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Wagnar
80 abonnés
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3,0
Publiée le 8 janvier 2017
Ce film jouit d'une mauvaise réputation tout de meme un peu excessive. Je reconnais qu'il fait pâle figure face à Conan le Barbare, mais il n'est pas pour autant catastrophique. Il est nettement mieux que le pitoyable remake Conan de 2011. Les personnages sont plutôt sympathiques, les costumes et les décors réussis et l'histoire assez distrayante. Dans l'ensemble, c'est un bon film familial.
Même les inconditionnels de Schwarzy doivent faire un détour en apercevant le film. Personnages navrants, intrigue bidon qui fera bailler tous les amateurs d'héroic fantasy, lieux de tournages toujours plus grand alors que ça n'apporte rien, pour un final tout sauf réjouissant. A éviter...
Dans la lignée de l'amorphe Conan le barbare, Kalidor le talisman offre un peu plus de spectacle mais pas plus d'élégance narrative. L'univers, pseudo-médiéval, glisse vers la fantasy dans un style criant de vieillesse. La seule touche un peu intéressante est apportée par le jeune prince Tam, lequel est un acteur assez sincère dans sa naïveté. Mais vu le temps qu'il faut encore à Schwarzenegger pour tourner des films qui ne soient pas vieillis, il ne faut pas compter sur un univers moderne avant les années 1990.
Ce film est un sous sous Conan Le Barbare. Même conception que ce dernier. Un film distrayant à la rigueur mais vraiment pas folichon. A force de tendre sur la corde,elle finie par s'user.
Une sorte de Conan le barbare, dans lequel c'est Sonia qui est censé être la star et l'héroïne. Elle s'avère tellement peu convaicante et énervante que c'est Arnold Schwarzenegger qui lui pique la vedette, ayant beaucoup plus de talent. Le scénario aurait pu être intérêssant avec une autre actrice, mais là on a un beau gâchis que seul notre Cyborg parvient à sauver d'un désastre total. Avouons le il y a pas mal de chose débiles dans l'histoire, telle la pseudo arène, son maitre chinois et sa réplique spoiler: "tu as acquis la maitrise de la maitrise" , ses combats pas terribles terribles et ses méchants types de films de barbares. Sonia la rousse (cherché loin de nom messieurs les scénaristes) me donne l'impression de me retrouver face à une pouf (pour rester poli) au Q.I bien maigre et qui tape avant de réfléchir. Au niveau de la réalisation, pas grand chose à dire, ni bien ni mal. Allez 2.5/5 pour le petit potentiel et la performance d'Arnold mais faut sérieusement penser à arrêter les films avec ce genre d'actrice soit disant montante mais profitant uniquement du succès et des relations d'un proche.
« Don’t make me angry, Kalidor. I don’t need any man’s help. »
Suite non officielle du cycle de Conan, réalisée par Richard Fleischer qui officia sur Conan le Destructeur l’année d’avant, et interprétée par Arnold Schwarzenegger, Sandahl Bergman, Pat Roach et Sven Ole-Thorsen (non crédité), Red Sonja (titre changé en Kalidor en France pour garder Schwarzie comme produit d’appel alors qu’il n’a somme toute qu’un petit rôle) est aussi l’occasion de mettre un personnage féminin en exergue d’un style trop souvent considéré comme viriliste. Pour ce faire, la production fait appel au mannequin Brigitte Nielsen. Pour compléter le casting, on notera encore Paul Smith, le tout jeune Ernie Jr Reyes et Ronald Lacey. La musique n’est par ailleurs plus signée Basil Poledouris mais Ennio Morricone (et c’est loin d’être une de meilleures compositions).
Si les costumes et les décors valent le détour pour leur aspect complètement halluciné, on restera pantois devant la laideur et le ridicule absolus des coiffures et des chorégraphies, version cheap du précédent Conan, lui-même pâle copie du tout premier, déjà assez grotesque parfois. Les dialogues, quant à eux, primitifs et très mal joués, ajoutent encore à l’aspect involontairement parodique du film et les erreurs de montage et de scénario, se trompant dans la cohérence des scènes et de l’ensemble, valent à ce film le titre de nanar de luxe à près de 18 millions de dollars.
Ratage complet, ce film se laisse pourtant regarder jusqu’au bout, peut-être pour le lien qui se crée entre le jeune prince Tarn et Sonja, ainsi que pour l’attachant Falkon.
Kalidor est le troisième film consacré à la série Conan. Mais pour des raisons de droit, le personnage d'Arnold Schwarzenegger s'appelle ici Kalidor. La véritable héroïne du film est Sonia La Rousse (d'ailleurs le titre original est Red Sonja) incarnée par la belle Brigitte Nielsen. La maléfique reine est jouée par Sandahl Bergman, qui jouait la femme de Conan dans le premier film. On trouve également Ernie Reyes Jr., acteur d'origine asiatique, connu pour avoir joué le petit garçon qui pratique les arts martiaux dans la série Le Chevalier Lumière (ayah!). Pas mal de personnages différents donc dans cette Légende du Talisman. Même si les effets spéciaux sont encore le point faible du film (on a quand même le droit à un dragon de mer mécanique ou à des téléportations dignes de Bioman), je trouve que cet épisode est le meilleur de la saga. Encore une fois, les décors et les costumes sont mémorables. Enfin, c'est l'épisode le plus familial.
Il est facile de crier au mauvais film, quand on le juge avec les codes et minima d'aujourd'hui en 2020.
Pas étonnant, vu que les 3/4 ont dit la même chose pour Conan, le barbare et sa suite qui n'a pas été à la hauteur, en rentrée financière, d'où l'abandon de la Saga par les producteurs.
Pour ceux qui savent humeur l'atmosphère et comprendre un univers, eux auront compris qu'il y a quelque chose de bon dans cette histoire initiale, les nouvelles de Howard. Mais encore faut-il avoir cette culture là et avoir l'instinct pour le comprendre.
A décharge, c'est beaucoup en filigrane dans les films en question aussi bien ce Kalidor que la saga Conan. Donc pas étonnant que le béotien n'y comprenne rien. Y a tout un background, une histoire sous jacente, mais qui n'est pas expliqué dans les films.
Les effets spéciaux. Ils ne sont pas fameux, mais ca coute hyper cher, et ce n'est pas si courant que cela, il aurait fallu avoir les resserouces de ILM de l'époque, mais ils ne travaillaient QUE pour StarWars !!
Le souci, c'est qu'on a l'impression que c'est Conan, alors que non. Le petit prince, il est plutot horripilant, un boulet pour le film qu'autre chose. Epées, décors, costumes, tout fait trop penser à Conan. Du coup, ca marche moyen, parce qu'en principe c'est Sonja, la rousse, son histoire.
Aucun pb à revoir, ce film, et non aucune difficulté à ne pas zapper...
Comparativement, y a des films Terminator avec Schwartzy qui sont bien plus mauvais malgré des effets spéciaux de folie et couteux, et avec des grosses productions.
Récemment revu en version remastérisée, qui permet d'apprécier la très belle photographie. Un film qui possède le charme fou de la Fantasy des années 80, avec son ambiance particulière et ses backgrounds peints à la main... On est ici loin de la puissance évocatrice d'un Conan, mais malgré le jeu d'acteur pas terrible, l'intrigue convenue et la présence/non présence curieuse de schwarzenegger (il n'était pas censé être en second rôle, c'est le réalisateur qui a augmenté son temps à l'écran en trichant au montage et ça se sent) c'est un film qu'on prend beaucoup de plaisir à voir. Au final, dans la lignée des films "sword and sorcery" de cette époque, il se situe tout de même dans le haut du panier.
Vraiment mauvais ! Les acteurs surjouent, le scénario n'est pas original, c'est le bien contre le mal (vision manichéenne), c'est mal fait. Vraiment décevant !
C'est le film de la malchance pour Schwarzy, lui qui avait été si sympa avec le producteur de ce film (qui est celui de Conan le barbare) qui lui avait donné sa chance. Pour ça, il a accepté de faire une apparition dans le film, mais cet enf... de producteur en a fait la tête d'affiche de cette bouze monumentale. Et pourtant je mets 3 étoiles parce que quand même, si vous voulez vous taper de beaux fous rires entre potes, c'est le film qu'il vous faut.
Ok c'est pas génial, mais à 13 ans dans un ciné pendant les fetes de fin d'année, ce film d'heroic fantasy, dire que c'est un nanar est un euphemisme et un pléonasme, est assez jouissif. Y'a l'autre avec ses gros biscotos, la rousse, ça change des blondes, une histoire d'amour latante entre les 2 forcement, du carton pate, des cranes de mammouth en plastique, des combats de glaive, meme la fille elle se bat avec, elle est drolement forte, 1 crétin avec un os et 1 gamin, et ben ça prend. Voila. En ayant vu d'autre du meme accabit par la suite, je peux vous dire que ce film fait figure de référence en la matière. En plus ça ne se prend pas au serieux et le bon gout de ne pas durer plus de 9O minutes.
Nommé "Red Sonja" en version originale, c'est en effet le personnage incarné par Brigitte Nielsen qui est la principale héroïne du film, Schwarzy jouant le guest de luxe. Mais après l'écrasant succès de Terminator l'année précédente, les producteurs ont décidé lors de l'export de mettre en avant le musculeux autrichien, renommant le film "Kalidor". Il faut le reconnaitre, ça reste un bon gros nanard avec seulement une ou deux séquences qui valent le coup d'oeil. Histoire assez plate, effets spéciaux datés, combats tout de même longuets et poussifs, un message féministe tué dans l'oeuf...
Toujours amusant à regarder en VO pour bien mettre en avant les accents très typés de Brigitte la Suédoise et Arnold l'Autrichien.
une 5 pour remonter la moyenne un voyage dans le temps et l'espace.. certes avec un petit coté kitch et des acteurs pas au sommet de leur carrière mais un vrai divertissement, bcp de référence à l'univers de Conan.... je ne m'en lasserai jamais !
Kalidor, le film, c'est Brigite Nielsen (Red Sonja, le titre original), une découverte de Dino De Laurentis, qui interprète une guerrière qui cherche à se venger: sa sœur a été victime de la méchante Sandahl Bergman, parfaite et ambiguë comme il se doit. Elle croise sur son chemin Kalidor, Arnold Schwartzenneger, qui l'aide dans sa quête, dans un rôle secondaire (bien qu'il apparaisse en gros sur l'affiche). Brigitte Nielsen possède un physique intéressant, mais son interprétation est limitée. Le film est rythmé par des séquences d'action, assez réussies, signées Vic Armstrong. Les éléments que nous retenons du film sont ses décors et costumes, relativement délirants et impressionnants. Ces décors conduisent à des éléments spectaculaires. Et l'autre élément que nous retenons est le duo comique constitué de l'enfant roi et de son subalterne qui veille sur lui: Ernie Reyes Jr et Paul L. Smith dans un duo comique, et dramatique, réussi. Tout cela n'est qu'un prétexte (rebondir sur l'heroic fantasy, exploiter la popularité d'Arnold Schwartzenegger, qui était entre Terminator - 1984 - et Commando - 1985 -), mais mis en œuvre par des pointures dans les départements techniques: mise en scène (Richard Fleischer), photographie (Giuseppe Rotunno), décors (Danilo Donati, présent sur beaucoup de film de Federico Fellini), musique (Ennio Morricone). Ce qui sauve le film au final et le sauve du "sans intérêt".