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JohanJett
38 abonnés
209 critiques
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3,0
Publiée le 28 décembre 2012
La première partie du film m'a laissé un peu perplexe,certainement intéressant mais trop politisé,on le voit très peu avec Fidel Castro et son frère. La réalisation de Soderbergh est trop linéaire pour en faire un chef d'oeuvre,d'un coté la havane est bien filmé, et d'un 'autre coté c'est trop rigide,la politique non merci pour moi.Pourtant la distribution était excellente,j'ai beaucoup appris de chose sur le Che,il était médecin,,cultivé(Il entraînait jamais de personne avec lui,si elle ne savait pas lire),politicien et guérilléro.Benicio Del Toro est un bon Che.Je trouve qu'il est assez monocorde ,est ce que Ernesto Guevara était comme cela ,je ne sais pas?
Qu'est-ce que j'ai appris du film? Je dirai, un peu plus sur le symbole de la révolution, Che et un petit peu sur son idéologie. Autrement, rien de nouveau, j'ai perdu mon temps en le regardant. Le problème est que le film interne les scènes d'interview en noir et blanc, des "images d'archives" également en noir/blanc et des scènes d'action sur la guerre. Pas très intéressant (je n'aime pas la guerre débile et pan pan), il y a mieux dans le genre et j'attendais pas mal de ce personnage mais le réalisateur l'a mal exploité:
Un bon film peut-être mais il y a un manque de parti pris important à mon goût. De plus des dialogues incessant et une voix off omniprésent qui nous fait tomber dans le sommeil à plusieurs reprises.
Ne connaissant le personnage que de nom, je me suis vite retrouvé devant un film bien trop biographique pour moi!!!! Certes historiquement, j'ai appris des choses et on peut juger intéressant de voir la mise en place du changement de régime à Cuba!!! De la décision de la révolution aux 1ers pas dans le jungle en passant par le recrutement, la discipline imposée et ainsi de suite, je n'ai assisté qu'à un film trés bavard!!! L'enchainement de certaines scénes dans la jungle me fait plus penser à un documentaire qu'à un film!!!! En plus, l'image du Che n'est-elle pas idéalisée par le réalisateur? Pour un révolutionnaire, il nous le présente médecin, professeur, guérillero et pour certains même presque pére.... bref d'un ennui relatif et bavard
La force de cette première partie est de brosser un portrait du Che et des guérilléros lors de la révolution cubaine contre l'oppresseur,et ce,à dimension humaine.
Mais pourquoi faire un film sur un tel sujet si l'on n'a rien à dire?? C'est d'un ennui absolu, et le montage qui hache menu une interview réalisée plus tard (en noir et blanc bien granuleux, c'est d'un chic, ma chère!) avec des intermèdes dans la forêt cubaine n'est qu'un procédé pour masquer le vide du propos. Vers la fin de cette 1ère partie, il se passe enfin quelque chose, trop tard, on jure que l'on ne nous y reprendra plus !
Ambitieux projet que de faire un film sur Che Guevara tant le personnage dispose de plusieurs facettes. Soderbergh le montre avant tout comme un amoureux de la révolution. Benicio Del Toro convient parfaitement bien dans le rôle du Che, nous livrant une de ses plus grandes performances. Demian Bichir est aussi très convaincant dans le rôle de Fidel Castro. Rien à dire du côté de la mise en scène même si Soderbergh nous montre des scènes qui finalement ne servent pas au déroulement de l'histoire. Les décors naturels sont superbes et la scène de bataille finale est très bien filmée. Dommage que le montage en parallèle soit un peu dur à suivre. Vivement la suite.
Che : l'Argentin, 1ère partie, un film qui a récompensé Benicio Del Toro lors du Festival de Cannes 2008, avec le prix d'interprétation masculine. Un film qui raconte le parcours d'un révolutionnaire, celui d'Ernesto Guevara ... Film en deux parties, réalisé par Steven Soderbergh. Film qui à peiné à me captivé, la première partie du film ( la première heure ) est pas mal du tout, mais à la longue, j'ai trouvé ça lassant et trop lent. A la fin de cette première partie (L'Argentin) j'avais complètement décroché, je suis complètement passé à côté de la seconde partie. Faut quand même souligner, mise à part ça que l'interprétation de Benicio Del Toro en Ernesto Che Guevara est très juste, il est convaincant. On ne peut rien lui repporcher. La mise en scène est quand à elle aussi juste, très soigné ... Le film manque de rythme pour captiver, j'ai cette impression d'être totalement passé à coté de cette première partie, manque plus qu'à juger avec la seconde "Che: 2ème partie: Guerria" .
Un film qui retrace la révolution cubaine à travers le ché en tant qu'homme et non plus simplement comme un symbole. A noter toutefois une idéalisation importante des principes de l'homme. Suite avec la seconde partie qui s'annonce très intéressante !
Quelle déception pour moi appréciant énormement del Toro je me suis dit que ça pouvait être un bon film que ce che avec Soderbergh aux commandes. Et bien non, c'est lent, pas très interessant, on s'ennuie, les scènes d'action ne nous font pas tant frémir que ça. Par contre il faut reconnaitre que le réalisateur, touchant à un sujet pouvant porter à la polémique, reste neutre et tant mieux, il n'expose aucunes idées, sentiments et point de vues, il ne fait que raconter. Une sorte de documentaire très lent, dommage que le réalisateur n'eut pas plus d'idées pour sauver son film de la banalité, steven aurait pu faire beaucoup mieux, on le sait...
A quoi sert ce film? D'un ennui!!! D'une inanité!!! Comment un excellent realisateur et un comedien aussi talentueux (cela dit, dans le film, il est bon, mais ça sert à rien) peuvent se fourvoyer à ce point dans un pensum sans interet?
Un film parfaitement maîtrisé qui permet une bonne immersion dans la révolution cubaine et la monté du Che en tant que commandant des guerrieros. Une belle mise en scène sans esbroufe qui profite de l'excellente interprétation de Benicio del Toro. A voir au moins une fois pour le coté historique même si il y a un manque de neutralité certain.
La révolution des palabres. Un film décousu et mal joué, des séquences à l’ONU en N&B pour donner un coté documentaire historique et ainsi tenter de rattacher les séquences avec les guérilléros, des fronts et des colonnes que l’on ne voit quasiment jamais, et de fait on a du mal à suivre la tactique et la progression des révolutionnaires pour se retrouver aux portes de « La Havane ». Par contre des rassemblements, des discours et des scènes de contemplation du « Che », un coté paternaliste et bon sentiment trop appuyer à mon sens. Cela aurait du être un bon film, si la notion de temps avait été respecter, trop de raccourcis nuisent au film.
Première partie du diptyque consacré à Che Guevara, " Che - 1ère partie : L'Argentin " est une évocation de la vie de Ernesto " Che " Guevara, et de la guérilla qu'il mène avec Fidel Castro à Cuba contre le régime du général Batista. Débutant avec la rencontre clé entre le Che et Fidel Castro, se clôturant avec la fuite du despote cubain, ce biopic de Steven Soderbergh montre le processus par lequel un homme doté d'une volonté indomptable va découvrir sa capacité à inspirer et mener d'autres hommes. Le corps du film expose, à travers le regard du Che, la Révolution Cubaine, encadrée par des images de sa visite à New York en 1964. Le réalisateur de " Ocean's Eleven " s'est embarqué dans une entreprise, plus que périlleuse. S'attaquer à un mythe comme Che Guevara est un pari qui a le mérite d'être ambitieux ; hélas le seul élément étant à la hauteur de nos espoir, s'avère être notre cuisante déception. Le cinéaste n'a pas su exploiter un personnage dont la vie a des allures de roman d'aventures. Le sujet a beau être très alléchant, Steven Soderbergh méprise la narration et nous propose un schéma narratif cisaillé par divers flash-back, ce qui rend l'accroche au récit relativement ardue. Le second point négatif ne situe quant à lui par rapport à l'ambiance même du film ; l'atmosphère frise l'air glacière dans une jungle tropicale à travers laquelle crapahutent tristement les combattants pour la liberté. " L'Argentin " essaie, sans succès, de captiver grâce à une forme proche du documentaire. Quant à la réalisation, elle pâtit d'une prétention éhontée et d'une mise en scène plate et décousue ; les séquences de bravoures sont exécutées sans aucune inspiration, sans aucun souffle épique. La sobriété n'a peut être pas sa place dans un sujet source de passions déchaînées. La formidable interprétation de Benicio Del Toro, remarquable de profondeur de charisme et de modestie fut récompensé du Prix de la Meilleure interprétation masculine au Festival de Cannes 2008.
Ca manque de profondeur, c'est long, la prestation de Benicio Del Toro est assez banale, les scènes de combat sont classiques, sans caractère et l'intrigue est simpliste. Pas du tout convaincant.