Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Ça devrait tenir en un court métrage, ça fait à peine un long. Mais toute l'équipe éprouve un tel plaisir à faire un film absurde, juste pour affirmer que rien n'est plus sérieux que le plaisir... que celui-ci est souvent contagieux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) Laurent Baffie a voulu s'essayer au cinéma. Et il s'en tire plutôt bien (...) il a réussi à transposer son comique irrévérencieux, plein d'autodérision et de mauvais goût, du petit au grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Personne n'en rêvait, Baffie l'a fait : le plus réussi des films nuls. La plus belle distribution de l'histoire du cinéma français, les meilleurs animaux-acteurs jamais vus sur un écran au service de l'intrigue la plus volontairement conne qu'on puisse imaginer. Le problème, c'est que c'est vraiment très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Certes, le film s'essouffle parfois au passage de quelques gags un peu moins inspirés que la moyenne, mais sinon les scènes délirantes s'enchaînent sans accroc (...) Non, vraiment le premier film de Laurent Baffie est tout sauf banal...
Il faut voir un tel film pour le croire : absolue comédie-poubelle et en même temps parfait tour de force, Les Clés de bagnole a beau ne pas être un film, il révèle en Baffie un potentiel cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La réussite du film tient au rôle que s'est assigné Laurent Baffie : le sien, personnage public, acteur, réalisateur et scénariste de son propre film en train de se faire. Sur ce terrain, il trouve quelques bonnes idées. Malheureusement, les mêmes causes produisent également les (gros) défauts du film. Parfaitement adapté à l'idée même de la télévision, le cynisme de Laurent Baffie (...) s'avère plus stérile sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'effet d'empilage surprend et amuse. Cinq minutes. Le temps de saisir l'"astuce" narrative qui consiste à passer en revue tous les cas de figure d'un tournage calamiteux (...) Subséquemment, la parodie, faute de souffle et d'idée régénératrice, finit par se mordre la queue.
(...) malgré la bonne volonté et le sympathique " je-m'en-foutisme " de Baffie, son premier essai ne ressemble qu'à une blague de potaches, qui se seraient donné les moyens d'aller au bout de leur délire.
Il y a quelques chutes de rythme et deux ou trois grossièretés, sans lesquelles Baffie n'oserait probablement pas se regarder dans la glace le matin. Mais on remarque son goût pour le gag absurde et pour le non-sens insolent (...) On aurait simplement aimé encore plus d'audace, de folie plus ou moins douce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) le grand Laurent-la-casse-à-froid abandonne son flegme et - certes pas autant que le laborieux Daniel Russo - s'agite par compensation dans la vacuité du deuxième degré (...) D'où vient que parmi ce creux fouillis et les dizaines de guests venus faireunpetitcoucou, on doive au seul Chabat une vraie trouée de rire ?
Le film joue sur une perche usée à souhait par le genre parodique : l'alternance entre le respect d'un scénario minimaliste (...) et un faux making-of complaisant. L'amuseur répète tout au long du film qu'il s'agit d'un "navet". On confirme.
Peu importe qu'on en révèle la fin, puisque l'acteur-auteur-réalisateur le fait lui-même au bout de quelqes minutes. C'est dire s'il s'en tape, de son histoire. Comme du reste, d'ailleurs (...) puisque dans un film, c'est bien connu, tout est possible. Y compris de carboniser toute notion de plaisir avec un cynisme, une complaisance et un second degré insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
Ça devrait tenir en un court métrage, ça fait à peine un long. Mais toute l'équipe éprouve un tel plaisir à faire un film absurde, juste pour affirmer que rien n'est plus sérieux que le plaisir... que celui-ci est souvent contagieux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
(...) Laurent Baffie a voulu s'essayer au cinéma. Et il s'en tire plutôt bien (...) il a réussi à transposer son comique irrévérencieux, plein d'autodérision et de mauvais goût, du petit au grand écran.
Première
Personne n'en rêvait, Baffie l'a fait : le plus réussi des films nuls. La plus belle distribution de l'histoire du cinéma français, les meilleurs animaux-acteurs jamais vus sur un écran au service de l'intrigue la plus volontairement conne qu'on puisse imaginer. Le problème, c'est que c'est vraiment très drôle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Certes, le film s'essouffle parfois au passage de quelques gags un peu moins inspirés que la moyenne, mais sinon les scènes délirantes s'enchaînent sans accroc (...) Non, vraiment le premier film de Laurent Baffie est tout sauf banal...
Chronic'art.com
Il faut voir un tel film pour le croire : absolue comédie-poubelle et en même temps parfait tour de force, Les Clés de bagnole a beau ne pas être un film, il révèle en Baffie un potentiel cinéaste.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
La réussite du film tient au rôle que s'est assigné Laurent Baffie : le sien, personnage public, acteur, réalisateur et scénariste de son propre film en train de se faire. Sur ce terrain, il trouve quelques bonnes idées. Malheureusement, les mêmes causes produisent également les (gros) défauts du film. Parfaitement adapté à l'idée même de la télévision, le cynisme de Laurent Baffie (...) s'avère plus stérile sur grand écran.
Libération
L'effet d'empilage surprend et amuse. Cinq minutes. Le temps de saisir l'"astuce" narrative qui consiste à passer en revue tous les cas de figure d'un tournage calamiteux (...) Subséquemment, la parodie, faute de souffle et d'idée régénératrice, finit par se mordre la queue.
MCinéma.com
(...) malgré la bonne volonté et le sympathique " je-m'en-foutisme " de Baffie, son premier essai ne ressemble qu'à une blague de potaches, qui se seraient donné les moyens d'aller au bout de leur délire.
Télérama
Il y a quelques chutes de rythme et deux ou trois grossièretés, sans lesquelles Baffie n'oserait probablement pas se regarder dans la glace le matin. Mais on remarque son goût pour le gag absurde et pour le non-sens insolent (...) On aurait simplement aimé encore plus d'audace, de folie plus ou moins douce.
Cahiers du Cinéma
(...) le grand Laurent-la-casse-à-froid abandonne son flegme et - certes pas autant que le laborieux Daniel Russo - s'agite par compensation dans la vacuité du deuxième degré (...) D'où vient que parmi ce creux fouillis et les dizaines de guests venus faireunpetitcoucou, on doive au seul Chabat une vraie trouée de rire ?
Les Inrockuptibles
Le film joue sur une perche usée à souhait par le genre parodique : l'alternance entre le respect d'un scénario minimaliste (...) et un faux making-of complaisant. L'amuseur répète tout au long du film qu'il s'agit d'un "navet". On confirme.
TéléCinéObs
Peu importe qu'on en révèle la fin, puisque l'acteur-auteur-réalisateur le fait lui-même au bout de quelqes minutes. C'est dire s'il s'en tape, de son histoire. Comme du reste, d'ailleurs (...) puisque dans un film, c'est bien connu, tout est possible. Y compris de carboniser toute notion de plaisir avec un cynisme, une complaisance et un second degré insoutenable.