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    Spartacus
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    250 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    304 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2010
    Un grand péplum autant par le spectacle proposé, des décors aux panoramiques autour de la Rome antique que par ses complots politiques incéssants. Même quand il se met au service des studios hollywoodiens, Kubrick fait valoir son sens de la narration pour raconter le mythe de Spartacus et le soulevement des esclaves sur cette commande un brin impersonnelle. comme la plupart des productions hollywoodiennes, les personnages n'ont pas beaucoup d' ambivalences et le message, la liberté en l'occurence, plutot martelé que suggeré. Du bon spectacle quand même avec un final très réussi.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2018
    Sans être à l’origine un grand fan de péplum, je dois dire que j’ai relativement bien apprécié « Spartacus ». Bien que bridé par un producteur envahissant et un acteur à l’égo aussi surdimensionné que celui du réalisateur, Kubrick est parvenu à jalonner son film de véritables trouvailles visuelles et offre quelques séquences remarquables auxquelles la bande originale insuffle un souffle épique nécessaire à tout bon péplum. La dimension autobiographique que donne Dalton Trumbo à son scénario est intéressante et on peut également saluer la qualité globale des interprètes. C’est un ressenti très personnel mais je trouve tout de même le film limité par les codes du genre qu’il investit, les dialogues interminables caractéristiques du péplum ayant tendance à user ma patience d’autant que beaucoup de ces scènes ne servent pas à grand-chose. Même si le long-métrage se permet quelques séquences osées (la scène de l’huitre et l’escargot notamment), le tout reste quand même un peu sage et formaté, trop inspiré par le succès précédent de « Ben-Hur » sans pour autant égaler sa dimension spectaculaire.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Seul film hollywoodien de Stanley Kubrick, "Spartacus" est aussi son moins personnel et celui dans lequel il est le plus difficile de retrouver les qualités habituelles du cinéaste, à savoir des plans à la beauté plastique irréprochable ou un scénario subtil présentant des personnages tentés par la cruauté. Ses films précédents montraient sa maîtrise dans le domaine de la mise en scène mais aussi son habileté scénaristique qui explosait dans "Les Sentiers de la gloire", faisant de lui le digne héritier d'Orson Welles ; ses longs métrages suivants seront quant à eux des chefs-d’œuvre visionnaires, d'abord d'une incroyable finesse dans l'écriture ("Lolita", "Docteur Folamour ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe") puis des œuvres d'une puissance esthétique révolutionnaire ("2001 : L'Odyssée de l'Espace", "Orange Mécanique", "Shining"). "Spartacus" reste lui très classique et détonne un peu dans cette filmographie ; pourtant, il est justement un classique du septième art. Certes, un autre réalisateur aurait pu obtenir un résultat similaire, mais s'il est bien impersonnel, ce film n'en demeure pas moins un chef-d’œuvre du genre. Péplum subtil et prenant, il parvient à échafauder un grand spectacle tout en évitant les pièges du manichéisme, car si le personnage de Kirk Douglas apparaît bien comme un héros sans reproche, ses ennemis ont un comportement beaucoup plus ambigu. Les scènes se déroulant à Rome sont d'ailleurs les meilleurs grâce aux excellents dialogues intervenant lors des débats politiques, d'une grande finesse et recelant un certain humour en plus de la précision historique. Peter Ustinov (qui a obtenu un Oscar bien mérité pour ce rôle) et Charles Laughton apparaissent d'une certaine façon comme les véritables personnages principaux, leurs conversations étant savoureuses et leurs interprétations talentueuses.
    La mise en scène est elle aussi extrêmement réussie : elle a beau être plus plate que dans les autres films du cinéaste, force est de reconnaître que la reconstruction historique trouve une puissance hors du commun lors des plans larges ou des plans d'ensemble, qu'ils interviennent lors des combats de gladiateurs, des batailles ou des vues sur la ville. De même, certaines scènes de dialogue sont dotées d'une atmosphère qui les met en valeur de façon changer la perception des spectateurs sur leur connotation. Ainsi, en filmant une scène de bain par un plan fixe et en l'agrémentant d'une lumière bleutée et d'une musique lancinante, Kubrick rend confortable un dialogue sur la bisexualité à mots couverts, comme une invitation au public. Dans l'ensemble, la musique est quant à elle plutôt réussie, avec quelques mélodies vraiment superbes mais aussi un thème romantique mièvre au possible et qui abaisse les scènes entre Spartacus et Varinia. Après tout, il est vrai que cette relation amoureuse est assez peu crédible et constitue sûrement le point faible du film, sûrement à cause de Jean Simmons qui est vraiment peu intéressante dans ce rôle, mais il est notable que Kirk Douglas perd lui aussi de sa légitimité quand il déclame son amour. S'il est l'initiateur du projet et qu'il porte le film dans un grand nombre de scènes, il faut bien constater qu'il n'est pas tout le temps à son plus haut niveau et qu'on ne peut le considérer comme le meilleur acteur de la distribution. Cela dit, il est difficile d'imaginer l'esclave thrace incarné par quelqu'un d'autre.
    Ainsi, si "Spartacus" n'est pas le point culminant de la carrière de Kubrick, il reste un film marquant dans l'histoire d'Hollywood ; qu'il soit ou non aussi évident que "Ben-Hur", il possède la même puissance.
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    70 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2011
    Stanley Kubrick sait vraiment faire des réussites dans tous les genres. Ici, il s'attaque au péplum, et il réalise une vraie merveille. Que ce soient les scène de batailles très impressionantes ou les moments plus intimes, tout est superbe. De plus, la présence du charismatique Kirk Douglas dans le rôle du légendaire Spartacus renforce la puissance de ce film. Une oeuvre magnifique où est exaté le combat d'un homme pour la liberté. Un péplum de grande ampleur. Et une fin très forte ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Amateur de Péplum,vous allez être servis. Combat de gladiateurs,histoire d'amour,action,aventure,rebellion etc etc... Ne pas se décourager devant la durée du film même si la fin ne respecte pas l'histoire, ce film est a voir!
    RealPrime
    RealPrime

    85 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2020
    Il y eut "Ben-hur", "Les Dix Commandements", "Troy" et quelques autres, Celui-ci fait parti intégrante des plus culte de part sa durée, sa qualité visuelle, des décors grandiose, un nombre impressionnante d figurants, une vrai visibilité de qu'étaient les Romains dans leur manière de vivre, leur manière de juger les "minables", leur mythique exécution absolument sans aucune moralité, leur soif de conquérir le cœur de leur souverain... Kirk y incarne le génie qui va faire soulever tout un peuple contre cet énergumène dont la longévité n'à de cesse de croître. Un homme qui sera le "premier juger avoir une bonne cervelle et un sens de la réflexion", un homme ne supportant pas l'humiliation des plus faibles, qui ne supporte pas les comportements déplacer vis à vis d'une femme, qui ne supporte tous bonnement pas qu'on prenne l'humain pour une chose. Car c'est bien ça l'esclavage, rendre une personne telle un objet qu'on achète et qu'on débarrasse lorsqu'on en à plus besoin, ici c'est la même chose, inspecter le corps et limite l'anatomie d'une personne, est-ce qu'ils se rendaient au moins compte ces gars de comment ils pouvaient être ? Les Romains sont certes l'une des plus grandes civilisations ayant exister, ils n'en demeure pas moins stupide sur bien des points. Un film d'esclaves comme rarement au ciné, il y à eu "Amistad", "Django Unchained", "12 Years a Slave", mais pas réellement plus d'aussi connu. Puis côté jeu, Kirt joue ici vrai combattant pour sa liberté, d'abord perdu de se retrouver là au milieu de cette jungle de testostérones et de pouvoir sans limite. Il est poétique j'le dis clairement sur bien des scènes, surtout avec cette servante qu'il ne pourra pas s'empêcher de regarder à chaque apparitions. Puis le script, c'est une fois d'plus l'inconvénient des films de cette décennies et de celles à venir, trop de parler tue le reste, et cela aura fini par me perdre quelques fois, le script est donc inutile parfois. Puis les scènes d'action sont très bien gérées, très bien filmées et jouées, la bataille finale est épique et hallucinante par son nombre de figurants et moyens technique pour l'époque, son réalisateur y est sûrement pour beaucoup. Enfin, j'aurais remarqué que cet homme est comme Moise ou Jésus, il parle à la foule et tous l'monde l'écoute, et c'est lui qui soulève les foules. Mais contrairement à l'un d'entre eux, il ne s'est pas laisser juger sans rien faire. Imaginant les dernières secondes du film, j'ai clairement accéléré. Un péplum long et d'une connotation bien claire, visuellement épique et doté de sympathiques moments. Un autre grand rôle du regretter Douglas.
    Tanezir
    Tanezir

    34 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2010
    Honnêtement un très bon péplum que j'ai toujours pris beaucoup de plaisir à regarder, aussi bien en cours de latin que chez moi.
    r0c-bribri
    r0c-bribri

    22 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2012
    Un grand péplum avec tous les ingrédients du genre , un K.Douglas depuis ce film totalement indissociable de Spartacus et une mise en scène de qualité , celle de S.Kubrick qui font de cette histoire un véritable mythe et enjeu politique important.Tantôt héro tantôt martyr, Spartacus est le personnage parfaite figure d'un bon péplum.Un très grand divertissement à voir
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 587 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juin 2021
    Kirk Douglas opte sagement pour une interprétation directe du héros dans le rôle-titre de Spartacus. C'est un homme ordinaire né dans un monde qui n'a jamais entendu parler des droits de l'homme il sait et sent qu'il n'est pas seulement du bétail. Admirez les scènes où Douglas et Sir Laurence Olivier s'adressent alternativement à l'armée d'esclaves et à l'armée romaine. Olivier avec ses années de formation shakespearienne apparaît comme le tyran en puissance et Douglas dans une prose simple parle des esclaves qui se battent pour leurs espoirs et leurs rêves. L'intrigue porte sur une révolte dans une école de gladiateurs qui se transforme en crise pour l'Empire romain. Les factions politiques dirigées par Olivier dans le rôle de Crassus et Charles Laughton dans celui de Gracchus cherchent à utiliser la révolte des esclaves pour servir leurs propres intérêts. Laughton comme toujours est une merveille. C'est un casting un peu inhabituel pour lui car ses rôles sont généralement ceux d'âmes très torturées. Son Gracchus est un coquin sournois mais un homme honnête. La réalisation de Stanley Kubrick et la musique sont impeccables. Seuls John Dall dans le rôle d'un Glaberus très moderne et John Ireland dans celui de Crixus semblent déplacés. Ironiquement malgré le ton pessimiste du film il est impossible de le regarder sans s'élever à travers des larmes de compassion...
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2014
    (...) Tout le monde le sait, l’incursion de Kubrick dans le monde très codé du péplum n’a rien d’un choix personnel : c’est un tremplin à sa carrière et un remplacement de dernière minute pour le projet de Douglas construisant un film à sa gloire. On pourra néanmoins chercher dans ce film les germes de son esthétique ou les obsessions qui seront les siennes par la suite. La maitrise formelle est évidente, particulièrement dans les plans d’ensemble et la gestion des foules (...) Sur la thématique propre au film, les indices d’un attachement à l’aliénation et à la mécanique du corps sont déjà bien présents : du formatage du gladiateur à son combat-spectacle, de la vente des corps à leur crucifixion, Kubrick exploite l’idéologie très prégnante de Trumbo dans l’image elle-même (...) Le péplum est donc avant tout une question d’équilibre : concilier tête à tête, romance, violence, destin d’un pays tout entier, épopée collective et destinée individuelle. Spartacus est dans ce registre une véritable réussite, à laquelle on peut joindre la capacité qu’il a à entrer en résonance avec les enjeux idéologiques d’une autre époque, où la lutte des classes et l’appel à la cohésion de la plèbe prend une autre dimension.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    68 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2012
    "Spartacus" (1960) fut à l'époque l'un des premiers gros succès de l'immense Stanley Kubrick avec notamment "Les sentiers de la gloire" sorti 3 ans avant. Ce film retrace la vie de l'esclave le plus célèbre de l'histoire romaine, avec quelques modifications néanmoins pour ajouter du piment à l'histoire notamment à la fin où certains passages sont pas mal modifiés par rapport aux faits historiques. Mais l'histoire en reste cependant très fidèle avec une reconstitution parfaite des années où le plus grand empire de l'époque a tremblé face à des simples esclaves. Dans la chronologie des révoltes, il y a eu les esclaves, il y a eu les Américains pour leur indépendance, puis les noirs plus récemment, mais il y a de quoi se prendre d'affection pour ses esclaves qui voulaient simplement une vie meilleure et rendre à leur "maîtres" ce qu'ils ont endurés. Une rebellion majestueusement représentée par Kubrick, qui deviendra plus tard l'un des plus grand réalisateur de tous les temps, on ne peut qu'admirer la minutie de son travail (il est notamment connu pour ça). Le scénario est très élaboré, sans grosses longueurs apparentes avec quelques scènes prodigieuses, notamment la scène des esclaves enchainés juste après la bataille finale qui m'a donné des frissons. Côté casting, le rôle principal a été confié à Kirk Douglas (père de Michael Douglas) qui est bon par moment et beaucou moins bon par moment, mais le moins bon est sans doute John Gavin dans son rôle de Jules César, il demeure absolument inexpréssif et transparent alors que le reste du casting est plutôt bon (notamment un Oscar du meilleur second rôle pour Peter Ustinov). De plus, c'est grâce à ce film que Kubrick récoltera les seuls Oscars de sa vie (!!!)
    kray
    kray

    50 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2011
    Bon film certe , mais inférieur à un ben hur , spartacus est le film le moins personnel de kubrick qui s'empoigna régulièrement avec kirk douglas véritable cheville ouvrière du long métrage. Cependant , les moments de bravoure de manquent pas , et le même kirk douglas assure le spectacle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 mai 2010
    Grand classique, comme de nombreux films de Stanley Kubrick, sauf que celui-ci ne l'est pas devenu de par son unicité, comme 2001 ou Eyes Wide Shut. A noter que Roger Waters, le bassiste des Pink Floyd, à diffusé, au début de la représentation scénique de The Wall, la fameuse scène où spoiler: tout le monde se lève et crie : "I am Spartacus !" pour se dénoncer à la place du vrai Spartacus
    . Drôle d'idée vu le peu de lien que l'on puisse faire entre les deux, vous ne trouvez pas ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 mai 2012
    Pour beaucoup de cinéastes, cinéphiles, cinéphages, et j'en passe, Stanley Kubrick est un dieu. Un réalisateur de génie qui a, dès lors, inspiré Martin Scorsese, Gaspar Noé, Quentin Tarantino, Michael Mann, etc, etc... "Spartacus" reste le seul péplum de la carrière du cinéaste et sans doute un des moins réussi. D'abord sous la direction d'Anthony Mann, "Spartacus" s'est vu remis entre les mains de Kubrick après plusieurs différents entre l'acteur/producteur Kirk Douglas et le réalisateur d'origine.
    Lorsque l'on regarde "Spartacus", la patte "kubrickienne" ne se fait pas intégralement sentir. Rien ne différencie le film des autres péplums sortis durant la même période comme, je cite, "Ben-Hur" de William Wyler ou "Barabas" avec Anthony Quinn. Attention, je ne dis pas que "Spartacus" est un film mauvais, loin de là (je vois déjà quelques personnes sortir des pierres pour me lapider), seulement qu'il s'agit bel et bien du film le moins personnel de Kubrick et que cela se ressent. Premièrement par le scénario écrit par Howard Fast et Dalton Trumbo, qui présente plusieurs lacunes dont la plus importante concerne les interminables longueurs qui n'apportent pas grand chose au récit. A ça, on peut comparer ces scènes de long silence avec "Barry Lyndon" que Kubrick tournera 15 ans plus tard. Dans "Barry Lyndon", les scènes de silence étaient belles et maîtrisées, elle apportaient une dimension poétique au film. Le romantisme du début entre Barry et Lady Lyndon était subblimé. Dans "Spartacus", on peut toutefois citer cette volonté pré-"Barry Lyndon" de vouloir mettre en avant la romance entre Spartacus et Varinia. Sauf que l'ensemble a très mal vieilli et que l'effet voulu ne fonctionne plus et ennui, de même que ces autres scènes de dialogues qui n'apportent pas grand chose à l'intrigue. Quand on sait que Kubrick voulait modifier le scénario mais qu'il n'a pas pu à cause des producteurs, on s'en mord les doigts en fantasmant sur ce qu'il aurait fait de la légende du guerrier thrace. Outre un rythme qui passe d'un côté épique à une lenteur exaspérante, tout ce qui touche à la technique reste très maitrisée et gratifie le film de beaux plans que ce soit sur les personnages ou durant la bataille finale, très intéressante même si on ne remarque pas forcément les "touches" du maître derrière la caméra. Le casting reste très bon et Laurence Olivier ainsi que Peter Ustinov apportent leurs qualités de jeu à ce drame.
    "Spartacus" n'est pas un film sur lequel il faut cracher dessus de fond en comble. Le long-métrage a simplement mal vieilli à l'heure d'aujourd'hui, notamment au niveau du scénario. Un bon péplum, ni plus, ni moins, mais le moins personnel de son auteur qui, malheureusement, se ressent au niveau de la réalisation.
    Willow-des-bois
    Willow-des-bois

    22 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Le meilleur film de Kubrick, de loin.
    Je dirais même , le seul vraiment bon qu'il aie fait.
    The Shining, Dr Strangelove et A Clockwork Orange étant 3 des pires films que j'aie vus (je ne comprendrais jms leur popularité!! D'ailleurs, Shining est, selon le maître Stephen King, la pire des adaptations d'1 de ses bouquins qui aie été faites, et il y en a eu au moins 100), Eyes Wide Shut est très moyen, et Full Metal mieux, mais sans .
    Après, je n'ai pas vu les autres, mais espère bien voir enfin 1 jour 2001, malgré tt ce que son oeuvre m'inspire.
    Ma note est bonne mais reste mitigée à cause du fait que tt ça manque de batailles et d'action, pour 1 film durant 3h.
    Et c qqn qui aime que les films fassent minimum 2h qui dit ça. Par ex, les 3h30 de Le Retour du roi passent vite, tant ce film est un chef d'oeuvre.
    Mais bon, on ne s'ennuye qd même pas trop devant Spartacus, qui reste une très belle histoire, qui se fini plutôt mal, mais pas totalement non plus.
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