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On entre dans un monde irréel où les fleurs parlent et dansent, où tout n'est que grâce et fraîcheur. On songe à la remarque de Godard : " Pourquoi dit-on "J'ai vu un vieux Chaplin", alors qu'on ne dit jamais "J'ai vu un vieux Vermeer" ou "un vieux Rembrandt" ? " La jeunesse de ces petites merveilles datant des années 20 est une réponse éclatante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il y a quelque chose de très émouvant dans l'exploration des possibles par Starewitch, son émerveillement manifeste à chaque fois qu'une trouvaille lui vient. Les silhouettes graciles des personnages, qui font souvent penser à des jouets soudain doués de vie, s'agitent gracieusement dans une lumière un peu incertaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Près de 80 ans après leur création, ces courts se laissent voir comme un Tex Avery : certes vieux, mais toujours aussi plaisant. On pourra juste regretter une certaine naïveté, inhérente aux histoires de Princesse.
Ces films ont donc été ripolinés pour mieux se vendre. Mauvais calcul a priori car l'oeuvre a beau avoir été tripatouillée, elle n'a pas fondamentalement changé, et les personnages et les charmantes mises en scènes de Ladislas Starewitch restent intactes. Mais fallait-il vraiment abîmer, rénover à ce point des films si délicats ?
La Petite chanteuse des rues n'est pas dépourvue de charme, mais l'onirisme de Starewitch est surtout en évidence dans La Petite parade (...) et dans la seconde partie de L'Horloge magique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Un total enchantement.
Télérama
On entre dans un monde irréel où les fleurs parlent et dansent, où tout n'est que grâce et fraîcheur. On songe à la remarque de Godard : " Pourquoi dit-on "J'ai vu un vieux Chaplin", alors qu'on ne dit jamais "J'ai vu un vieux Vermeer" ou "un vieux Rembrandt" ? " La jeunesse de ces petites merveilles datant des années 20 est une réponse éclatante.
Aden
(...) tout le génie inventif d'un cinéaste dont les effets spéciaux préfigurent ceux des maîtres de l'animation d'aujourd'hui. Une belle curiosité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il y a quelque chose de très émouvant dans l'exploration des possibles par Starewitch, son émerveillement manifeste à chaque fois qu'une trouvaille lui vient. Les silhouettes graciles des personnages, qui font souvent penser à des jouets soudain doués de vie, s'agitent gracieusement dans une lumière un peu incertaine.
MCinéma.com
Près de 80 ans après leur création, ces courts se laissent voir comme un Tex Avery : certes vieux, mais toujours aussi plaisant. On pourra juste regretter une certaine naïveté, inhérente aux histoires de Princesse.
TéléCinéObs
Un bien joli tryptique d'histoires sans paroles qui peut initier de très jeunes enfants à la magie du cinéma.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Ces films ont donc été ripolinés pour mieux se vendre. Mauvais calcul a priori car l'oeuvre a beau avoir été tripatouillée, elle n'a pas fondamentalement changé, et les personnages et les charmantes mises en scènes de Ladislas Starewitch restent intactes. Mais fallait-il vraiment abîmer, rénover à ce point des films si délicats ?
Positif
La Petite chanteuse des rues n'est pas dépourvue de charme, mais l'onirisme de Starewitch est surtout en évidence dans La Petite parade (...) et dans la seconde partie de L'Horloge magique.