Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Aden
par La rédaction
Derrière cette narratrice fictive, il y a Frédéric Laffont, grand reporter, prix Albert Londres, qui veut s'extraire du commentaire journalistique, de ses clichés usés sur le conflit, pour composer une mosaïque d'histoires, toutes vraies, et belles comme des contes pour enfants.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Mille et un jours n'explique rien, ne justifie rien, le film montre que c'est compliqué, mais ne le dit pas, car le dire, ce serait accepter (...). Vingt ans de journeaux télévisés en ont moins montré que ces quelques 80 minutes de film.
Le Figaro
par Pierre Prier
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
(...) une balade douloureuse et pudique, loin de toute démarche du reportage, qui résonne comme une poétique incantation à la paix.
Première
par Sophie Grassin
Frédéric Laffont filme avec pudeur des pans de vie pour dessiner "une mosaïque plutôt que de tailler dans le marbre des certitudes, selon le mot du poète palestinien Mahmoud Darwich, pour mettre en doute la fatalité du conflit et éclairer des initiatives de paix.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par François-Guillaume Lorrain
Ni documentaire ni fiction, Mille et un jours, porté par la voix d'une photographe imaginée, se détourne des photos et du récit d'horreur que plébiscitent nos journaux pour raconter d'autres histoires, moins spectaculaires, mais qui sont des promesses de paix, de pardon, de réconciliation et d'espoir.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Mille et un jours n'est pas un documentaire de plus sur le conflit israélo-palestinien mais un essai cinématographique original et plein d'intelligence.
Télérama
par Isabelle Fajardo
Ces carnets de guerre-là, écrits à la première personne et dits par une voix de femme, sont un hymne sensible à la survie et à la paix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette liberté avec la réalité ne trouve jamais tout à fait sa raison d'être. On sent que le cinéaste voudrait ainsi larguer un peu du lest inhérent à tout film qui traite du conflit israélo-palestinien. Mais il n'y parvient que le temps d'une séquence à Beyrouth.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Si cette démarche documentaire a le mérite de soulever de vraies questions sur la transmission des informations, sa mise en scène laisse à désirer.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Malheureusement, le film est rattrapé par ses errements stylistiques. La voix off de la narratrice est convenue, voire superflue. Le réalisateur voulait s'extraire de la problématique " conditions de vie du reporter " : il nage parfois en plein dedans, parasitant la force du discours.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Aden
Derrière cette narratrice fictive, il y a Frédéric Laffont, grand reporter, prix Albert Londres, qui veut s'extraire du commentaire journalistique, de ses clichés usés sur le conflit, pour composer une mosaïque d'histoires, toutes vraies, et belles comme des contes pour enfants.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Mille et un jours n'explique rien, ne justifie rien, le film montre que c'est compliqué, mais ne le dit pas, car le dire, ce serait accepter (...). Vingt ans de journeaux télévisés en ont moins montré que ces quelques 80 minutes de film.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) une balade douloureuse et pudique, loin de toute démarche du reportage, qui résonne comme une poétique incantation à la paix.
Première
Frédéric Laffont filme avec pudeur des pans de vie pour dessiner "une mosaïque plutôt que de tailler dans le marbre des certitudes, selon le mot du poète palestinien Mahmoud Darwich, pour mettre en doute la fatalité du conflit et éclairer des initiatives de paix.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Ni documentaire ni fiction, Mille et un jours, porté par la voix d'une photographe imaginée, se détourne des photos et du récit d'horreur que plébiscitent nos journaux pour raconter d'autres histoires, moins spectaculaires, mais qui sont des promesses de paix, de pardon, de réconciliation et d'espoir.
TéléCinéObs
Mille et un jours n'est pas un documentaire de plus sur le conflit israélo-palestinien mais un essai cinématographique original et plein d'intelligence.
Télérama
Ces carnets de guerre-là, écrits à la première personne et dits par une voix de femme, sont un hymne sensible à la survie et à la paix.
Le Monde
Cette liberté avec la réalité ne trouve jamais tout à fait sa raison d'être. On sent que le cinéaste voudrait ainsi larguer un peu du lest inhérent à tout film qui traite du conflit israélo-palestinien. Mais il n'y parvient que le temps d'une séquence à Beyrouth.
Les Inrockuptibles
Si cette démarche documentaire a le mérite de soulever de vraies questions sur la transmission des informations, sa mise en scène laisse à désirer.
MCinéma.com
Malheureusement, le film est rattrapé par ses errements stylistiques. La voix off de la narratrice est convenue, voire superflue. Le réalisateur voulait s'extraire de la problématique " conditions de vie du reporter " : il nage parfois en plein dedans, parasitant la force du discours.