Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
C'est la toile idéale pour ensoleiller un dimanche maussade. Bien dans la tradition du genre, avec des personnages dessinés comme dans une B.d, ce film d'aventure, bénéficie d'une réalisation efficace qui nous offre plusieurs temps forts, dont l'impressionnant crash du début. (...) N'oubliez pas d'attacher vos ceintures, "Le vol du Pheonix" dure près de deux heures, et il est sans escale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Commencé comme un film-catastrophe aux effets dramatiques spectaculaires, Le Vol du Phoenix se transforme en drame de la survie, semé d'embûches de toutes sortes. Au début, l'affrontement des caractères est assez prenant, mais les péripéties sont trop peu plausibles, et le personnage caricatural d'Elliot, petit ingénieur saisi par un délire de despotisme, n'arrange pas les choses.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Drôle d'idée sans doute de vouloir faire le remake d'un film mineur de Robert Aldrich (...). John Moore reprend ce schéma en ajoutant un personnage féminin (ce qui relève du contresens) et en insistant (c'est un des atouts du film) sur le côté antipathique de celui qui va sauver le groupe. Sans véritable nécessité, le film fait par ailleurs un usage absurde de musiques d'origines différentes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bayon
En fait, passé une bonne exposition (chouette carlingue, crash sérieux même si loin du piqué soufflant de Seul au monde), le Vol du Phénix 2005 n'apporte rien au thème, impeccablement cadré, épuisé et déposé en 1965 (...). L'atout maître de ce Phénix bis, Quaid (...) déçoit surjoue (...) au point de gâter avec l'aide d'une réalisation certes exempte de préciosité les occasions dramatiques émouvantes de rencontre. (...) Remarquable en regard est Giovanni Ribisi.
Première
par Christian Jauberty
John Moore passe une couche de peinture fraîche sur la trame d'un film de Robert Aldrich (...). De là à dire qu'il le fait renaître de ses cendres... Le traitement des relations entre les personnages manque d'inspiration. Et les rebondissements suffisent à peine à empêcher le suspense de s'épuiser plus vite que les réserves d'eau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Anthony Wong
(...) nous avons droit à une photocopie sans finesse qui distrait sommairement le spectateur. Formaté pour un public famillial, le Vol du Phoenix déçoit de la part du réalisateur John Moore, lui qui avait emballé avec force En territoire ennemi. Reste un bon film de vacances.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une apologie des vertus du travail et de la solidarité plombée par un scénario manichéen (...) et une réalisation au plan de vol prévisible. En bref, ça ne décolle pas vraiment.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Marc Kressmann
(...) un film d'action 100% marketing avec quotas ethniques à la clé. Côté action, pas de déception : le crash du début est très impressionnant. A partir de là, le scénario multiplie les clichés et les dialogues consternants (...). Faiseur efficace, John Moore (...) ne réussit pas à insuffler la moindre saveur à ce film (...). Dépourvu d'émotions ou de vrai suspense, LE VOL DU PHOENIX se laisse voir sans déplaisir, mais sans passion.
Mad Movies
par Arnaud Bordas
Outre une direction d'acteurs proprement honteuse, qui réussit même à rendre ridicule un Giovanni Ribisi en roue libre, Le Vol du Phoenix bénéficie du goût très sûr de John Moore, qui continue sa carrière de shooter décérébré. (...) Le monsieur ne sait toujours pas filmer, nous gratifiant de plans aériens pile-poil au mauvais moment ou s'autorisant un superbe coucher de soleil sur un personnage qui arpente une dune à contre-jour...
Ouest France
par La rédaction
Signées John Moore, coupable déjà du laborieux En territoire ennemi, des aventures au rabais : dans le scénario, cousu de fil blanc par des personnages de caricature, et dans la mise en scène bâclée avec comédiens évoluant devant un fond bleu masqué par les effets spéciaux et des avions qui sont de simple modèles réduits.
Studio Magazine
par Benoît Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Les événements spectaculaires se succèdent, donc (tempête de sable, orage électrique, attaque de mercenaires fielleux), dans une morne monotonie. Sur fond de musique tonitruante et de formules pseudo-philosophiques (" les religions divisent les peuples, la croyance les unit "). Seul personnage intéressant : Giovanni Ribisi, en (faux) petit génie blondinet, nasillard et mégalo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Ce remake d'un Robert Aldrich déjà très moyen ne réserve aucune surprise et se contente de recycler archétypes et clichés. Malgré une scène de crash aérien efficace, pas grand-chose à retenir de ce divertissement mollement calibré avec tube d'Outkast qui tape ostensiblement à l'oreille du spectateur, tentatives humoristiques vaines et péripéties plus convenues tu meurs. Finalement, le film ne vaut que pour un élément très positif : Giovanni Ribisi (...).
Paris Match
C'est la toile idéale pour ensoleiller un dimanche maussade. Bien dans la tradition du genre, avec des personnages dessinés comme dans une B.d, ce film d'aventure, bénéficie d'une réalisation efficace qui nous offre plusieurs temps forts, dont l'impressionnant crash du début. (...) N'oubliez pas d'attacher vos ceintures, "Le vol du Pheonix" dure près de deux heures, et il est sans escale.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Commencé comme un film-catastrophe aux effets dramatiques spectaculaires, Le Vol du Phoenix se transforme en drame de la survie, semé d'embûches de toutes sortes. Au début, l'affrontement des caractères est assez prenant, mais les péripéties sont trop peu plausibles, et le personnage caricatural d'Elliot, petit ingénieur saisi par un délire de despotisme, n'arrange pas les choses.
Le Monde
Drôle d'idée sans doute de vouloir faire le remake d'un film mineur de Robert Aldrich (...). John Moore reprend ce schéma en ajoutant un personnage féminin (ce qui relève du contresens) et en insistant (c'est un des atouts du film) sur le côté antipathique de celui qui va sauver le groupe. Sans véritable nécessité, le film fait par ailleurs un usage absurde de musiques d'origines différentes.
Libération
En fait, passé une bonne exposition (chouette carlingue, crash sérieux même si loin du piqué soufflant de Seul au monde), le Vol du Phénix 2005 n'apporte rien au thème, impeccablement cadré, épuisé et déposé en 1965 (...). L'atout maître de ce Phénix bis, Quaid (...) déçoit surjoue (...) au point de gâter avec l'aide d'une réalisation certes exempte de préciosité les occasions dramatiques émouvantes de rencontre. (...) Remarquable en regard est Giovanni Ribisi.
Première
John Moore passe une couche de peinture fraîche sur la trame d'un film de Robert Aldrich (...). De là à dire qu'il le fait renaître de ses cendres... Le traitement des relations entre les personnages manque d'inspiration. Et les rebondissements suffisent à peine à empêcher le suspense de s'épuiser plus vite que les réserves d'eau.
Score
(...) nous avons droit à une photocopie sans finesse qui distrait sommairement le spectateur. Formaté pour un public famillial, le Vol du Phoenix déçoit de la part du réalisateur John Moore, lui qui avait emballé avec force En territoire ennemi. Reste un bon film de vacances.
TéléCinéObs
Une apologie des vertus du travail et de la solidarité plombée par un scénario manichéen (...) et une réalisation au plan de vol prévisible. En bref, ça ne décolle pas vraiment.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(...) un film d'action 100% marketing avec quotas ethniques à la clé. Côté action, pas de déception : le crash du début est très impressionnant. A partir de là, le scénario multiplie les clichés et les dialogues consternants (...). Faiseur efficace, John Moore (...) ne réussit pas à insuffler la moindre saveur à ce film (...). Dépourvu d'émotions ou de vrai suspense, LE VOL DU PHOENIX se laisse voir sans déplaisir, mais sans passion.
Mad Movies
Outre une direction d'acteurs proprement honteuse, qui réussit même à rendre ridicule un Giovanni Ribisi en roue libre, Le Vol du Phoenix bénéficie du goût très sûr de John Moore, qui continue sa carrière de shooter décérébré. (...) Le monsieur ne sait toujours pas filmer, nous gratifiant de plans aériens pile-poil au mauvais moment ou s'autorisant un superbe coucher de soleil sur un personnage qui arpente une dune à contre-jour...
Ouest France
Signées John Moore, coupable déjà du laborieux En territoire ennemi, des aventures au rabais : dans le scénario, cousu de fil blanc par des personnages de caricature, et dans la mise en scène bâclée avec comédiens évoluant devant un fond bleu masqué par les effets spéciaux et des avions qui sont de simple modèles réduits.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Les événements spectaculaires se succèdent, donc (tempête de sable, orage électrique, attaque de mercenaires fielleux), dans une morne monotonie. Sur fond de musique tonitruante et de formules pseudo-philosophiques (" les religions divisent les peuples, la croyance les unit "). Seul personnage intéressant : Giovanni Ribisi, en (faux) petit génie blondinet, nasillard et mégalo.
aVoir-aLire.com
Ce remake d'un Robert Aldrich déjà très moyen ne réserve aucune surprise et se contente de recycler archétypes et clichés. Malgré une scène de crash aérien efficace, pas grand-chose à retenir de ce divertissement mollement calibré avec tube d'Outkast qui tape ostensiblement à l'oreille du spectateur, tentatives humoristiques vaines et péripéties plus convenues tu meurs. Finalement, le film ne vaut que pour un élément très positif : Giovanni Ribisi (...).