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Ce qui hisse le film au-dessus de la moyenne, c'est le degré de conviction qui a été mis dans sa fabrication. (...) Tout à l'air vrai parce que tout est vrai, les extérieurs comme les requins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Et tant pis s'il n'y a que du cliché, de l'ineptie et de la niaiserie dans un scénario transparent comme les fonds sous-marins. C'est quand même un film de saison, frais et exotique (...)
Désespérément creux mais beau à regarder, le principal intérêt du film restant le torse de Paul Walker. Et pour votre plus grand plaisir messieurs : les multi-angles des popotins de Ashley Scott et Jessica Alba (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Déjà dure à avaler cinématographiquement parlant, la pilule est catégoriquement contre indiquée pour ceux qui devrait partir au bord de la mer après le visionnage du film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Pauvre Stockwell obligé de filmer une enquête, la tentation de l'or blanc, les narcotraficants bagués, alors que ce beach boy , en éternel juilletiste, ne craque que pour Galak : bleu profond, bleu d'enfer, bikinis minis, mines bronzées (...) Un été sans nanar serait bien long.
(...) Bleu d'enfer se révèle être un nanar luxueux ultra calibré, où un cast 100 % " jeune et jolie approved " masque à peine l'aspect carte postale d'une production sans âme ni originalité.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Première
Ce qui hisse le film au-dessus de la moyenne, c'est le degré de conviction qui a été mis dans sa fabrication. (...) Tout à l'air vrai parce que tout est vrai, les extérieurs comme les requins.
Le Journal du Dimanche
Une nouvelle version du "Grand Bleu", la poésie en moins, l'action en plus.
Ouest France
Et tant pis s'il n'y a que du cliché, de l'ineptie et de la niaiserie dans un scénario transparent comme les fonds sous-marins. C'est quand même un film de saison, frais et exotique (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
Désespérément creux mais beau à regarder, le principal intérêt du film restant le torse de Paul Walker. Et pour votre plus grand plaisir messieurs : les multi-angles des popotins de Ashley Scott et Jessica Alba (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) une série B que l'on dégustera au retour de la plage et oubliera sitôt vue.
aVoir-aLire.com
Déjà dure à avaler cinématographiquement parlant, la pilule est catégoriquement contre indiquée pour ceux qui devrait partir au bord de la mer après le visionnage du film.
Cahiers du Cinéma
Pauvre Stockwell obligé de filmer une enquête, la tentation de l'or blanc, les narcotraficants bagués, alors que ce beach boy , en éternel juilletiste, ne craque que pour Galak : bleu profond, bleu d'enfer, bikinis minis, mines bronzées (...) Un été sans nanar serait bien long.
L'Obs
Tout dans les muscles, rien dans la tête.
Le Monde
Lorgnant complaisamment vers le public adolescent, John Stockwell multiplie les effets spéciaux aussi aseptisés que son quatuor d'acteurs principaux.
Le Parisien
Rien de bouillant (...) côté scénario : quand il n'est pas tiré par les cheveux (...) il se révèle prévisible.
Mad Movies
(...) Bleu d'enfer se révèle être un nanar luxueux ultra calibré, où un cast 100 % " jeune et jolie approved " masque à peine l'aspect carte postale d'une production sans âme ni originalité.