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David GEORGES
46 abonnés
113 critiques
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2,5
Publiée le 20 novembre 2006
Un bon vieux Chabrol des familles. Ce dernier n'a pas son pareil pour planter un décor familier peuplé de gens ordinaires et y injecter une dose de folie suffisante pour faire basculer leurs destins. Benoît Magimel y campe subtilement le fils aîné protecteur et loyal dune famille modeste tandis que Laura Smet, aliénée, perce lécran. Bien que quelque peu téléphonée, lintrigue tient tout de même en haleine jusquau bout. A 74 ans, lun des papys du cinéma français prouve quil a encore des idées originales en réserve. Cest tant mieux.
magimel est certes excellent mais le reste du film est, pardon du terme, nul ! Il tarde à démarrer, se finit en queue de poisson, rien à voir avec le roman saisissant de Ruth Rendell, la musique est désagréable ! Les acteurs sont très mignons bien que le jeu de Laura Smet sonne parfois faux mais peut être Chabrol a-t-il oublié que ce n'était pas suffisant pour tourner un film de qualité REMBOURSEZ !!!
Pas bon, mais alors pas bon du tout... Le dernier Chabrol ferait bonne figure entre un épisode de Derrick et du Renard. Le seul a tirer son épingle du jeu c'est Magimel et l'acteur qui joue Jacques (à la manière d'un Pierre Richard). Laura Smet? Le regard est chouette, les seins aussi, m'enfin le jeu ??? Les Inrocks encensent, les Cahiers descendent... Préférez les Cahiers. On ne croit pas à l'histoire d'amour une seule seconde, c'est plan-plan, aucun rapport avec La Cérémonie, son dernier bon film.
L'histoire est peut-être moins intéressante, les acteurs plus introvertis et donc moins convaincants. Qu'importe ! L'ensemble est toujours aussi réjouissant. Chabrol reste toujours maître dans l'art de la mise en scène et nous offre un film extrêmement fluide et bien filmé. Les teintes sombres tirant sur le bleu rendent très bien la froideur du personnage de Senta qui sombre progressivement dans la folie entraînant le pauvre Philippe (interprété par Benoît Magimel, plus convaincant que dans "la Fleur du Mal"). Le volet social du film, tout comme les problèmes auxquels la jeunesse peut être confrontée, sont présentés avec beaucoup de justesse. Du grand art !
Je suis profondémment désolé de ne mettre qu'une étoile, mais c'est là l'avis d'un spectateur cinéphile mais pas expert (je ne saurais comprendre les "c'est du chabrol" !), qui s'est ennuyé, profondémment ennuyé pendant le film. Suis-je donc si étanche aux perspectives qui vous font mettre 4 étoiles ? Je n'en sais rien, et j'en suis un peu triste. Tant pis, je voulais juste donner mon point de vue ... Je ne conseille pas.
Malgré une bonne histoire de base et un très bon magimel, ce film provoque un ennui profond. Probablement la faute des autres acteurs qui frisent parfois l'amateurisme et de dialogues manquant de spontanéité et de crédibilité. Chabrol veut faire lent pour créer une atmosphère étrange, l'atmosphère n'est que pesante et ennuyeuse. Une caricature de lui même.
Long, ennuyeux, l'histoire est téléphonée. Où est le Chabrol d'antant ? Les acteurs sont caricaturaux, Laura Smet promène une figure bouffie et ennuyée, Benoît Magimel se laisse bêtement manipuler et Maman Aurore dépasse les limites de la naïveté. Seul personnage émergeant, la petite soeur. Triste.
un chabrol sympa mais qui se rohmerise dans sa direction d'acteur. le point de vue reste critique et pudique.Magimel ne denote pas dans un chabrol, mais il faut dire que la prestation de Laura Smet en jeune femme enigmatique est troublante et marquera. a voir
Une heure cinquante d'ennui. Il est temps que Chabrol prenne sa retraite. C'est dommage pour les acteurs (tous excellents) qui sont venus se fourvoyer dans ce téléfilm du mercredi soir.
La filmographie de Claude CHABROL est une longue succession de flops en tous genres, au milieu desquels émergent, de temps à autre, quelques réalisations intéressantes et soignées. Ce n’est certainement pas le cas de cette Demoiselle d’honneur, incarnée par une Laura SMET qui semble avoir abusé de stupéfiants pour conférer à son personnage un maximum de singularité. Le réalisateur, qui s’est fait une spécialité des intrigues tortueuses dans des milieux bourgeois où la façade cache de multiples horreurs, nous mène ici chez des petites gens, avec des petits sentiments, des petits moyens et des petits problèmes. Et si les sarcasmes ne figurent pas cette fois au menu, CHABROL a bien du mal à cacher son mépris pour ces fourmis en pleine agitation. Son personnage préféré est d’ailleurs sans conteste le clochard étonnement interprété par Michel DUCHAUSSOY. Hormis celui-ci, les acteurs font le job sans y croire, sauf peut être Aurore CLEMENT, qui tente de donner vie à son personnage de coiffeuse à domicile, qui lui va comme un costume de Père Noël à un huissier de justice. On a compris qu’une fois de plus, CHABROL se moque du monde et en est ravi. Que le spectateur se moque de CHABROL n’est donc qu’un juste retour.
Un très bon Charbrol avec de nouveaux av-cteurs très bien choisis comme Benoït Magimel. On retrouve évidemment Suzanne Flon (typique) et bien-sûr une atmosphère dérangeante. Le dénouement y est plus qu'horrible. C'est hitchcockien.... A voir
Quel dommage. Un film non abouti. Malgré un bon début, le film s'enlise dans de nombreuses longueurs, et le spectateur devine rapidement le dénouement. A l'arrivée, ce long métrage se révèle sans émotion.