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    Spartacus
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    250 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 février 2013
    Spartacus... Stanley Kubrick... Ces deux-là n'auraient rien eu en commun si le destin (en la personne de Kirk Douglas) ne s'en était pas mêlé. Un peu sceptique au départ du visionnage de ce film, j'ai néanmoins été très vite convaincu par la bonne volonté du réalisateur, que j'adore par ailleurs. Alors certes, ce n'est pas son film le plus personnel, le plus stylisé, mais il se laisse regarder avec un certain plaisir, preuve que Kubrick pouvait plaire à tout le monde si il s'était contenté de la petite entreprise hollywoodienne. Les acteurs sont évidemment formidables (l'imposant Kirk Douglas et le théâtrale Laurence Ollivier en tête), mais ce que je retiendrais également, ce sont les scènes d'affrontements rudement bien orchestrées pour l'époque (aidées sans doute par la capacité d'organisation et de réflexion du joueur d'échecs qu'était Kubrick). Bref, n'allez pas voir ce film pour espérer voir du Kubrick, mais pour admirer ce qui est sans doute comme l'un des meilleurs péplums jamais réalisés.
    leochou
    leochou

    16 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Cet unique film de commande réalisé par le maitre Kubrick est une très belle réussite du genre, en effet le réalisateur a su mettre sa patte notement sur la qualité de la photo et la férocité des combats. Kirk Douglas offre une belle dimension a son personnage mais ceux sont les prestations extraordinaires des fabuleux Laurence Olivier, Peter Ustinov et Charles Laughton qui transcendent l'écran. On passe un grand moment de cinéma devant ce super péplum. Un must!
    flushroyal
    flushroyal

    32 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2012
    Un des plus grands péplums de la grande épôque du genre, magistralement mis en scène par Stanley Kubrick. L'histoire de Spartacus est conté 3 heures durant dans un film qui constitue un quasi sans faute artistique. La photographie est remarquable. Les costumes et décors sont très réussis. La reconstitution historique ( malgré quelques erreurs pardonnables ) est ainsi très réussie. Les 3H passent plutôt vite, la réputation « bavarde » attribué à beaucoup de pélums n'a pas lieu d'être ici, même si l'on peut relever quelques longueurs dans la dernière partie. L'adaptation de la légende de Spartacus, entre fresque historique et fiction, est passionnante. Kirk Douglas est excellant dans un des plus grands rôles de sa carrière et campe un intéressant Spartacus à la fois fier et fragile. Les seconds rôles sont également excellants avec Laurence Olivier parfaitement détestable dans le rôle de Crassus, Peter Ustinov, Jean Simmons ou encore Tony Curtis. La musique de Alex North a une place très importante et contribue à la puissance des séquences ( même si le fameux Love thème finit par lasser un peu à force d'être utilisé ). Les batailles sont spectaculaires pour l'épôque et les combats remarquablement filmés. Les scènes intimistes sont très bien écrites et très captivantes. Certaines scènes sont restés dans les annales du cinéma. Si certains choix scénaristiques sont toutefois étonnants et discutables, il n'en reste pas moins un chef d'oeuvre du genre et un très grand moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 août 2013
    Spartacus est certainement le film le moins personnelle du réalisateur Stanley Kubrick c'est bien simple il n'aura pratiquemen at aucun moment la possibilités de montrer son talent artistique avec
    ce film et sa se ressent tout le long du visionnage on a certe l'impression d'avoir vu un très bon péplum
    mais si vous cherchez du Kubrick vous risquez fort d’être déçus. Bon sinon les acteurs du joue super bien la musique est très belle en bref Spartacus est un film a voir si vous aimer les péplum, et pour voir tout les film de Kubrick même si Spartacus n'est
    pas le film le plus représentatif de sa grande carrière de cinéaste il reste du moins un très grand péplum a voir et a revoir.
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    62 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2013
    "Spartacus" marque l'avènement du péplum après le "Ben-Hur" de William Wyle et marque par la même occasion la deuxième collaboration entre le génie Stanley Kubrick et l'illustre Kirk Douglas qui se retrouvent trois ans après le film de guerre "Les Sentiers de la Gloire". C'est également le film le plus impersonnelle du réalisateur qui se retrouve aux manettes d’un projet sur lequel il n’avait pas un contrôle artistique satisfaisant : ni droit de regard sur un scénario trop angélique et moraliste à son goût, ni mainmise sur une distribution prestigieuse où chacun avait son mot à dire sur le film, ni surtout le précieux final cut. Adapté du roman de Howard Fast, le long métrage remonte en 73 avant J.-C. où Spartacus est un esclave thrace que l'on fait travailler dans les mines de Libye. Il est remarqué et acheté par Batiatus, propriétaire d'une école de gladiateurs à Capoue, où il est pris en charge par l'entraîneur Marcellus qui l'initie au métier de gladiateur. Nous suivons ensuite l’histoire de la révolte des esclaves de la République romaine au premier siècle avant J.C. menée par le gladiateur Spartacus. Les acteurs sont tous excellents, que ce soit Kirk Douglas John Gavin, Laurence Oliver ou encore Jean Simmons qui resteront à jamais dans nos mémoires. Aux commandes de ce péplum, c'est le génie Stanley Kubrick alors âgé de 32 ans qui s'y colle. Imposant son perfectionnisme sur le réglage des scènes d’action, il se met à la tâche d’offrir un spectacle d’une flamboyance particulière, ne reculant pas devant la violence graphique. Combats de gladiateurs et scènes de bataille réglées au millimètre jusqu’au moindre démembrement, meurtres lents sous une caméra implacable (comme la mise à mort du gladiateur numide Draba, amplifiée par la profondeur de champ au premier coup avant que son sang gicle sur la joue du Romain qui l’achève) : dans ces multiples éclats de furie meurtrière, le cinéaste trouve une niche pour laisser percer, via sa mise en scène, des fragments de son intransigeante vision de l’humain, même s’il se serait bien passé de la démarcation manichéenne héros/salaud rendue ici incontournable. Malgré quelques petites longueurs évidentes (trois heures de bobine) le film arrive à nous captiver tout le long. Quoi qu'il en soit, Stanley Kubrick nous livre un péplum extraordinaire au final magnifique et épique.
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    30 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    -Lorsqu'un homme libre meurt, il perd les plaisirs de la vie, un esclave lui, perd sa misère.

    Stanley Kubrick, THE réalisateur américain définitif, a livré avec Spartacus un chef d’œuvre initialement prévu pour être une série B de commande. Dès l'ouverture, portée par une musique orchestrale bellisima, on sent l'ambition qui se dégage de l’œuvre. Le générique qui suit, beau et sobre (sans artifice), nous met déjà des images symbole de l'Antiquité romaine plein les mirettes. On se prépare à un spectacle colossal, long et pourvu de moyens démesurés. C'est le cas, Spartacus nous entraînera dans des paysages grandioses dès la première scène se déroulant sur les crêtes rocheuses d'une mine. De ce côté là, la réussite du film est totale. Mais une richesse extraordinaire qui est loin de se cantonner à l'aspect divertissement d'exception surgit de l'histoire, fidèle à de nombreux points historiques ; de la reconstitution de cette époque de l'Antiquité avec une précision documentaire remarquable (on peut voir des romains écrire sur des tablettes de cire, par exemple), et surtout de la profondeur psychologique des personnages. C'est pour moi la moelle de ce qui fait l'unicité de cette œuvre. Le casting ultra haut de gamme avec Charles Laughton en Gracchus criant de réalisme tant par sa physionomie que par son jeu beaucoup plus mesuré et juste qu'à son habitude, Jean Simmons offre une Varinia débordante de sensibilité et de tendresse qui représente la touche la plus lyrique de l'ensemble tout en restant palpable et humaine, Peter Ustinov campe un marchand d 'esclave du genre lèche botte et escroc avec conviction, et pour tout les autres on est également dans le domaine de l'excellence. Quant à Kirk Douglas et à Laurence Olivier, ce sont les vrais stars du film, le premier étant magnifié par la photographie qui s'exprime par de superbes tons ocres. Son visage semble être en terre cuite, mais animé d'une humanité profondément touchante. En effet, Spartacus n'est pas un héros, moi qui m'attendais à en voir un, il ne s'agit pas non plus d'un héros à visage humain, mais bien d'un homme qui accomplit des actes héroïques. C'est là où je voulais en venir, à ce qui symbolise pour moi la grande intelligence de l’œuvre : Spartacus est avant tout un esclave qui possède des sens un peu plus développés que les autres, c'est tout. C'est aussi un être humain dans la veine des « personnes ayant un vrai cœur d'or », mais qui ne se révèle pas naïf ou utile en tant que curateur. Il a été façonné et éreinté par une vie extrêmement difficile. Son enfance et son adolescence ont étés noyées par la souffrance d'un travail pénible et ingrat, ce qui a contribué à forger un caractère plus déterminé, plus actif qui lui donne l'opportunité de jouer un rôle parmi les siens. Si c'est lui qui déclenche la révolte, c'est parce que les dernières épreuves qu'il a subies, notamment un combat dans l'arène qui est un pur morceau de bravoure (précédé d'une attente qui me semble reprise par monsieur George Lucas dans la Menace Fantôme soit dit au passage, en mille fois moins bien), l'ont fatiguées et aigris. Il a découvert la veille la cruauté des puissants étalées dans toute sa luxure, à travers un instant d'un tragique sublime, avec le sang vermeil giclant sur la face de Crassius. Le départ de Varinia est rendu plus douloureux par la moquerie ignoble et gratuite de l'entraîneur Marcellus, et c'est la goutte qui fait déborder le vase. Lorsqu'il lui saute à la gorge, cela n'a rien d'un acte prémédité dans le but d'aboutir à une délivrance par l'évasion, non, c'est une manifestation de colère, purement humaine. Plus tard dans le film, on en apprendra davantage sur Spartacus : il ne sait rien, ce qui ne l'empêche pas d'être épanoui devant des phénomènes de la nature qu'il admire, devant le talent d'autres hommes (d'où l'amitié qu'il lie avec Antoninus, le chanteur-poète). Son efficacité aux armes est due à l'entraînement qui, malgré les conditions dégradantes de ce dernier, lui a fait saisir la notion de l'art du combat, mais notons qu'elle n'est en aucun cas outrancièrement supérieure à celle des autres gladiateurs. Lors de la bataille finale, il se défendra comme un lion avant de tomber, mais ne sera pas le dernier en lice tel les héros classiques. D'ailleurs, la nuit qui précédera le combat, il se confiera à sa femme sur sa peur du lendemain, allant même jusqu'à pleurer, preuve incontournable de son humanité sincère et brave, capable d'héroïsme, et réfutant l'image du héros sans failles. J'en arrive enfin à Laurence Olivier, qui incarne une sorte de double de Spartacus avec Crassus, sénateur romain honnête et respectant la vie romaine telle qu'on lui a apprit, tout en étant doué d'une intelligence redoutable. C'est un Spartacus noble, élevé de telle façon que son caractère a été habitué à exercer du pouvoir, à déverser l'injustice qui pour lui correspond à l'ordre des choses. Bon nombres de scènes révèlent que sous leurs actes opposés moralement, ces derniers sont similaires en absolu : le discours visant à motiver les troupes, une fixation sur la cité de Rome, une peur tenace ayant différents objets mais s'exprimant de façon identique (chacun d'eux cherche à se confier à une femme qu'il aime). Le héros ici passe inaperçu jusqu'à ce qu'il prenne un peu d'ampleur à la fin, en guise de clin d’œil historique : il s'agit de Caïus Julius Caesar, presque un archétype dans sa présentation. Il est d'ailleurs sous la coupe de Gracchus, du moins dans un premier temps, homme en apparence physique molle explicitant volontairement le cliché du gras bourgeois romain repoussant, qui montre un caractère hypocrite et manipulateur à peine caché sous un dehors d'homme bon et généreux. Mais au fur et à mesure on se rend compte que sa manière de voir les choses qui paraît dénuée de morale comparé à la justice et à l'honneur implacable de Crassus, aurait pu permettre aux esclaves libérés de prendre le large, et aurait évité toutes les atrocités commises. La décadence de Rome se serait alors poursuivi, mais le film nous fait comprendre que cette couche d'ordure qui recouvre les hommes tels que Gracchus et son pendant Batius n'est que leur mode de combativité à eux, et qu'elle reste relativement superficielle. J'en arrive enfin à la confrontation inévitables entre les deux protagonistes, si éloignés par leurs origines, leur éducation et toute l'influence extérieure qu'ils ont subit, mais si proche dans leur personnalité intérieure. Celle-ci commence en grande pompe avec la marche sur Rome. C'est une vrai leçon de vrai cinéma épique que cette bataille : une attente soignée au maximum avec un déploiement de troupe impressionnant, (on peut aisément repérer une source d'inspiration pour la mise en scène des plus célèbres assauts du Seigneur des Anneaux). Les effets spéciaux paraissent naturels, tels ces magnifiques rondins enflammés qui font office de vigoureuse entrée en la matière. Le carnage qui en découle compose un tableau de peintre stupéfiant, les morts étendus dans leur fluide vital à perte de vue construisent les plans les plus esthétiquement réussis du film. J'en profite pour signaler la présence de violence plutôt crue : on voit Marcellus l'entraîneur mourir noyé dans de l'eau bouillante, quelques éclaboussures gore, et un suicide suggéré qui fait froid dans le dos, ce qui m'avait soufflé à ma première vision du film, au collège...A partir de ce déchaînement guerrier toutes les scènes sont marquantes, en particulier l’ultime duel dans une arène improvisée, qui se termine par un échange poignant, mais qui n'est encore rien face aux derniers instants de Spartacus crucifié. On est alors au bord des larmes, à la fois conquis par la beauté, la tristesse et la grandeur de ce péplum incroyable qui constitue l'apogée de son genre.
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2012
    Magnifique péplum. Un personnage historique de légende contée dans un film qui laissera à jamais une trace dans l'histoire du cinéma...
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2017
    Un des classique du style Péplum. Un acteur charismatique et une histoire prenante et sans oublier une mise en scène efficace rendent ce film d'un grande qualité.
    Don Keyser
    Don Keyser

    73 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    Doté d'une réalisation exceptionnelle, "Spartacus" est épique en plusieurs points. En effet, la mise en scène permet d'entraîner pleinement le spectateur en accord avec un scénario très bien écrit. De plus, les acteurs sont très convainquants surtout Kirk Douglas. Ainsi, le film se voit avec plaisir en divertissant et captivant le spectateur. Une oeuvre culte !
    7eme critique
    7eme critique

    529 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    "Spartacus" est un film de Stanley Kubrick, mais qui n'a rien à voir avec l'univers ou l'ambiance de celui-ci. Et pour cause, Kubrick a repris le flambeau derrière un autre réalisateur qui avait déjà commencé la mise en scène, ou si vous préférez, on lui a imposé le sujet. Kubrick n'est pas scénariste de ce long-métrage à l'inverse de ses autres films, voilà pourquoi...il manque sa patte. Malgré tout, l'histoire reste intéressante, et la réalisation tient la route je vous rassure. Un péplum culte pour certains, néanmoins, pas mal de longueurs demeurent mais le jeu de Kirk Douglas sauve la mise. Pas mal (mais souvenez-vous, ne le regardez pas en espérant voir du Kubrick, ça n'a strictement rien à voir).
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 août 2012
    Ecrire que Stanley Kubrick a réalisé de meilleur film n'est pas très original mais pourtant c'est ainsi, Spartacus est un péplum moyen.
    Enfin quand je dis péplum, on se rapproche du mélo de bas étage dans de trop nombreuse séquence.
    Un long métrage de plus de 3 heures qui s'appel Spartacus dont les scènes les plus intéressantes sont celles sans Spartacus il faut avouer que c'est assez dérangent.
    J'ai malheureusement vu le film en VF, j'ai trouvé Douglas très décevant, Peter Ustinov et Laurence Olivier parfait par contre.
    À voir pour parfaire sa culture cinématographique.
    Christian B.
    Christian B.

    17 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2012
    Excellent péplum , de grands acteurs , des superbes décors , enfin tout y est pour un faire un bon film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Très bon film de Kubrick, 3h ça peut paraître long, mais devant ce film, les heures passent à toute allure. A voir d'urgence !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juillet 2012
    Un très bon film signé Stanley Kubrick ! La révolte des esclaves contre les romains. L'empire romain n'est pas encore ce qu'il est. La preuve : Jules César n'est encore qu'un jeune politicien et ce n'est pas lui qui semble le plus disposé à jouer les premiers plans. La politique se mêle donc à cette histoire : on y voit des stratégies politiques. Historiquement, ce film est assez fidèle car les personnages les plus importants du film ont existé.
    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Pour commencer, Spartacus est peut-être le moins caractéristique des films de Kubrick. Le projet conçu plutôt par Kirk Douglas et le scénariste Dalton Trumbo appela le réalisateur pour terminer le film après le départ d'Anthony Mann derrière la caméra. D'une manière générale, Spartacus est moins grandiloquent que le Ben-Hur de William Wyler mais aussi moins caricatural. Le niveau des acteurs est bien meilleur. Si le premier misait sur l'action et le spectacle, celui-ci mise plus sur les dialogues et la réflexion. En revanche, cette production souffre de quelques longueurs et manque parfois de dynamique. Finalement, ce péplum met l'accent sur les aspects politiques de la vie romaine tout en y donnant un caractère très romantique avec un Spartacus qui assume sa féminité et pas mal de connotations homosexuelles entre les personnages.
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