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    Spartacus
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    250 critiques spectateurs

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    Alexander Supertramp
    Alexander Supertramp

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2020
    Si "Spartacus" reste le film le moins personnel de Stanley Kubrick , il n'en demeure pas moins un chef d'oeuvre dans le genre presque soixante ans après. Le film est grandiose par ces décors et ces costumes monumentaux qui nous plongent dans la Rome antique. La distribution impressionnante (Kirk Douglas, Tony Curtis, Jean Simmons, Peter Usinov...) associée au talent du réalisateur pour alterner entre des plans d'action d'une rare intensité et des scènes d'acteurs puissantes en fait une oeuvre incontournable de la cinéphilie.
    RealPrime
    RealPrime

    83 abonnés 1 744 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2020
    Il y eut "Ben-hur", "Les Dix Commandements", "Troy" et quelques autres, Celui-ci fait parti intégrante des plus culte de part sa durée, sa qualité visuelle, des décors grandiose, un nombre impressionnante d figurants, une vrai visibilité de qu'étaient les Romains dans leur manière de vivre, leur manière de juger les "minables", leur mythique exécution absolument sans aucune moralité, leur soif de conquérir le cœur de leur souverain... Kirk y incarne le génie qui va faire soulever tout un peuple contre cet énergumène dont la longévité n'à de cesse de croître. Un homme qui sera le "premier juger avoir une bonne cervelle et un sens de la réflexion", un homme ne supportant pas l'humiliation des plus faibles, qui ne supporte pas les comportements déplacer vis à vis d'une femme, qui ne supporte tous bonnement pas qu'on prenne l'humain pour une chose. Car c'est bien ça l'esclavage, rendre une personne telle un objet qu'on achète et qu'on débarrasse lorsqu'on en à plus besoin, ici c'est la même chose, inspecter le corps et limite l'anatomie d'une personne, est-ce qu'ils se rendaient au moins compte ces gars de comment ils pouvaient être ? Les Romains sont certes l'une des plus grandes civilisations ayant exister, ils n'en demeure pas moins stupide sur bien des points. Un film d'esclaves comme rarement au ciné, il y à eu "Amistad", "Django Unchained", "12 Years a Slave", mais pas réellement plus d'aussi connu. Puis côté jeu, Kirt joue ici vrai combattant pour sa liberté, d'abord perdu de se retrouver là au milieu de cette jungle de testostérones et de pouvoir sans limite. Il est poétique j'le dis clairement sur bien des scènes, surtout avec cette servante qu'il ne pourra pas s'empêcher de regarder à chaque apparitions. Puis le script, c'est une fois d'plus l'inconvénient des films de cette décennies et de celles à venir, trop de parler tue le reste, et cela aura fini par me perdre quelques fois, le script est donc inutile parfois. Puis les scènes d'action sont très bien gérées, très bien filmées et jouées, la bataille finale est épique et hallucinante par son nombre de figurants et moyens technique pour l'époque, son réalisateur y est sûrement pour beaucoup. Enfin, j'aurais remarqué que cet homme est comme Moise ou Jésus, il parle à la foule et tous l'monde l'écoute, et c'est lui qui soulève les foules. Mais contrairement à l'un d'entre eux, il ne s'est pas laisser juger sans rien faire. Imaginant les dernières secondes du film, j'ai clairement accéléré. Un péplum long et d'une connotation bien claire, visuellement épique et doté de sympathiques moments. Un autre grand rôle du regretter Douglas.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2020
    Même si le film, commencé par Anthony Mann et repris en cours de route par Kubrick, comporte des longueurs, Spartacus reste un péplum épique et flamboyant, incarné par un superbe Kirk Douglas.
    steevevo
    steevevo

    6 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Un excellent Peplum avec un Kirk Douglas puissant! Un Kubrick qui n'en est pas vraiment un... mais on fera avec!
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Même si me film est long, il n'en reste pas moins bon, offrant un peplum assez éloigné de l'univers de Kubrick mais avec des moyens humains énormes, et des décors toujours plus vastes.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2019
    Le premier Kubrick dont il n'était pas volontaire, plié aux exigence d'Hollywood, la patte de sa fabrique est indéniable. Porté par un casting de rêve: Kirk Douglas, sir Laurence Olivier, Jean Simmons et Tony Curtis, une interprétation au diapason. Un gladiateur éleve une armée avec d'autre gladiateurs et des esclaves pour envahir la puissance de Rome et ainsi conquérir leur liberté, c'est simple mais efficace. Une épopée de plus de trois heures, des heures de gloire et de magnificence même si cela a vieilli les images sont de hautes volés et la violence n'est jamais gratuite. Malgrés les nombreux problèmes liés aux tournage, ce pepulm à de la classe et est somptueux.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2019
    Dans la production amèricaine hèritèe de l'immense Cecil B. De Mille, de Hollywood et de Cinecitta, le "Spartacus" du maître Kubrick se dètache largement! Une plèiade de vedettes participent à ce tournage pas comme les autres! Tout d'abord le puissant et inoubliable Kirk Douglas dans le rôle titre de "Spartacus" qui fut en même temps l'un des principaux producteurs du film, ce qui ne pouvait que limiter la libertè d'action de Kubrick! Pourtant ce dernier a su èviter la plupart des pièges du genre, pour parvenir à crèer une oeuvre très spectaculaire, qui n'en reste pas moins un vèritable instrument de communication avec le grand public! L'histoire est habile et souvent même très originale par rapport au roman cèlèbre de Fast! De plus, les scènes intimistes entre Kirk Douglas et Jean Simmons sont aussi belles que les sèquences à grande figuration où les rèvoltes d'esclaves trouveront ici leur apogèe! En somme, un classique important du 7ème art d'après un scènario de Dalton Trumbo pour lequel le pseudonyme de Sam Jackson avait ètè prèalablement choisi, un pèplum d'une grande intensitè dramatique qui se prèsente comme un hymne à la libertè des peuples...
    claude c
    claude c

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2019
    Bien trop long avec un doublage français catastrophique... ! très étonnant que cette histoire censée se passer sous l'empire romain en moins 100 av. JC on entende dans les dialogues que tout cela se passe en Italie !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Génial, peut être une introduction un peu courte mais Kubrick nous fait comprendre que c'est un pur génie, ses travelling, ses fondus enchaînés nous font également savoir qu'il était vraiment en avance sur son temps. Kirk Douglas joue merveilleusement bien et l'histoire d'amours avec l'ancienne esclave est très bien " dosée ", non conforme aux clichés.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2019
    Spartacus est LE film renié par Stanley Kubrick (si on excepte Fear and desire qui n’a pas été renié mais juste trouvé mauvais par son réalisateur au point d’en interdire la diffusion). En effet, on peut considérer qu’il est plus l’œuvre de Kirk Douglas que celle du réalisateur de L’Ultime Razzia : l’acteur est à l’origine du projet et est coproducteur (il déclara avoir passé 3 ans de sa vie à travailler sur Spartacus, ce qui prouve qu’il était loin d’être un simple acteur). Kubrick, quant à lui, arrive sur le tournage alors que celui-ci a déjà commencé : il remplace Anthony Mann, renvoyé au bout de 15 jours pour mésentente avec Douglas (la première séquence est signée par lui). Cela explique sûrement que le film possède un découpage très classique (il n’y a pas les très longs plans qu’on retrouve souvent chez le cinéaste) même si ce classicisme se fait de manière virtuose spoiler: (la séquence où les deux armées se font face est impressionnante par son ampleur, par son utilisation de la musique et par son rythme qui peut faire penser aux futurs films de Sergio Leone)
    .
    Là où le film se distingue, c’est surtout par son discours. En effet, en pleine période de luttes pour les droits civiques, Kirk Douglas, homme très à gauche, choisit d’adapter le roman d’Howard Fats et de le faire scénariser par Dalton Trumbo, tout deux appartenant à la liste noire. Spartacus est donc plus une parabole politique sur la situation actuelle qu’une adaptation fidèle de l’histoire du gladiateur rebelle. Quand on étudie un peu la vie du véritable Spartacus, on se rend compte que celle-ci est très différente de celle montrée dans le film de Kubrick spoiler: : il était marié avant d’être esclave, il a été décurion, il n’était pas l’unique chef de la révolte, il cherchait plutôt à rentrer chez lui qu’à faire tomber Rome, ses hommes accumulaient les viols et les pillages sur leur passage, il est mort au combat et non sur la croix…
    Douglas cherche surtout a faire un tract politique (là où Kubrick est souvent plus ambiguë dans ses autres réalisations) où on montre les manipulations que l’homme est capable de faire pour asservir les autres spoiler: : on offre des femmes aux gladiateurs transformant les esclaves en personnes profitant, eux-mêmes, de l’esclavage (ce que Spartacus refuse), les scènes de tractations politiques au Sénat ou en dehors sont nombreuses…
    Toutefois, le résultat n’est pas pour autant un film tout à fait manichéen avec un héros complètement glorieux spoiler: : il perd dans l’arène face à Draba et c’est grâce à la rébellion de celui-ci qu’il survit, ce n’est pas suite au meurtre de ce dernier qu’il décide de se révolter mais à la vente de Varinia dont il est amoureux…
    D’un point de vue scénaristique, on peut noter également que le film possède une scène très osée pour l’époque : celle des huîtres et des escargots qui possède très clairement des sous-entendus homosexuels (de manière beaucoup plus explicites que la célèbre séquence équivalente entre Ben-Hur et Messala dans Ben-Hur). Cette séquence sera d’ailleurs censurée à l’époque avec d’autres plans trop violents. Heureusement, de nos jours, nous pouvons assister au montage complet et revoir cette séquence même si celle-ci a dû être redoublée, la bande sonore ayant été perdue, avec toujours la voix Tony Curtis mais celle d’Anthony Hopkins à la place de celle de Laurence Olivier, ce dernier étant décédé depuis.
    En effet, en plus de sa grandeur visuelle, il faut dire que le film de Kubrick possède d’un casting assez exceptionnel. Outre son acteur principal-producteur, il bénéficie des talents d’acteurs aussi prestigieux que Laurence Olivier, Peter Ustinov, Jean Simmons, Charles Laughton, John Gavin (qui 4 mois auparavant était à l’affiche de Psychose, rien de moins), Tony Curtis ou John Ireland. On peut d’ailleurs noter que parmi ceux-ci, plusieurs ont aussi connu une carrière de réalisateur, ce qui n’a fait que compliquer le travail d’un Kubrick encore un peu jeune face à de telles pointures.
    Cependant, alors que ces conflits auraient pu entraîner un résultat hybride, Kubrick arrive à signer un péplum de haute tenue qui évite, dans la mesure du possible, le sentimentalisme un peu caricatural qui a un peu tendance à plomber ce type de films vu de nos jours. Le film contient même une séquence très marquante avec le combat dans l’arène entre Spartacus et Draba.
    Ainsi, même s’il est permis de trouver qu’il possède un petit ventre creux pendant l’avancée de l’armée de Spartacus, ce film fait partie des meilleurs œuvres du genre avec Les Dix Commandements, Ben-Hur et Cléopâtre. De plus, il représente une date importante dans la carrière de Stanley Kubrick car, suite à son peu d’influence sur le tournage, il décida que désormais il serait le seul maître d’œuvre de ses films et posséderait un contrôle total de ceux-ci. Sans ce film, peut-être que Barry Lyndon ou Shining n’auraient pas le même visage.
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2019
    C’était le dernier Kubrick qu’il me restait à découvrir. Spartacus étant son film le moins personnel car film de commande après qu’il ait remplacé un autre metteur en scène et qu’il a en parti rejeté car le montage final ne lui plaisait pas. Produit et façonné à la gloire de Kirk Douglas, c’est un péplum brillant qui pour le coup n’a pas vieilli et n’a pas le côté factice de certaines vieilles productions. Étonnant aussi de voir un sujet aussi subversif adapté dans l’Amérique de la fin des années 50. Un film qui se découvre encore avec grand plaisir.
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    120 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2018
    Un péplum à gros budget produit par Kirk Douglas qui remplit bien son cahier des charges avec de solides batailles, une BO grandiloquente et un certain lyrisme pas désagréable. Cependant ça a vieilli sur quelques points et on aurait aimé avoir un Kubrick pleinement impliqué dans le projet histoire que ce "Spartacus" puisse prendre une autre dimension encore. Cela reste culte sur bien des aspects.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2018
    Formidable spectacle. Film somptueux où l’action et la fraternité se mêlent aux combats et aux grandes promesses de gloire. On trouve aussi dans ce film de belles scènes sensibles comme celle où Spartacus se rend compte de sa faiblesse. Il ne sait rien du monde. Grâce au poète il sait qu’il a tout à apprendre.
    La deuxième partie est la plus flamboyante. Car outre la scène de combat mémorable, c’est le moment de l’arrestation le plus poignant. Le désespoir et la mort ne sont plus que le seul refuge et que dire de la scène bouleversante de la femme et de son enfant face à Spartacus vaincu.
    Une aventure formidable et palpitante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 octobre 2018
    Spartacus quatrième œuvre de Stanley Kubrick réalisé en 1960 qui s'initie au genre historique/péplum (après l'excellent Les sentiers de la gloire en 1957) nous projettes en l'an 73 avant Jésus-Christ en Italie ou deux gladiateurs amis doivent s'affronter dans une arène pour se tuer et décider du vainqueur. Spartacus s'en sort et lance un vent de révolte avec de nombreux esclaves dans le but de rejoindre des navires Ciliciens , mais un adversaire de taille va compromettre les plans de Spartacus et de toute son armée : L'empire Romain

    Bien que j'apprécie peu le genre péplum, je me suis lancé dans cette grande et longue aventure, fresque historique de 3h, un peu longue tout de même mais qui m'a charmé et m'a frappé par ses décors, ses costumes et ses nombreuses scènes d'actions et de combats marquantes sans excès. Kubrick à encore su étonner et l’œuvre subtil est de qualité et très soignée.
    Concernant le casting lui est essentiellement composé d'une distribution masculine avec le personnage de Spartacus (interprété par Kirk Douglas) en personnage principal et Tony Curtis (celui d'Antonius) tout deux talentueux sans oublier Peter Ustinov, Laurence Olivier ou encore Charles Laughton donnant au film ce côté viril, gladiateur bien présent mais aussi la présence de Jean Simmons qui marque un côté lyrisme, romantique à cette fabuleuse histoire mêlant historique et romantisme. Les dialogues sont très beaux avec des répliques mémorables je pense notamment à celle de : - Je suis Spartacus
    Tout comme la musique qui l'accompagne de Alex North. Et la séquence finale marquante et très émotive bouleverse le spectateur spoiler: Spartacus attaché et suspendus à cette croix


    Malgré que je sois très réticent sur ce genre d’œuvre, celle-ci m'a captivé de la part d'un réalisateur que j'apprécie beaucoup. A voir pour les fans du genre et du réalisateur
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    2,5 étoiles - Spartacus

    Un spectacle relativement bien réalisé. Tout le savoir faire hollywoodien de cette époque est mis en scène (notamment dans le déploiement humain lors des scènes d'action) - avec le petit plus de Kubrick au niveau des cadrages et de la succession des plans (regardez bien ... c'est remarquable). Cela reste toutefois un film très académique, surtout au niveau de la narration (et de la musique) - les scènes sentimentales sont notamment longuettes et d'un romantisme "vintage" (avec sa musique typique) d'un autre âge ... Bref, c'est un film qui, malgré ses défauts (ou qualités) d'un autre temps, arrive à retenir notre attention, notamment par ses qualités cinématographiques.
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