"Mais qui es-tu, zéro flapi, pour te permettre de penser que le labeur du clown se fait sans la sueur de l'homme? Qui t'autorise à croire que l'humoriste est sans orgueil? Mais elle est immense, mon cher, la prétention de faire rire. Un film, un livre, une pièce, un dessin qui cherchent à donner de la joie ( à vendre de la joie, faut pas déconner), ça se prépare, ça se découpe, ça se polit. Une œuvre pour de rire, ça se tourne, comme un fauteuil d'ébéniste, ou comme un compliment, je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire avec ce trou béant dans ta boîte crânienne... Molière, qui fait toujours rire le troisième âge, a transpiré à en mourir. Chaplin a sué. Guitry s'est défoncé. Woody Allen et Mel Brooks sont fatigués, souvent, pour avoir eu, vingt heures par jour, la prétention de nous faire rire. Claude Zidi s'emmerde et parfois se décourage et s'épuise et continue, et c'est souvent terrible, car il arrive que ses films ne fassent rire que lui et deux charlots sur trois."
Disait Pierre Desproges à propos d'un critique de cinéma, mais ici c'est à l'auteur de ce film que cette critique s'adresse.
Et bien oui M Baffie, faire un film comique ce n'est pas facile, et là vous avez pris un bien mauvais chemin pour essayer de nous faire rire.
Ce n'est qu'avec l'effet de la porte sur la plage que mes dents se sont desserrées un peu.
Comment avez vous pu faire une telle diarrhée avec un générique pareil ?
Vous devriez avoir honte, de faire une cuisine de restaurant routier avec du caviar, des langoustines et du homard.
Je ne connaissais pas ce film découvert hier, mais après son visionnage je comprends mieux pourquoi.