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    Candyman
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    3,0
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    169 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 juillet 2011
    Ce film tient plus du thriller que du film d'horreur. Le tueur n'effraie pas mais fascine plus. On ne comprend pas trop ce qui arrive à l'héroïne et ce qu'il se passe parfois. Au delà de ces incohérences, le tueur Candyman est plutôt intéressant et possède une histoire qui lui donne de la consistance. Le mythe du démon qui apparaît quand on prononce son nom plusieurs fois devant son mirroir est un peu kitch mais réussit à bien être exploité ici.
    Le réalisation fait un peu vieillotte par contre pour un film de 1992.
    La fin est toutefois bien sympathique.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mars 2008
    Candyman (1992) de Bernard Rose. Film d'horreur sur une légende urbaine. Si l'on prononce 5 fois le mot "candyman" devant son miroir on peut s'attendre à des morts violentes perpétré par un mysterieux Candyman. L'originalité du film se trouve dans le lieu où se déroule la légende; les zones dangereuses de Boston. Cette originalité n'est malheuresement pas soutenue par l'ensemble du film bien que le début s'annoncait trés prometteur avec des images etonnantes de virtuosités. Soigné, esthétique, le film l'est surement, mais l'ennuie nous gagne arrivé à la moitié du film car peu de renouvellement et des giclé de sang trop rares pour un film d'horreur. Certe on pourra sursauté deux trois fois car le suspense et le choc sont bien ammenés mais rien de bien méchant. On reste pourtant jusqu'au dénouement final assez sombre sans être glauque (aurait du y aller franchement je pense) grâce à une musique envoutante qui donne un aspect peu commun à ces cités vides, une performance solide de l'actrice principale et des images soignés comme je l'ai dit. Le candyman manque de charisme donc l'effet de manipulation ressentit par la protagoniste n'est pas ressentit par nous et le fait qu'elle soit pris dans un engrenages de mensonges n'est passez appuyé pour que l'on s'inquiète de son sort. Trop légé pour le genre.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    19 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2021
    D'une puissance évocatrice forte, Candyman reste passionnant par son usage de la légende urbaine et de son rôle en tant que mythologie moderne avec une force horrifique implacable et une poésie macabre aussi fascinante que Tony Todd dans le rôle titre.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Inspiré de la nouvelle "Lieux interdits" du génie de l'horreur Clive Barker, Candyman reste à ce jour l'une des meilleures adaptations de l'écrivain anglais. Bien épaulé par Barker, qui suit de près le projet en tant que producteur, le réalisateur du drame fantastique Paperhouse Bernard Rose réussit à retranscrire toute la puissance et l'horreur de la courte histoire, étayant cette dernière à travers un film tout simplement effrayant, chose au final rare dans le genre. Car en ne dévoilant que très rarement et à chaque fois avec efficacité son croquemitaine moderne, le film gagne considérablement en terreur, plongeant le spectateur - au même titre que son héroïne - dans un cauchemar bien réel. Il faut dire que cette légende urbaine a de quoi donner de sacrés frissons : un ancien esclave noire est devenu, après un lynchage sanglant, un véritable monstre qui n'intervient que lorsque son (sur)nom est prononcé cinq fois devant un miroir. De quoi ne jamais tenter l'expérience ! Ce spectre meurtrier des temps nouveaux est incarné par le géant Tony Tood (à peine vu dans le remake de La nuit des morts-vivants de Tom Savini). Face à lui, une étudiante de plus en plus intriguée par le mythe qui va s'enfoncer à chaque fois un peu plus profondément dans l'horreur, traversant pour cela les endroits les plus glauques des ghettos de Chicago. Interprétée par l'excellente Virginia Madsen, nous faisons face ici à une véritable héroïne aussi fragile que déterminée à percer le secret de ce sanguinaire fantôme... Autour d'une musique angoissante signée Phillip Glass et de décors terriblement glauques. Bernard Rose arrive à instaurer à chaque image un certain malaise, nous renvoyant à nos peurs les plus obscures tout en ne négligeant pas son spectacle à grands coups de meurtres gorgés d'hémoglobine ainsi que de quelques scènes choc (dont le réveil de notre héroïne ensanglantée à côté d'un bébé à peine assassiné). Candyman est donc l'une de ces perles horrifiques rares et réussies, un vrai film de peur comme on en fait plus et comme on aimerait en voir plus souvent.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    D’une réflexion sur l’horreur et sa nécessité au sein des sociétés humaines, la nouvelle de Clive Barker ici adaptée voit son propos évoluer vers une peinture des classes sociales et raciales où le monstre se mue en métaphore d’un passé esclavagiste sans cesse ravivé par le temps. Prononcer le nom, c’est se raccorder immédiatement à l’Histoire. De l’appartement bien agencé et décoré du couple principal, nous passons aux immeubles sordides dans lesquels l’horreur paraît partout présente, hante les couloirs, les miroirs et ce qui se cache derrière. Franchir la barrière et s’aventurer au-delà de la zone autorisée, c’est risquer sa vie, ou la reprendre paradoxalement en main. Esprit vengeur qui cristallise toute forme de violence humaine, dont les apparitions sont réglées par un rituel quasi mathématique où la sensibilité n’a pas sa place, Candyman avance de la cause à l’effet, de l’appel à la mort, dans une linéarité d’emblée affichée par un travelling aérien sur l’autoroute. Cette rigidité se voit néanmoins complexifiée par l’irruption de la saleté et de l’art : les graffitis sont leur symbole commun. Les graffitis sont la marque graphique d’une contestation politique et de l’affirmation d’une identité. Ils émancipent dans l’obscurité, loin des regards indiscrets, mais émanent d’une collectivité ; dès lors, traverser le trou dans le mur revient à basculer de l’autre côté comme le ferait une Alice au pays des merveilles, à entrer dans la bouche de la divinité malfaisante préalablement convoquée et, ce faisant, à s’impliquer dans les croyances d’une population. Alors les abeilles, pourquoi les abeilles ? Elles sont associées à l’image de la ruche et donc d’une activité communautaire qui fait d’elles une famille d’insectes. Il en va de même pour les habitants des mauvais quartiers : leur mode de vie ressemble, depuis un regard extérieur qui se plaît à rassembler les nouvelles éparses – meurtres d’enfants, violences endémiques, misère etc. – entendues dans les média, à un grouillement duquel il vaut mieux se tenir éloigné, de peur de la piqûre. Lorsque les deux protagonistes féminins principaux osent braver le tabou et se rendre sur le terrain, ils sont vite désignés comme des policiers ou comme les représentants de toute force de répression néfaste. « Dès qu’on voit un Blanc ici, c’est mauvais signe ». La structure du film cultive une esthétique du grouillement : elle donne une impression de bric-à-brac général dans lequel les scènes, bien que subtilement montées, s’enchaînent de façon abrupte, sautent d’un lieu à l’autre sans repères pour le spectateur. Impression que corrobore la partition musicale de Philip Glass, création percutante dont la répétition ad nauseam de son thème principal participe à l’élaboration d’un cauchemar qui va crescendo. Œuvre d’émancipation, Candyman souffre néanmoins d’un scénario à tiroirs plutôt démonstratif qui peine à donner corps à son démon éponyme : sa légende n’est que verbale, et le passage de la transmission orale à l’incarnation physique ne fonctionne pas vraiment. En revanche, Bernard Rose sait capter le potentiel surnaturel de l’environnement urbain, si bien que les immeubles délabrés, leur population ainsi que les différentes pièces secrètes qui s’y cachent forment la véritable menace du long-métrage, une menace essentiellement topographique. Un film de bonne qualité, donc, qui rénova le cinéma d’épouvante des années 90 et qui, aujourd’hui encore, continue de fasciner.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    89 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2011
    De part ses nombreux niveaux de lecture et son intrigue plus réfléchie que les films d’horreurs moyens, Candyman s’impose comme une œuvre à l’originalité marquée. Du point de vue de la terreur pure ce n’est pas le film le plus mémorable. De même, le scénario n’est pas exempt de tout défaut et l’intérêt retombe un peu en fin de film. Cependant, la réalisation est soignée, les acteurs s’en tirent très bien et la superbe bande originale impose une ambiance stressante à souhait. Un film loin d’être parfait mais qui a l’intérêt de dénoter au milieu de la production habituelle.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 janvier 2007
    Un film plus vraiment récent... pas mal pour son époque.
    En effet, l'ambiance est plus ou moins stressante, l'histoire bien trouvée ("Candyman, Candyman, Candyman, Candyman..." Auriez-vous le courage de le dire une 5ème fois devant un miroir...?).
    Bref, un classique, je pense, qu'il faut avoir vu. Rien d'exceptionnel, l'action est un peu longue à se mettre en place, le fameux "Candyman" n'est pas vraiment si "flippant" que ça au 1er abord, quoique pas très sympathique non plus !!! ^^
    Un bon petit film sans prétention, à voir, au moins pour sa culture cinématographique !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Loin d'une "pointure" du cinéma d'horreur, Candyman s'apprécie par sa juste valeure: une mies en scène diaboliquement efficace, des acteurs inconnus mais bons( sauf le boss, pas très charimatique pour le personnage qu'il joue!) et une mudique tout simplement sublime composée par Sa Majesté Phillip Glass.
    dahbou
    dahbou

    205 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2007
    Un film d'horreur d'une rare originalité qui s'affranchit des codes du genre pour livrer une oeuvre à la musique et à l'image envoutante. Tony Dodd est excellent, ses apparition sont toujours effrayantes et sa relation morbide avec Virginia madsen est plutôt rare dans ce type de film.
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2013
    Si vous prononcez cinq fois son nom face à un miroir, il apparaît devant vous vêtu de sa longue fourrure, avec son crochet remplaçant sa main droite, vous parle avec une voix caverneuse qui résonne longuement dans votre tête, puis à l'aide de son crochet, il vous éviscère. Il s'agit du désormais célèbre Candyman. Adapté d'une nouvelle de l'écrivain Britannique Clive Barker, le «Candyman» de Bernard Rose est un slasher qui rompt un peu avec le schéma classique propre à ce genre. Tout d'abord, le scénario est beaucoup plus étoffé que ceux de la plupart des slashers en s'appropriant les codes du film d'horreur donc, mais aussi ceux du polar à l'image de l'enquête menée par cette étudiante avec photographies et diapositives à l'appui. Deuxièmement, le tueur (interprété par un Tony Todd impressionnant) est un personnage qui effraie mais qui fascine également, c'est assez rare pour être signalé ! Et troisièmement, le film explore le thème (finalement assez rare) des légendes urbaines. Bien qu'il ne soit pas excessivement violent et sanglant, «Candyman» est un film tout de même assez original. De plus, Rose réussit à instaurer une ambiance étouffante. C'est d'ailleurs ce climat pesant qui est à l'origine de l'efficacité des apparitions du tueur. Cependant, on pourra tout de même déplorer certaines lourdeurs qui auraient pu être facilement évitées avec un approfondissement du scénario un petit plus prononcé. Mais on ne peut le condamner pour cela, tant son entreprise, celle d'orienter le film d'horreur vers une autre direction est louable. Cela n'est qu'un avis personnel, mais selon moi «Candyman» est une référence du genre et est bel et bien un slasher increvable comme le dit AlloCiné.
    jamesluctor
    jamesluctor

    135 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2010
    Une legende urbaine plutot sympathique, qui se montre d'une certaine violence qu'on attendait pas forcement (Des familles entieres y passent). Les acteurs sont plutot bons et la musique, inhabituelle, distille une ambiance toute particuliere qu'il serait bon de connaitre. Un slasher honnete qui devrait combler toutes nos attentes.
    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2015
    "Candyman", réalisé par Bernard Rose et sortit en 1992, n'est pas le meilleur film d'horreur que j'ai pu voir mais il tient la route et le scénario est assez original même s'il se base un peu sur le mythe de "Bloody Mary" et surtout de la nouvelle "The Forbidden" écrite par Clive Barker. Le film raconte l'histoire d'une étudiante, Helen Lyne, qui doit écrire une thèse sur une légende urbaine et en farfouillant un peu partout, elle découvre la légende de Candyman et décide d'explorer le sujet sans y croire jusqu'à l'apparition de ce dernier. J'ai beaucoup aimé la première partie du film, quand Henlen cherche des réponses et explore le cartier de Candyman avec son amie Bernadette etc. mais la deuxième partie m'a moins plu, lorsque les meurtres sanglants commencent à arriver spoiler: et que Helen en est accusée à tort.
    Au niveau du rythme, il est assez bien géré, on a pas vraiment pas de quoi s'ennuyer car il y a toujours un rebondissement ou un truc intéressant à propos du tueur au crochet. Pour ce qui est de la peur, du frisson etc. il y en a finalement pas tant que ça et d'ailleurs pratiquement pas quand on regarde bien donc pour apprécier le film, il faut partir avec l'idée en tête que ce n'est pas forcément un film d'épouvante à proprement parlé. Du coté des acteurs, ils sont très bons surtout Virginia Madsen qui nous livre une très belle performance car elle est très convaincante dans son rôle et Tony Todd qui est aussi très bien dans son personnage et que beaucoup connaissent pour son rôle de Bludworth dans pratiquement tous les "Destination Finale". Le film possède aussi une très bonne B.O signée Philip Glass. La fin du film relève, pour moi, la deuxième partie que je ne trouvais pas très bonne car elle est assez belle spoiler: (pour l'enterrement d'Helen)
    et en même temps surprenante et assez sympa spoiler: (quand Helen apparait à la place de Candyman et tue Trevor)
    ce qui fait de "Candyman" un film tout de même assez bon dans l'ensemble même si ce n'est pas le film de l'année.
    Le comptoir du cinéphage
    Le comptoir du cinéphage

    28 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2009
    Un pitch prometteur. Un resultat classique au final.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 janvier 2011
    Une daube monumentale, il n'y a rien d'autre a ajouter
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2013
    Un film d'horreur dramatique au concept et au scénario original. L'idée de l'apparition du Candyman quand on prononce son nom 5 fois devant un miroir est vraiment effrayante, d'autant que le réalisateur induit constamment le doute sur la réelle existence du tueur. Est ce une hallucination, un cauchemar ? On ne sait jamais vraiment jusqu'à la fin, bien amenée par ailleurs.
    L'interprétation est par contre très inégale dans l'ensemble. Je trouve les acteurs plutôt mauvais et surjouant constamment et la VF est une catastrophe, ce qui doit probablement accentuer cette impression.
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