Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Qu'est-ce qui plaît dans ce film ? Tout d'abord, sa fraîcheur (...) Les personnages ensuite. Les protagonistes existent, dans l'indécision qui les rend humains (...) L'ambiance enfin (...) The Station Agent est de ces films qui font chaud au coeur.
aVoir-aLire.com
par Gaëlle Lennon
C'est drôle, tendre, poétique, émouvant, intelligent. Ce film est la véritable surprise de cette fin d'année. Une première réalisation étonnante, tout simplement une perle rare, trop rare !
Aden
par Philippe Piazzo
Chronique en demi-teinte de trois laissés-pour-compte qui retrouvent l'envie de vivre et de rire ensemble, ce premier film (...) est une belle ballade où les efforts des personnages éloignent la mélancolie. Un peu de baume au coeur pour une fin d'année froide.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Comédie tendre, drôle et poétique sur l'amitié et la différence, The station agent est un joli premier long-métrage, qui fait surtout la part belle aux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Est-ce le parfum entêtant de Tortilla Flat, ou le fait que ces trois antihéros jouent bien (...) ? Notre engouement est insistant. The Station Agent filme la vie comme un refuge, un endroit tout à fait à la hauteur, regardant la miniaturisation de l'espace et le resserrement des sentiments comme une règle de survie. Qui a dit petit film ?
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Grâce à la sobriété du comédien principal, le message passe avec clarté et légèreté tout en restant efficace (...) Un casting de haute tenue pour une comédie dramatique attachante et douce qui a séduit les jurys de nombreux festivals.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
De ce sujet minimaliste, Tom McCarthy a réussi à tirer une petite merveille de cinéma impressionniste (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Tom McCarthy a (...) l'infinie politesse de nous affirmer, et même de nous faire croire, que l'harmonie peut naître entre les êtres, même s'ils n'y croient plus vraiment. Il le fait sans esbroufe, avec une discrétion rare dans le cinéma actuel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le scénario accumule une telle masse de conventions déguisées en audaces qu'on a du mal à croire que le film pourra s'en remettre. Et pourtant, The Station agent produit des moments de bonheur cinématographique (...) qui tiennent à la fois à l'implication enthousiaste des acteurs et à l'amour - parfois inopportun - que porte Tom McCarthy à son projet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier Lemaire
Pas la peine de savoir d'où ils viennent ni pourquoi ils se rencontrent avec autant de coïncidences scénaristiques. De l'invraisemblance découle la légèreté de l'instant. A croire que ce film a raison de penser que toutes les rencontres, aussi farfelues soient-elles, sont possibles et belles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le premier long-métrage de Tom McCarthy cherche tant à éviter le lieu commun hollywoodien qu'il se fige dans un folklore post-Jarmusch non moins formaté : cinéma de l'errance où lancinent riffs de guitare, temps mort et plans surcomposés (...)
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Ambition néo-réaliste tronquée (pas de maquillages, juste un nain, un vrai, exhibé avec une fausse-pudeur complaisante), choix de l'ascèse (long plans vides, étirement et durée des scènes), esthétique naturaliste : McCarthy s'enfonce dans toutes les impasses du cinéma indépendant le plus lisse (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) une étude psychologique peu consistante et somme toute rassurante (...) On est loin de la subversion d'Oasis, de Dance me to my song et de leur vraie confrontation sociale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
Qu'est-ce qui plaît dans ce film ? Tout d'abord, sa fraîcheur (...) Les personnages ensuite. Les protagonistes existent, dans l'indécision qui les rend humains (...) L'ambiance enfin (...) The Station Agent est de ces films qui font chaud au coeur.
aVoir-aLire.com
C'est drôle, tendre, poétique, émouvant, intelligent. Ce film est la véritable surprise de cette fin d'année. Une première réalisation étonnante, tout simplement une perle rare, trop rare !
Aden
Chronique en demi-teinte de trois laissés-pour-compte qui retrouvent l'envie de vivre et de rire ensemble, ce premier film (...) est une belle ballade où les efforts des personnages éloignent la mélancolie. Un peu de baume au coeur pour une fin d'année froide.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Comédie tendre, drôle et poétique sur l'amitié et la différence, The station agent est un joli premier long-métrage, qui fait surtout la part belle aux acteurs.
Libération
Est-ce le parfum entêtant de Tortilla Flat, ou le fait que ces trois antihéros jouent bien (...) ? Notre engouement est insistant. The Station Agent filme la vie comme un refuge, un endroit tout à fait à la hauteur, regardant la miniaturisation de l'espace et le resserrement des sentiments comme une règle de survie. Qui a dit petit film ?
MCinéma.com
Grâce à la sobriété du comédien principal, le message passe avec clarté et légèreté tout en restant efficace (...) Un casting de haute tenue pour une comédie dramatique attachante et douce qui a séduit les jurys de nombreux festivals.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
De ce sujet minimaliste, Tom McCarthy a réussi à tirer une petite merveille de cinéma impressionniste (...)
Télérama
Tom McCarthy a (...) l'infinie politesse de nous affirmer, et même de nous faire croire, que l'harmonie peut naître entre les êtres, même s'ils n'y croient plus vraiment. Il le fait sans esbroufe, avec une discrétion rare dans le cinéma actuel.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Le scénario accumule une telle masse de conventions déguisées en audaces qu'on a du mal à croire que le film pourra s'en remettre. Et pourtant, The Station agent produit des moments de bonheur cinématographique (...) qui tiennent à la fois à l'implication enthousiaste des acteurs et à l'amour - parfois inopportun - que porte Tom McCarthy à son projet.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Pas la peine de savoir d'où ils viennent ni pourquoi ils se rencontrent avec autant de coïncidences scénaristiques. De l'invraisemblance découle la légèreté de l'instant. A croire que ce film a raison de penser que toutes les rencontres, aussi farfelues soient-elles, sont possibles et belles.
Cahiers du Cinéma
Le premier long-métrage de Tom McCarthy cherche tant à éviter le lieu commun hollywoodien qu'il se fige dans un folklore post-Jarmusch non moins formaté : cinéma de l'errance où lancinent riffs de guitare, temps mort et plans surcomposés (...)
Chronic'art.com
Ambition néo-réaliste tronquée (pas de maquillages, juste un nain, un vrai, exhibé avec une fausse-pudeur complaisante), choix de l'ascèse (long plans vides, étirement et durée des scènes), esthétique naturaliste : McCarthy s'enfonce dans toutes les impasses du cinéma indépendant le plus lisse (...)
Positif
(...) une étude psychologique peu consistante et somme toute rassurante (...) On est loin de la subversion d'Oasis, de Dance me to my song et de leur vraie confrontation sociale.