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Un visiteur
2,0
Publiée le 13 janvier 2013
Adaptation ratée du "Diner de cons" de Francis Veber, par Jay Roach qui avait pourtant réalisé les excellents "Mon Beau-Père et moi" et sa suite. Ici, Paul Rudd n'est pas fait pour ce rôle et Steve Carell est énervant à souhait, on dirait qu'il parodie plus qu'il ne joue ! Seul la présence de Zach Galifianakis donne un peu (mais vraiment peu) d'intérêt au film, autant regarder la version originale qui est 100 fois meilleure !
Film à voir entre amis. J'ai rarement autant ri. Si l'introduction vous plait (les petites scénettes avec des souris empaillées), c'est bien partit pour le film en entier ! Ce film est grotesque de la meilleure façon qui soit. C'est certain, c'est un pur film Hollywoodien (histoire cyclique avec l'happy ending), mais si ce genre de film vous plait, vous allez l'adorer !
Ne faites surtout pas l'erreur de le regarder en pensant au dîner de con, vous seriez déçu. Il n'y a rien de similaire dans la réalisation de ces deux films, seulement l'idée du scénario de départ. D’ailleurs, le nombre de mauvaises critiques me parait injustifié..
Un pure navet avec des acteurs qui en font beaucoup trop et un scénario vulgaire pour couronner le tout, une daube à éviter! Ce film est de si bas niveau par rapport à l'original dîner de cons, avec des acteurs au top et du rythme! On ne rit pas du tout! Une comédie je le répète à fuir!!!!!!!!! Débile!
J'ai retenté une expérience que je renouvelle de temps en temps. Regarder l'original français d'une comédie culte, puis l'adaptation américaine de ce même film. Expérience enrichissante s'il en est, puisque l'on s'aperçoit à chaque fois avec consternation que nos meilleures comédies sont sabotées de façon grotesque par les Ricains. J'ignore si ce film a marché aux US, (ils ont parfois des goûts de ch....s), mais le film génial de Francis Veber, (dont je ne me lasse pas), est ici dénaturé de façon pathétique. Pas d'humour, une série de pitreries indigestes agrémentées de scènes guimauves avec l'inévitable happy-end hollywoodien. Le personnage savoureux interprété par Daniel Prévost est ici complètement ridicule, le regretté Jacques Villeret nous manque à chaque instant, remplacé par un hurluberlu pathétique, le personnage qui remplace Thierry Lhermitte n'est pas assez méchant, bref, c'est un navet de la pire espèce, comme je m'y attendais d'ailleurs, mais mes pires prévisions ont dépassé allègrement mes attentes. la comédie originale, caustique et subtile, s'est transformée en un grand n'importe quoi. Affligeant.
Une sorte de pale copie du « diner de cons ». Le seul attrait pour le film réside dansle duo formé par Zach Galifianakis et Steve Carel, les deux comiques les plus en vogue des Etats-Unis. L’ensemble est juste comique.
Forcément, quand on a vu le "diner de cons", on a du mal à accrocher à ce remake. Cependant, The Dinner n'est pas une si mauvaise comédie que ça (et on voit bien à quel point les américains sont beaufs, vraiment des beaufs). Se moquer d'un type qui fait de véritables petites oeuvres d'art avec des souris mortes ? Encore aurait-il fallu qu'elles soient ratées ces oeuvres, ce qui n'est vraiment pas le cas dans le film.
Avant d'écrire que "Veber ne doit plus en dormir", il vaudrait mieux se renseigner, Veber est un des producteurs de ce Dinner... Et juger le film directement en lui donnant aucune chance dans un un anti-américanise est encore plus sinique. Effectivement The Dinner ne pouvait être que décevant resteant bel et bien un remake, qui, de par son nom, reprend les idées concluantes de l'oeuvre originale. Mais on est cette fois ci plutôt bien surpris, Steve Carell s'habille très bien de son rôle de con. Scénario retravaillé pour son public, ce film nous fera sourire, et nous montrera même ce qui nous avait laissé sur notre fin... Le fait de n'avoir jamais pu assister à ce dîner...
The dinner est un film bien plus intéressant que je ne l'imaginais. Partant du pari que les américains pouvait faire un bon remake de notre "dîner de cons", le film échoue sur ce point. Le réalisateur nous livre ici un film pêchu mais jamais vraiment en rapport avec le matériau d'origine. Par contre, la prestation de Steve Carell est tout a fait honorable. Bien sûr, le tout nous réserve des scènes assez drôle, à défaut d'être incroyablement hilarantes. Mais cette petite comédie reste dans la veine de film comme "Very Bad Trip". La prétention en moins.
Difficile à croire que ce "Dinner" soit le remake de notre "Dîner de Cons" et pourtant si, c’est d’ailleurs parce qu’il était occupé avec cette farce que Jay Roach n’a pas été en mesure de finaliser sa trilogie "Mon beau-père …" un choix qui parait désormais aberrant. Le scénario laisse complètement tomber l’idée du huis-clos et favorise les gags graveleux aux prestations des acteurs, Steve Carell affiche un sourire béat et énervant du début à la fin et le pauvre Paul Rudd n’a pour lui que le fait d’être bankable. Les scènes pseudo humoristiques s’enchainent et prouvent un manque d’originalité et d’intelligence flagrant devenu la marque de fabrique de nombre de comédies américaines. Peu d’éléments peuvent relever le niveau de cette comédie que ce soit les seconds rôles comme Bruce Greenwood et Zach Galifianakis ou une morale vraiment mal venue dans laquelle le personnage principal se prend d’affection pour l’idiot. En bref les quelques sourires qui peuvent pointer le bout de leurs nez ne suffissent vraiment pas à faire passer la pilule, "The Dinner" est un film sans intérêt.
Je ne m'attendais pas à une grande comédie mais j'étais loin d'imaginer une aussi mauvaise comédie même Steve Carell est décevant ; bien en-deçà du film de Francis Veber, l'esprit n'y est pas du tout. A part 2 ou 3 instants fugaces qui font rire la plupart des gags sont grotesques par contre ce remake montre le dîner en question.