Je m'attendais à une comédie romantique, mais ce n'est pas drôle, ce n'est pas romantique, ce n'est pas non plus dramatique... Il n'y a pas de mots pour qualifier ce film. D'ailleurs on se demande pourquoi il a été fait. C'est comme parler pour ne rien dire. Pourtant j'en ai vu des navets, mais là c'est la quintessence même du genre. Je n'ai jamais vu un film aussi vide, creux et complètement inutile. La bande originale et le charme de Kirsten Dunst sont toutefois à sauver.
Après un départ prometteur le réalisateur semble jouer la montre en faisant traîner des scènes pas toujours efficaces alors que le scénario recel plein de bonnes idées sous exploitées comme le sont aussi les acteurs. Le résultat c'est un film agréable avec une Kirsten Dunst craquante mais qui nous laisse sur notre faim.
Un film un peu nian nian, certes, mais sans prise de tête et agréable à regarder une fois. A partir de la 3ème fois, ça devient lassant. Le casting est bon, surtout les personnages principaux. Ils sont très bien dans leur rôle et le romantisme leur va à merveille. Il donne un sens au film et nous donnent les émotions recherchées.
Bravo à Cameron Crowe, qui réalise ici une comédie romantique novatrice, dépaysante et attendrissante au possible. Car ce qui relève de l'exploit dans ce film, c'est le mariage quasi parfait du drame familial, de la comédie pure et de la romance électrisante. "Rencontres à Elizabethtown" est avant tout une comédie optimiste sur la vie, les gens, ceux qu'on aime, ceux qui nous quittent, sur les petits riens de tous les jours... L'optimisme avec un grand "O", en somme. Et peut-être une romance à l'horizon... Peut-être seulement. Franchement, il est à voir. Histoire de passer un bon moment. Et de se rappeler que, si "la mort est un jour qui mérite d'être vécu", le reste est pas mal non plus.
Après avoir fait perdre un milliard de dollars à Phil Knight (interprété par Alec Baldwin, y'a pas comme une erreur de casting ?), un jeune designer remet ses projets de suicide à la Géo Trouvetou pour se rendre au fin fond des States s'occuper de la dépouille de daddy dans la sympathique famille de celui-ci, des gens simples et attachants qui parlent fort, vont à l'église le dimanche et mettent des petites bannières étoilées à leur fenêtre. En chemin, il rencontre une hôtesse de l'air un peu pot-de-colle qui se révèlera être un mélange de bonne fée (qui apparaît pour prodiguer de merveilleux conseils et disparaît pour laisser le temps de méditer sur ceux-ci) et de bonne copine idéale (ils passent des heures au téléphone ensemble : c'est super cool !). Je me suis maudit de ne pas avoir apporté avec moi un lance-missile qui m'aurait permis de pulvériser l'écran et échapper à cette affreuse fable dégobillant la guimauve, cet oubli m'ayant obligé à endurer une galerie de personnages tous plus insupportables les uns que les autres (mes prières à Saint Cannon pour que Cameron Crowe, pris de folie salvatrice, ait décidé d'inviter Chuck Norris à dégommer à l'Uzi l'intégralité du casting en cours de film n'ont, hélas, pas été exaucées). Entre les clichés navrants (n'importe quel personne prennant la parole en public lors d'un enterrement se transforme en orateur admirable en parlant du fond de son coeur), ses messages usés (il faut savoir apprécier les plaisirs simples, l'échec professionnel n'est pas celui de la vie), sa fantaisie gentillette (la dernière partie du film est carrément un plagiat d'Amélie Poulain, version on the road) et sa playlist qui se la pète (pas grand chose d'extraordinaire, pourtant), cet hymne à l'Amérique profonde et ses institutions trouvera peut-être grâce aux yeux des collégiennes fleur bleue qui se pâment devant le falot Orlando Bloom. Les autres gagneront à éviter la chose comme la peste.
« Rencontres à Elizabethtown » est un long (trop long !) drame romantique de deux heures qui sans être inintéressant ne parvient jamais à enthousiasmer. On suit Drew, récemment viré de son boulot de designer et qui retourne dans la ville de naissance de son père pour l’enterrer, dans l’avion il fait la connaissance d’une hôtesse de l’air fantasque. Outre sa prévisibilité, c’est son manque cruel de substance et de passion qui rend l’histoire d’amour peu palpitante voire carrément décevante. On ne croit jamais ou en tout cas on a du mal à se convaincre des sentiments amoureux qu’éprouvent les personnages joués par Orlando Blooom et Kirsten Dunst, tant l’alchimie entre les deux est inexistante et n’apparaît qu’à travers les clichés les plus éculés de la comédie romantique soutenue par de longs passages musicaux. L’insipidité de cette bluette n’est pas rattrapée par l’intrigue autour de l’enterrement du père où seul les séquences en famille apportent un brin de vie dans cet amoncellement de philosophie bon marché sur les grands enjeux de la vie qui nous sont débités par une voix off des plus convenue. Hormis le couple, le reste des personnages naviguent entre caricature et inconsistance et ne servent vraiment qu’à meubler les décors. On peut dire que ce drame doux-amer de deux heures (qui aurait gagné à être raccourcie d’au moins vingt bonnes minutes) n’est pas franchement ennuyeux, mais en tout cas jamais passionnant et qu’il ne parvient pas à insuffler de la substance, que ce soit aux péripéties ou aux personnages. Un petit drame longuet sans grand intérêt à regarder uniquement pour ceux en mal de romantisme cheap, les autres seront bien inspirés de l’éviter.
je trouve ce film beaucoup trop long!! un mélange d'histoire de famille et d'enterrement lié à une histoire d'amour un peu bizarre!! ce film est sauvé par l'interprétation de Kirsten Dunst, très attachante!!
Ou comment écouter un film! Les deux acteurs ne sont pas forcément mes préférés, et le film ne me les révèle pas... Mais le thème, l'histoire qui nous est proposée ici, et le périple, tout en musiques, qui est suivi par ce personnage nous emporte. Doit-on fermer les yeux pour voir ce film, mais rien ne nous y oblige, curieusement on le peut et on profite pleinement du voyage!
Une comédie romantique un rien mélo qui ne fait même pas sourire. Deux acteurs connus et plutôt craquant qui ne nous font même pas envie... Un scénario plutôt pas mal mais pas franchement bien tourné - ni joué d'ailleurs - au final ce n'est ni un film à l'eau de rose ni un drame passionnel juste un gentil petit film de l'amérique profonde qui ne réussit même pas à nous faire sourire.
Les rares bons moments ne sauvent pas, malgrès la présence du duo Bloom/Dust, les trop nombreuses longueurs. On était en droit d'atten (beaucoup) mieux.
une comédie romantique légère mais assez bien tournée pour pouvoir passer un bon film s'attarde sur les relations que nous entretenons avec les autres : de la rencontre,évolution , attentes et conflits entrecroisées avec les moments de vie : espoir,réussite,échec; il ne faut donc pas s’arrêter à l'histoire simpliste et préethtown reste attractif dans la mesure ou nous ne sommes pas envahis par des banalités sur les différentes façon de penser (ville et campagne) seulement sur la manière d'aider ensemble un être réflexion sur la notion d’échec est bonne quoique maladroitement amenée par duo d'acteurs n'est pas mauvais même s'il manque de "punch" pour rendre le thème plausible.
Magnifique Comédie Romantique, Orlando Bloom y est magnifique même si parfois par moment, son interprétation est un peu trop surjoué, par contre Kirsten Dunst rattrape le coup. Ce film est hymne à l'amour, à la recherche de l'amour. A voir absolument.