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    Che - 1ère partie : L'Argentin
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    412 critiques spectateurs

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    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    69 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2011
    J'ai beau adoré Soderbergh et Benicio Del Toro, ce biopic traîne vraiment trop en longueur et possède tellement de scènes inutiles et soporifiques que j'ai préféré me passer de visionner la 2eme partie. Dommage, parce que Benicio Del Toro interprète Le Che de façon habité et boulverse de justesse.
    Themistocle_480
    Themistocle_480

    61 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Bon petit film sur un mythe moderne, symbole de Révolution et de justice sociale, admiré à juste titre, mais aussi détourné, idéalisé, incompris...j'ai nommé Che Guevara, icône aussi populaire qu'utilisée à tort et à travers. Cette oeuvre revient sur cet épisode captivant qu'est la Révolution cubaine de 1956, évoque ses causes, son déroulement, avec quelques prolepses (ou "flash forward" si vous préférez) à l'ONU en parallèle avec l'intrigue principale; autant le dire, le point le plus fort du film est certainement son aspect historique: on y apprend beaucoup sur un sujet dense et complexe, à propos des personnages, des événements, des rapports de force...D'emblée, le spectateur est plongé dans l'ambiance qui régnait dans la Cuba des années 50, ou dans les Etats Unis des années 60; il côtoie le Che, Fidel Castro, les révolutionnaires cubains; à travers des anecdotes plus ou moins véridiques, des citations tirées tout droit de leur auteur, il parvient à s'immiscer dans leur complexe psychologie, à saisir leur philosophie, leur idéologie; il observe les inégalités sociales qui frappent durement les couches précaires de la société, s'identifie au sentiment d'injustice et de révolte qui les habite, (re)découvre le communisme, espoir de progrès vers une société plus humaine pour ces victimes de la mondialisation libérale; il assiste à cette épopée d'autant plus stupéfiante qu'elle s'est déroulée il y a un demi siècle seulement; et parvient enfin à avoir un aperçu de la situation géopolitique de Cuba, cet îlot révolutionnaire résistant encore et toujours à l'envahisseur nord-américain. Bref, rien que pour la leçon d'histoire, ça vaut le coup. Steven Soderbergh doit également être loué pour le réalisme visuel de son film: costumes, décors, détails: tout sonne vrai (les acteurs offrent une ressemblance frappante avec les Che Guevara et Fidel historiques!). Pour ce qui est du style visuel, en revanche, on ne peut qu'avoir un jugement plus mitigé. Soderbergh nous livre certes des flash-forward en noirs et blanc avec des effets de contrastes absolument sublimes; certes, les plans sur les paysages cubains ne sont pas laids non plus; certes, les quelques scènes de guérilla ne peuvent qu'être louées pour leur réalisme. Mais le réalisateur prend le parti de filmer ses prises de vue de manière absolument statiques, en changeant de plan le moins souvent possible: d'un côté, ça donne un aspect réaliste indéniable; de l'autre, cette photographie très molle plombe complètement le dynamisme de l'histoire. C'est un des autres défauts que l'on pourrait reprocher au film: malgré la chronologie non linéaire, malgré l'intérêt que le spectateur porte au récit, aux personnages, le film est lent. La quasi absence de musique, la qualité médiocre de celle-ci, n'arrange pas les choses. On ne s'ennuie pas, mais une certaine impression de lourdeur demeure au final. C'était sans doute un but de la part du réalisateur: coller au plus près de la réalité historique avec la plus grande sobriété possible. Ne vous attendez donc surtout pas à une épopée hollywoodienne avec des explosions à tous bouts de champ, des rebondissements incessants et une musique épique pour couvrir le tout: ni scènes d'actions gratuites, ni efforts pour rendre le rythme soutenu, ni musique digne d'être retenue, ni clichés habituels (une fille pour le héros...). Et cette sobriété fonctionne: on y croit. Pour aller dans ce sens, la partialité du réalisateur est néanmoins critiquable: du Che, nous retenons le révolutionnaire romantique. De Fidel, l'ami du peuple. Et ces aspects des personnages existent. Mais on a quasiment rien sur les exécutions sommaires et les répressions exercées par le régime cubain; ,certes, ces événements ont eu lieu juste après la fin du film: le réalisateur ne filme donc rien qui n'ait eu sa réalité, et ne masque aucun événements majeur dans sa logique chronologique. Néanmoins, dans le seul choix des épisodes filmés, à savoir la Révolution et les sommets à l'ONU, Soderbergh met en avant les aspects les plus favorables au régime cubain. Ne nous en plaignions pas: ce parti pris courageux pour un réalisateur américain vaut mille fois mieux que la propagande impérialiste que vomissent sans arrêt la presse étatsunienne et européenne pour justifier l'embargo que subit Cuba depuis maintenant plus d'un demi siècle. Et puis, ce film a le mérite de prendre parti: il parle de socialisme, de Révolution, d'impérialisme et de dictature, contrairement à Carnets de Voyage de W. Salles, qui effleurait à peine ces aspects. Un parfum de réalisme, des citations, des plans, des scènes, des personnages, et une histoire moderne que l'on est pas prêt d'oublier, malgré des lenteurs, des lourdeurs. Une oeuvre qui marque, en somme. Et qui nous pousse à remettre en question un certain nombre de préjugés. Par exemple, à nous demander pourquoi Cuba, contre toutes les règles de droit international et humain, subit toujours le blocus économique maintenu par les Etats-Unis...
    nestor13
    nestor13

    57 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2009
    "La révolution n'est pas un échec, mais beaucoup reste à faire" déclarait benoîtement Raul Castro peu avant la sortie de ce dyptique. Le frère de l'autre portait ainsi un regard un peu gêné sur les résultats de la révolution cubaine à l'occasion du cinquantenaire de celle-ci. Dans ce premier volet, Steven Soderbergh nous montre pourtant le fol espoir qui habitait le peuple de cette île des Caraïbes en portant au pouvoir Fidel Castro. D'ailleurs, plutôt que de nous montrer les visages habituels de la guerre qui se déroule normalement dans le bruit et la fureur des armes et qui charrie son lot d'horreurs absolues, le réalisateur préfère nous dépeindre une révolution tranquille, presque en pantoufles, courtoise, que celui qui est devenu plus qu'une icône mêne à bien avec un bras dans le plâtre. Tranquille, ce film l'est peut-être un peu trop, ce qui peut déstabliser celui qui est venu chercher une épopée grandiose. Qu'importe, Soderbergh a voulu faire ça à sa sauce et cela m'a plutôt touché. Il est vrai que cette oeuvre n'est pas aussi hollywoodienne que certains de ses plus grands succès ou que le très beau "Adieu Cuba" qui montrait ces mêmes évènements de manière plus mélodramatique et romantique. Au contraire, les Etats-Unis s'en prennent plein la gueule ici par nos deux chefs cubains. N'empêche qu'au moins on y vit libre et de manière prospère contrairement à La Havane. "L'histoire m'acquittera" écrivit naguère Fidel Castro. Non Monsieur, vous vous êtes royalement planté et il y a déjà bien longtemps que le monde entier vous a déclaré coupable.
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mai 2010
    Si le film est visuellement superbe, il n'en reste pas moins mortellement ennuyeux. Lent et creux, il résonne pendant deux heures du son lassant des mitraillettes et des slogans révolutionnaires. On a le sentiment frustrant que Soderbergh s'est attaqué à un sujet monumental et s'est finalement refusé à le traiter. Car en faisant de Che Guevara un héros idéaliste quasi-christique, il offre sur son personnage un point de vue bourgeois, très éloigné de sa réalité historique et sans le moindre intérêt. Ce que nous voyons à l'écran, ce n'est pas le guérillero cruel, le mercenaire de la révolution finalement assez médiocre qu'il fut réellement, c'est l'effigie qu'on placarde sur les t-shirts, l'icône qu'en a fait (comble d'ironie) la société de consommation. En résulte une profonde indifférence. Il reste la réalisation et nul doute que Steven Soderbergh en est un maître. Il le prouve à nouveau en filmant la jungle avec brio. Cela dit, en matière de film contemplatif dans une jungle hostile, Werner Herzog avec "Aguirre" et même Francis F. Coppola avec "Apocalypse Now" avaient déjà fait beaucoup mieux. En un mot comme en cent, épargnez-vous ce bel objet vide.
    David GEORGES
    David GEORGES

    46 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mai 2009
    Avec cet ambitieux et complexe projet d’adapter à l’écran l’itinéraire du légendaire Che Guevara Soderbergh souhaitait mettre en avant l’abnégation sans failles d’un Che au service de la révolution dans sa lutte contre l’impérialisme nord-américain. De ce point de vue, le pari est plutôt réussi. On découvre ainsi un Che aux multiples talents et vocations, à la fois médecin et précepteur auprès des paysans et villageois ayant rallié la cause révolutionnaire. Diplomate et désintéressé, il gère avec flegme et intelligence les litiges et la formation des recrues, ce qui en fait un meneur d’hommes plus que fiable. Soderbergh prend également soin de rappeler le détail qu’était l’asthme chronique dont le Che souffrait. Guerrier et stratège militaire sur le terrain, il était également un orateur véhément comme l’atteste son intervention à la tribune de l’ONU que l’on voit en filigrane dans un noir et blanc très habilement filmé. Voici donc les bases intéressantes mais pas inconnues de la personnalité de cet icône intergénérationnel. Une description en apparence avantageuse cependant insuffisante pour permettre au spectateur de cerner plus globalement la nature même de son esprit de sacrifice, qui lui sera fatal, pour une cause exclusivement commune. Il aurait été en l’occurrence pertinent d’aborder la jeunesse et l’adolescence de cet Argentin et faire un focus sur les événements et le déclic qui ont pu l’amener à des engagements aussi radicaux. Che L’Argentin, amputé brutalement de sa moitié n’est en fait pas un biopic traditionnel. Il place son sujet au second plan, l’instrumentalisant au cœur d’une guerre civile où les héros n’existent pas. C’est une guerre de clans, de quartiers presque, où les embuscades se substituent aux grandes batailles. Une guerre à la dimension de Cuba, une île sauvage. Une guerre toutefois schématisée et réduite à quelques coups d’éclats facilités par la couardise d’une armée gouvernementale peu stimulée. Tout cela à un petit côté amateur fâcheux
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 janvier 2009
    Intéressante biographie d'Ernesto Guevara, servis par de bons acteurs, en particulier Benicio Del Toro (Ché) qui interprète parfaitement bien son rôle ! Mais seulement le scénario est un peu flou, on a parfois un peu de mal à suivre... La réalisation comprend quelques longueurs et les flashback (en noir & blanc en plus, personnellement j'aime pas, c'est assez désagréable!!), même s'ils sont relativement intéressants, surplombent un peu le film et le rendent moins captivant...dommage !! Il aurait peut-être mieux fallut qu'ils soient réalisés autrement...ou sinon comme tel mais pas en noir & blanc ?! En revanche, la performance de Benicio Del Toro est pour moi le plus gros point fort de ce biopic, mais cela ne fait pas oublier la lenteur et le manque de rythme de ce film ! Les scènes d'action/de guerre sont très bien tournées mais le réalisateur a en quelque sorte banni (ou presque!) toutes émotions (pourtant je suis quelqu'un de très sensible!), et les personnages ne sont pas très attachants...ce qui est assez décevant pour un film historique basé sur des faits réels. Pour résumer, malgré ses défauts "Che - 1ère partie : L'Argentin" est tout de même un biopic assez intéressant...faut espérer que la seconde partie le soit davantage...!?!! Mais cela reste un film (partie 1 & 2 compris) qui peut très bien se voir en dvd uniquement !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 mai 2011
    D’un point de vue technique, ce biopic fait un sans faute, plans léchés, photographie magnifique, filmé avec style. Le problème ne vient pas du fond mais de la forme. C’est lent, ennuyeux. De plus le personnage du Che est présenter comme un Saint alors que l’on sait très bien qu’il n’en ai pas un. C’est donc très long, voir soporifique malgré le jeu impeccable de Del Toro. Une énorme déception …
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Avec une maîtrise technique hallucinante(rien que les sons!),Steven Soderbergh s'empare de l'icône Ernesto "Che" Guevara.Plus qu'un biopic,l'entreprise du réalisateur de "Traffic" ressemble à un western christique,quasi naturaliste.Sa mise en scène sert le sujet et non l'inverse,avec un sens de l'ellipse stupéfiant.Benicio Del Toro est tout bonnement impérial,dans le costume du révolutionnaire cubain.D'un regard animal et d'un charisme foudroyant,il imprègne "Che",jusqu'à faire passer tous ses collègues pour des faire-valoir.En revanche,si l'on est convaincu par la forme,le fond laisse plus à désirer.Le Che est présenté sous un jour qui oublie ses côtés les plus sombres.De quoi le rendre encore plus sympathique,auprès des partisans du symbole Che...Un parti pris gênant,rendant commun un personnage qui ne l'est pas.A l'image de Mesrine,on attend la 2ème partie pour fin janvier,en l'espérant moins mystérieuse.
    Ti Nou
    Ti Nou

    497 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Un biopic lourd et longuet qui ne construit aucun récit et se contente de montrer des scènes de la vie du Che sans la moindre narration. C'est complètement décousu et impossible à suivre sans connaissances préalables.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 février 2009
    Constitué en diptyque, le film de Steven Soderbergh sur la légende communiste Ernesto «Che» Guevara s'articule en deux temps, en deux mouvements. Le premier, celui qui nous concerne en l'occurrence, «Che Part One» (USA, 2008) décrit la révolution cubaine en glorifiant le Che comme un agent principal de la révolution marxiste. Elle-même fondée de façon duale, la première partie alterne scènes de lutte dans la jungle cubaine et entretiens au siège de l'ONU. Les séquences de guerre, par leur couleur, se manifestent comme l'actualité du film, en sont le présent. Les entretiens, en noir et blanc, correspondent à une résurgence (alors que historiquement, les interventions du Che à l'ONU succèdent la révolution castriste). En composant ainsi son récit, Soderbergh privilégie la progression des troupes du Che de la jungle jusqu'à Cuba et éclaire ces instants des propos que Guevara a tenu auprès de la communauté mondiale. Ainsi, il définit la figure du Che comme un grand combattant et un casuiste implacable. Réalisé comme un film d'action, «Che Part One» ne s'embourbe pas dans la profusion des effets techniques mais n'exalte pas le récit et, part la plus décevante de l'oeuvre, ne témoigne d'aucun regard critique sur les actions du Che. A vrai dire, le point de vue de Soderbergh sur le révolutionnaire ne se comprend qu'après avoir vu les deux parties. Pour le seul premier film, Guevara reste une figure de justice et de conviction. L'interprétation d'«El Che» par Benicio Del Toro reproduit ses gestes de façon suffisante pour réussir l'illusion de l'analogie.. Sous le regard de Soderbergh, Guevara est un exemple de complétude. Or le cinéaste, face à ce personnage idéel n'exalte pas ni ne critique la démarche marxiste accomplie à Cuba. Oeuvre insuffisante, elle ne se rachète et ne se comprend que complétée par sa seconde partie. «Che Part One» devient alors la base d'un récit en deux temps dont il annonce la gloire avant que ne surgisse l'échec.
    mx13
    mx13

    245 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    C est avec rapidité, c est à dire sans blabla inutiles, sans longueurs, sans séquences embarrassantes ou qui s imposent dans un style soit comique, dramatique ou encore horrifique de manière ratée et peu crédible. Dès qu on est sensé rire, on rit, des qu on est sensé avoir peur on a peut avoir peur. Film plaisant de Soderbergh qui a toujours l habitude de manière habile le documentaire et le blockbuster, nous sort la première partie l histoire de Che guevera et l histoire de la résistance cubaine. Culte, c est vrai, on en fait un peu trop mais voit ce long métrage en cours d histoire n est pas inutile, la représentation st certes fictive mais totalement adaptée aux faits réels. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
    oranous
    oranous

    142 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2009
    Le Che est plus qu'un symbole pour moi. Il a réussi a mener une Révolution avec peu de moyens, il savait faire plein de choses. Il était vraiment exceptionnel et c'est ce qu'il manque aujourd'hui en France même si le contexte est différent. Mais je ne vais pas parler de ses actions. J'ai lu beaucoup de choses sur le Che, je connais donc son histoire. Le film, pour ceux s'intéressant un temps soit peu au personnage, n'apporte rien ou quasiment rien de plus, en revanche c'est plus un film qui s'adresse au ceux et celles arborant fièrement l'image du Che sans le connaitre. Simple phénomène de mode. Il faut lui redonner sa stature, son prestige. Certains diront que le film est partisan, qu'il y a du partit pris et que l'on ne montre que le coté positif, je ne le nie pas, mais je leur répondrais juste qu'il faut s'intéresser un peu a ce qui a poussé le Che, Castro et Camillo a mener cette révolution qui n'était a la base pas un coup d'Etat, ce qui n'est pas vraiment fait dans le film. La grosse déception c'est son montage. Tout s'emmêle, tout s'enchevêtre bien que la façon dont ça se termine soit bien menée. Ça a un peu de mal a démarrer, mais ensuite ça devient passionnant. La prestation de Benicio Del Toro est très bonne et sa ressemblance est flagrante mais je ne lui aurais peut être pas donné le prix d'interprétation. J'aurai aimé en plus de cela avoir de vraies images d'archives. C'est une légère déception, car je m'attendais a un film exceptionnel. Ne boudons pas notre plaisir. Ceux qui ne connaissent pas le Che, courez le voir, vous en ressortirez intelligent. Vivement le 28 Janvier !
    Hasta La Victoria... Siempre
    Eddy P
    Eddy P

    141 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 février 2009
    C'aurait pu s'appeler "le Che fait du camping" tant on voit Ernesto Guevarra se ballader en troupe dans la nature verdoyante. Soderberg a du confier le montage du film à un stagiaire ou alors il s'est trompé et a assemblé toutes les scènes coupées du futur DVD. Le film, le scénario, les enjeux, les nombreux cadrages sur les fesses de Benicio Del Toro, les dialogues, sont incohérents et n'ont aucune continuité. Restent quelques paroles censées du Ché mais cela demeurent bien inconsistant pour un film.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2009
    Mieux réussi que le second volet... Sans doute parce que l'on s'y ennuie un peu moins !!! LSteven Soderbergh a fait mieux... Beaucoup mieux !! Un film à dégoûter un apprenti révolutionnaire à faire la révolution. Dans le genre, Sergio Léone avait fait beaucoup mieux avec "Il était une fois la révolution"...
    joelle g
    joelle g

    89 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 janvier 2009
    Une seule étoile pour la performance de Del Toro dans le rôle titre du Che ...
    Sinon j'ai trouvé ce biopic plutot ennuyeux , long et peu passionnant ce qui est dommage pour une vie comme celle de Che Guevarra .
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