Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cinéastes
par Stéphane Lam
Planer pour mieux tomber. Le film reste assez mystérieux, jusqu'à être énigmatique parfois (...), mais il crée une jolie ambiance avec ses couleurs et sa musique. Le temps d'un film, on est devant un autre monde, à part et isolé. (...) la caméra à ras le sol (...) concoure à mettre remarquablement en jeu la force de la gravité au cinéma. La guerre ici reste en fond de toile pour mieux être dotée d'une incroyable présence.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Du subversif roman de Witold Gombrowicz, Jan Jakub Kolski est resté fidèle à la fascination érotique du narrateur pour le couple "innocent", le voyeurisme des "poètes" citadins qui orchestrent des mises en scène troublantes, et le culte de l'auteur pour cet âge.(...) il a greffé un background au personnage principal, hanté par sa propre lâcheté. Ainsi le film fournit-il une clé (...) à une fiction déroutante qui se voulait telle. Utile ou pas, cette licence n'ôte rien aux vertiges métaphysiques de cette courageuse illustration du texte de Gombrowicz.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Une adaptation du fameux roman de Witold Grombrowicz ( au titre très "décalé"), filmée et jouée avec un classicisme délicieux.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Zurban
par Addison De Witt
(...) ce film séduit plus par son atmosphère que par sa narration, lente et énigmatique. Le travail sur l'image donne une tonalité fantastique à ce conte pervers : les arabesques en CinémaScope et les couleurs désaturées contruisent un style hypnotique qui sied parfaitement au mystère oppressant de son sujet.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert et Hugo Lopez
Adaptation faiblarde du célèbre roman de Witold Gombrowicz.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Une photographie froide et contrastée, un cadrage élaboré et une narration elliptique donnent à ce film un style original qui n'est pas sans rappeler Kieslowski. [...] Les comédiens jouent leur partition avec caractère. On se demande ce qui manque à ce beau travail pour devenir une oeuvre accomplie. Sans doute des émtions.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Une adaptation frustrante.(...) la complexité du livre originel est telle que le réalisateur (polonais) ainsi que les scénaristes (français) ne font qu'en capter l'essence mais négligent pratiquement tout le reste.[...] A force de ne rien privilégier et de jouer la carte de l'exhaustivité, le film finit par rester à la surface. En revanche, le cinéaste réussit à retranscrire un certain climat sensuel ; ce qui assure au film une étrangeté qui donne envie de creuser en profondeur.
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Gaël Golhen
L'image sépia est superbe et l'ensemble très ambitieux (la décadence, le sexe, le nazisme). Mais à force de vouloir tout brasser, le film finit par se noyer dans ses délires théoriques pour devenir totalement insignifiant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cinéastes
Planer pour mieux tomber. Le film reste assez mystérieux, jusqu'à être énigmatique parfois (...), mais il crée une jolie ambiance avec ses couleurs et sa musique. Le temps d'un film, on est devant un autre monde, à part et isolé. (...) la caméra à ras le sol (...) concoure à mettre remarquablement en jeu la force de la gravité au cinéma. La guerre ici reste en fond de toile pour mieux être dotée d'une incroyable présence.
Le Monde
Du subversif roman de Witold Gombrowicz, Jan Jakub Kolski est resté fidèle à la fascination érotique du narrateur pour le couple "innocent", le voyeurisme des "poètes" citadins qui orchestrent des mises en scène troublantes, et le culte de l'auteur pour cet âge.(...) il a greffé un background au personnage principal, hanté par sa propre lâcheté. Ainsi le film fournit-il une clé (...) à une fiction déroutante qui se voulait telle. Utile ou pas, cette licence n'ôte rien aux vertiges métaphysiques de cette courageuse illustration du texte de Gombrowicz.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Une adaptation du fameux roman de Witold Grombrowicz ( au titre très "décalé"), filmée et jouée avec un classicisme délicieux.
Zurban
(...) ce film séduit plus par son atmosphère que par sa narration, lente et énigmatique. Le travail sur l'image donne une tonalité fantastique à ce conte pervers : les arabesques en CinémaScope et les couleurs désaturées contruisent un style hypnotique qui sied parfaitement au mystère oppressant de son sujet.
L'Express
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Les Inrockuptibles
Adaptation faiblarde du célèbre roman de Witold Gombrowicz.
TéléCinéObs
Une photographie froide et contrastée, un cadrage élaboré et une narration elliptique donnent à ce film un style original qui n'est pas sans rappeler Kieslowski. [...] Les comédiens jouent leur partition avec caractère. On se demande ce qui manque à ce beau travail pour devenir une oeuvre accomplie. Sans doute des émtions.
aVoir-aLire.com
Une adaptation frustrante.(...) la complexité du livre originel est telle que le réalisateur (polonais) ainsi que les scénaristes (français) ne font qu'en capter l'essence mais négligent pratiquement tout le reste.[...] A force de ne rien privilégier et de jouer la carte de l'exhaustivité, le film finit par rester à la surface. En revanche, le cinéaste réussit à retranscrire un certain climat sensuel ; ce qui assure au film une étrangeté qui donne envie de creuser en profondeur.
Ciné Live
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Première
L'image sépia est superbe et l'ensemble très ambitieux (la décadence, le sexe, le nazisme). Mais à force de vouloir tout brasser, le film finit par se noyer dans ses délires théoriques pour devenir totalement insignifiant.