Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 6 janvier 2011
Il ne faut pas connaitre le diner de cons pour voir ce remake . Tres médiocre en comparaison . Seul steve carell est fidèle au poste en interprétant l'idiot a merveille .
Comment faire d'une tres grande comedie francaise une comedie grossiere americaine catastrophique. J ai mis 2 etoiles pour le jeu des acteurs qui n'est pas trop mauvais, mais quel navet!
Après réflexion, l'engouement ne se fait plus attendre et, sans surprises, The dinner ne montre aucun interêt propice à la version originale française, bien plus agréable à regarder et nettement moins prétentieuse. Certes, le duo est passable et plutôt convaincant, mais il ne renouvelle en rien le cinéma comique d'aujourd'hui. Pour une fois, il nous est possible de prétendre que le cinéma français s'en est bien mieux tiré, jouant d'avantage sur les rebondissements surprenants et amusants que sur une accumulation de scènes et de situations peux emballantes.
Inspiré du "Diner de cons" français, c'est vraiment à en mourir de rire, dans un sens comme dans l'autre, car pour une réplique US, c'est se foutre de la gueule du monde, mais il y a des passages marrant et superbe comme les souris enpaillés.
On est loin, très loin du niveau du diner de cons... Là, je n'ai dû rire qu'une fois ou deux... C'est mal joué, c'est plat... Bof bof... dommage de gâcher un scénario à l'immense potentiel...
Voilà une très mauvaise reprise d'un film français pour une fois plutôt bien réussie. Quel gâchis... C'est long et ça manque d'énergie qui est utile à une comédie. Steve Carrell est quand même bien dans ce rôle, il sauve un peu le film, tout comme Zach Galifianakis qui a un rôle second mais qui fait beaucoup rire. Il est admirable, c'est un excellent acteur.
Chauvinisme francais où réel déception il est clair que les américains ne peuvent s'empêcher de mettre à leur sauce ce qui marche en france. Alors bien sur retrouver Steve Carell pour les fan du frat pack c'est toujours bon et on peut apprécier quelques scènes, mais voilà le côté simplet et maladroit d'un Pignon encore plus quand c'est interprété par Villeret ne peux pas être remplacé par l'auto dérision de Carell. Comme pour le remake de taxi on sent trop le copié-collé.
Les mauvais langues disaient qu'il serait peu aisées d'égaler le chef-d'œuvre de Francis Veber et elles n'avaient pas tort. Sans être une catastrophe, "The Dinner" n'arrive pas à la cheville de ce film culte qu'est le "Dîner de cons". On a ici un Humour à l'américaine, avec parfois des gaffes amenées de manière peu subtile. Un Steve Carell tres bon dans ce qu'il fait mais une fois de plus peu comparable à Monsieur Villeret. A mon avis le dîner à proprement parlé est le point fort de ce film. Pour finir on dira qu'ils ont osé, "Qui ne tente rien n'a rien" (même si au bout il n'y a pas grand chose).
Un desastre! La mécanique huilée du huis clos s'est envolée, la finesse de l'humour disparue, mais surtout Jacques Villeret et son humanité sont irremplaçables.
On avait vaguement entendu parler du projet dès 2006, finalement il aura fallu attendre 2010 pour voir enfin débarquer sur grand écran le remake du célèbre et inimitable Dîner de cons (1997) de Francis Veber. Sans pour autant crier au scandale, il est vrai que c'est désolant de constater que les Américains persistent à vouloir toujours remaker les films Français (et d'autres nationalités), mais Francis Veber est un habitué, ce n'est pas son premier film a être revu et corrigé à la sauce Hollywoodienne. A travers cette nouvelle relecture, on retrouve dans les principaux rôles Steve Carell, Paul Rudd & Zach Galifianakis, reprenant respectivement les rôles de Jacques Villeret, Thierry Lhermitte & Daniel Prévost. Terminé le "con" qui confectionne des maquettes avec des allumettes, dans cette nouvelle adaptation, le nouveau "con" est un adepte de la taxidermie de souris et s'amuse à les mettre en situation. Jay Roach, à qui l'on doit pourtant de superbes comédies telles que Mon beau-père et moi (2001) ou Mon beau-père, mes parents et moi (2005) nous déçoit grandement cette fois-ci. Le public français ne pouvant s'empêcher de comparer les deux versions, cette nouvelle relecture s'avère franchement décevante et éparpillée. Là où Jacques Villeret excellait dans le "con" de service, Steve Carell en fait des tonnes et devient rapidement lassant, voir même irritant. Mise à part quelques blagues ou situations comiques, on est à mille lieux de l'original et cela était prévisible !