Un bon film avec ses personnages toujours aussi attachants. L'histoire est très entrainante mais dommage que le réalisateur a installé une atmosphère que je trouve pas terrible. 15/20

La coupe de feu, un des meilleurs de la saga, toujours aussi bien réalisé, effets spéciaux magnifique, casting encore meilleurs et une superbe histoire ! Avec le retour de celui dont on ne doit pas prononcer le nom !

Pourtant pas mon livre préféré, Harry Potter et la Coupe de Feu est pour moi le film le plus abouti de la saga. L'histoire prend enfin de l'envergure, au même titre que la réalisation, cette fois attribuée à Mike Newell et, si Daniel Radcliff n'évite quelques mimiques de temps en temps, il y a quand même une amélioration tangible chez les acteurs depuis le premier épisode. Du point de vue de l'histoire aussi, on entre dans une autre dimension: le tournoi change la donne et offre une alternative rafraichissante au schéma narratif classique des précédents épisodes, à savoir: l'année scolaire se déroule sans qu'il ne se passe rien et tous les rebondissements sont concentrés dans le dernier quart d'heure. L'action est donc également mieux répartie sur tout le film au gré des différentes tâches que doit accomplir notre héros, et atteint évidemment son apogée à la fin avec un affrontement d'anthologie entre Harry et Voldemort. Avec cet opus la saga franchit également un cap que ce soit au niveau des enjeux mais aussi du ton général, qui est dorénavant beaucoup plus sombre. Et puis, encore une fois, les effets spéciaux sont bluffants.

Le tournant de la saga est réalisé de mains de maitre par Mike Newell. Tout simplement génial et jouissif. Un des meilleurs film de la saga à n'en pas douter.

Un an après le troisième opus, "Harry Potter et la coupe de feu" est tout simplement le plus intéressant et le plus riche que la célèbre saga a pu atteindre. Le réalisateur Mike Newell, déjà connu pour "Donnie Brasco" dirige de main de maître cet univers merveilleux qui laisse s'épanouir les protagonistes qui entrent dans l'âge pubère et les conséquences de ce changement d'attitude. Les premiers films de la saga étaient principalement destinés à un très jeune public or celui-ci impressionne par sa maîtrise, son intelligence et cette soudaine violence qui noircit le parcours du plus connu des apprentis sorciers. Ainsi, on peut déceler des caractères liés à l'adolescence comme la timidité des garçons envers les filles, la peur de s'amuser, la crainte d'un refus de proposition. Enfin pourra-t-on ajouter aussi que l'intrigue est bien plus exploitée dans ce quatrième épisode confrontant pour la première fois le héros et son pire ennemi. Le scénario ne manque pas d'originalité et sa richesse extraordinaire permet au spectateur de ne pas quitter l'écran pendant une seconde tant le rythme l'entraîne vers un suspense qui grandit de minute en minute. Pour la première fois, la saga de "Harry Potter" s'adresse à un public plus mature et non plus destiné à l'enchantement qui pouvait agacer les parents à cause de l'innocence dégagée par les trois premiers films qui s'interdisaient toute violence explicite. Dans ce long-métrage, "Harry" souffre mentalement et physiquement car il est devenu plus mûr, plus sensible et doit affronter souvent seul les évènements qui l'approchent d'une mort potentielle. Mike Newell signe un blockbuster fascinant, éblouissant, virtuose dans tous les paramètres qui le constituent que ce soit des effets spéciaux toujours très performants ou de l'analyse psychologique de la nature humaine. Mike Newell introduit des éléments dramatiques qui viennent perturber cette tranquillité que l'on croyait inchangeable. Un film brillant destiné à tous les publics.

Plus sombre, plus dense. Ce quatrième volet de la saga harry Potter est une véritable plongée en enfer. Son scénario, particulièrement bien travaillé nous entraîne dans un monde ténébreu et inquiétant. Le réalisateur, quand à lui, nous propose un film sans faille, à la hauteur des attentes des plus exigeants. Je crois que l'on ne pouvait espéré une meilleure adaptation.

Ce quatrième film encore plus sombre que le précédent, nous offre tout de même de sacré sueurs froides. Toujours aussi aussi palpitant , cet épisode respect toujours l'univers créer par J.K. Rowling .

Le livre est d'une telle densité que son adaptation, pour tenir dans un seul film, devait logiquement faire l’impasse sur diverses intrigues et réduire plusieurs passages. Trop d’ailleurs, puisque certaines séquences, comme par exemple les événements autour de la coupe du monde de "Quidditch" ou les intensives épreuves du "Tournoi des 3 Sorciers", sont bien trop vite expédiées. Le scénario en devient un poil confus et perd alors de son attraction. Ceci est d’autant plus dommage que «La Coupe de Feu» est l’épisode de transition vers un monde plus «adulte» dans l’univers d’ «Harry Potter». L’histoire, entre peurs et affrontements, émotion et humour, reste néanmois assez prenante, son point culminant étant la première vraie confrontation à l’écran entre Harry et Lord Voldemort. Un rôle court mais intense pour Ralph Fiennes. Autre personnage troublant de cette nouvelle aventure, le professeur Alastor "Fol-Oeil" Maugrey, parfaitement interprété par Brendan Gleeson. Un bon cru, sans plus, signé Mike Newell.

Ce quatrième opus marque la fin de l'innocence des personnages.En effet Voldemort monte à nouveau en puissance et Potter se trouve au centre de l'intrigue principale.
Ce film est marqué d'humour,de sentiments divers,de scènes spectaculaires mais également la mort y est au rendez-vous.
Les décors sont merveilleux et on ne s'ennuie pas à un seul instant.
C'est simple avec ce film on en demande encore.

Harry Potter et La Coupe De Feu est surement le volet le plus aboutit des 4 en terme d'effets spéciaux, d'action et d'émotion. C'est aussi le plus sombre et le plus noir de la saga pour l'instant. Un excellent opus.

Harry Potter and the Goblet of Fire à la lourde tâche de succéder à la pièce maitresse de la Saga, il tiens toutefois une très haute estime et cadence. A dire vrai, il est un film d'un très bon niveau. L'attaque des sbires de Voldemort lors de la Coupe du Monde de Quidditch en est un exemple assez édifiant à ce sujet. Il y'a quand même une petite déception pour ce qu'il en est de la direction prise par Mike Newell qui instaure le début d'un académisme en reprenant certaines bonnes aspirations sans vraiment sans démarquer ... Une petite frustration pointe le bout de sa ganache, on l'élude toutefois devant les nombreuses réussites de ce film, plus normatif qu'audacieux donc, mais qui tiens ses promesses toutefois !

Les nombreux points de satisfactions sont soit dit en passant très axés sur des trouvailles déjà entrevues au préalable, notamment lors des petites disputes entres copains, les petites moqueries, histoires de cœurs, dans leurs petits tracas d'ados, le film s'encre à rendre cela assez amusant avec néanmoins une once de bienveillance. La thématique est toute trouvée et accentue les nouveaux sentiments concrets qui se manifestent pour eux, l'accrochage entre Ron et Hermione ( puis accessoirement Harry victime collatérale de l'altercation de ses deux amis ) synthétise cette idée mise en relief.

Le scénario quand à lui se ressert autour de l'intrigue principale, ses envies d'avancées de manière rapide se font sentir. La démarche de Newell et des équipes techniques de regroupés aux proratas les infos du livre pour en offrir son maximum tiens la route, il y'a quand même quelques raccourcis que je trouve trop brusque. La toile de fond cohabite avec un désir de grailler un peu à touts les râteliers, à ce jeu, le cahier des charges pèsent sur les choix de mise en scène. La réintroduction dans le cœur de l'échiquier de son antagoniste principal n'est qui plus est, avec du recul, pas sa plus brillante mise en œuvre. Ce dernier plus ou moins absent du dernier film retrouve un visage en la personne de Ralph Fiennes, et promet de dépiauter, ce qu'il fait déjà qu'avec un peu trop d'ardeur ...

Du coté de ses personnages secondaires, le final hormis, on ne peu s'empêcher que d'avoir, là encore, quelques regrets. Lupin m'a je l'avoue manquer, Black aussi. Je parle surtout du traitement des acteurs d'appoints qui ici servent un service à minima, dans les clous. Entre discrétions et exagérations, le film ne rend pas grâce à ses protagonistes. Néanmoins un très gros tournent s'opère spoiler: avec la mort de Cédric Diggory
, qui marque les esprits et instaure un climat anxiogène dont profite le final de ce film.

D'ailleurs on ne peu reprocher les envies épiques de ce quatrième longs-métrages car l'on est indéniablement servis avec cette Coupe de Feu. Concrètement celui qui insuffle la dynamique à venir ...

Un quatrième épisode pas à la hauteur de sa réputation, on aurait du donner l'oscar du pire acteur à Daniel Radcliffe pour ce film (sérieusement il grandit, le temps est venu de se prendre en main et de livrer une prestation digne du personnage...), quatrième épisode des aventures d'Harry Potter auquel un élément clé vient pimenter l'histoire. La magie dans cet opus n'opère plus vraiment, les vingt premières minutes du film sont vraiment faiblardes et laissent un sentiment d'arrière goût d'inachevées, incomplètes. Pour les effets spéciaux c'est encore du lourd une fois de plus, mais on accroche bien moins comparé à la personnalité et à la magie du troisième film. De superbes scènes, mais une bande originale assez faiblarde depuis le départ de John Williams, on prend tout de même son pied sur les événements qui se passe dans ce tome adapté sur grand écran. Dommage qu'il soit incomplet et qu'ils commencent à s'écarter du livre, on perd un peu en ambiance et en magie pour gagner en maturité et en noirceur, un épisode correct mais loin d'être le meilleur à mon goût. Cela dit, le film n'est pas avare en bonnes surprises et en scènes épiques, difficile à adapter mais ils auraient largement pu raccourcir le passage du bal de Noël déjà car là au final on retient surtout le mot: commercial.

On pourrait avoir une histoire plus poussée tant le 3 èmes opus nous ouvre les portes de la famille Potter. Au final c'est un film de sorcellerie bourré d'action dans le but de faire claquer. Les acteurs sauvent quand même pas mal le coup.

C'est cette fois Mike Newell qui est aux commandes de ce quatrième film de la saga "Harry Potter", sorti en 2005, et même si j'ai cette fois un peu de mal avec cet opus, je dois dire que je n'arrive pas à être réellement objectif. J'ai un peu de mal avec ce film car c'est le premier de la franchise qui raccourci énormément le livre homonyme de J. K. Rowling et qui omet alors énormément de choses. Mais d'un autre côté, le film dure déjà deux heures trente, difficile de faire plus, et puis, plus simplement, j'ai découvert les films avant de lire les livres et, comme les autres épisodes de la saga, j'en ai donc une affection tout particulière qui m'empêche d'être totalement objectif. Nous retrouvons ici Harry qui devra passer les épreuves imposées par le Tournoi des Trois Sorciers, sauf que son nom a été déposé dans le Coupe de Feu sans son consentement. Cela représente donc un double enjeu pour l'étudiant de Poudlard : passer les trois épreuves particulièrement difficiles tout en essayant de trouver la personne à l'origine de sa participation. Ici, par rapport au troisième opus beaucoup plus sombre, nous retrouvons un côté léger, voire enfantin, du moins pendant une bonne partie du film. L'intrigue se concentrant en effet majoritairement sur les jeux, nous retrouvons alors un côté festif et sportif qui participaient énormément à l'ambiance des deux premiers films. De plus, ce quatrième film s'inscrit réellement dans les codes du teen movie, notamment avec le caractère de merde des personnages principaux et de leurs embrouilles (typique de l'adolescence) et c'est également le premier film à mettre l'accent sur les romances des personnages et à donner un réel enjeu au bal, qui reprend les codes du traditionnel prom du lycée dans les teen movies. C'est un aspect qui peut être vivement critiqué mais, tout d'abord, ce sont des enjeux qui sont également présents dans le roman et puis, ces enjeux s'inscrivent dans une certaine logique ; la franchise et le ton évoluant en même temps que les personnages et là, c'est clairement l'opus de l'adolescence. Mais le film devient tout de même, petit à petit, de plus en plus sombre et réadopte alors la maturité instaurée avec le précédent opus, même si je trouve ici la fin très décevante et assez expéditive. Enfin du moins par rapport au roman qui développait beaucoup plus d'enjeux et développait beaucoup plus de choses importantes dans la suite de la saga, notamment les dialogues entre le Ministre et Dumbledore qui donnent soudainement le ton beaucoup plus sombre, adulte et politique de la suite de la saga. Mais ce n'est pas la seule chose qui a sautée dans la transposition du livre à l'écran, nous avons également l'absence totale des elfes de maison et du projet S.A.L.E (Société d'Aide à la Libération des Elfes de maison) d'Hermione ("Non, Ron, c'est pas sale !") et la quasi-absence de Sirius qui a une plus grande importance dans le livre que de simplement apparaitre dans un feu de cheminée ; et nous pouvons également noter que l'introduction a été fortement raccourcit. Concernant les acteurs, j'ai toujours un peu de mal avec Daniel Radcliffe qui semble apprendre son métier en même temps que la saga (ce qui est normal après tout), même si son sur-jeu s'est un peu calmé par rapport au troisième film. "Harry Potter et la Coupe de Feu" reste donc un très bon film mais fait tout de même pâle figure face au roman, quant à lui beaucoup plus riche et développé !