Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
A son échelle précieuse de journal filmé, Mon voyage d'hiver accomplit un geste d'importance : la transmission et l'apologie d'une esthétique méditative que les Allemands eux-mêmes n'oseraient pas vanter ainsi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Dieutre, égotiste à la Stendhal, ne craint pas d'accoler le "mon" du diariste au Voyage d'hiver de Schubert. Depuis Leçons de Ténèbres (...), ses travelogues surexposent sans pudeur son "je", mêlant sans les hiérarchiser (p)références artistiques (...) notations intimes voire triviales, et traces de l'Histoire.
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
Le film est un savant dosage d'images banales (dîner, opéra, écoute d'un CD dans un magasin...), de réflexions intimes péchant parfois par leur ton aphoristique appuyé, et de Lieder de Schubert choisis pour leurs paroles et leurs mélodies lancinantes, élégiaques.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Nous voilà donc embarqués dans cette blafarde traversée, au pays de la blancheur laiteuse et du brouillard, à destination d'une fin de parcours qui pourrait être celle d'une certaine idée de la civilisation en même temps que d'un adieu personnel à la jeunesse, ses espoirs et ses idéaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Françoise Audé
(...) V.D. (Vincent Dieutre) a dit : "J'ai juste besoin de chaleur et de sens." Il y en a dans son film, et de ces beautés graves qui le rapprochent de ceux de Philippe Garrel. Ce n'est pas un mince compliment.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Eric Quéméré
Sillonant une Allemagne glacée par l'hiver, Dieutre mêle de manière étonnante sa "petite" histoire à la grande, au gré de retrouvailles avec des amants au lourd passé, ou des visites de lieux-clés de la civilisation germanique.
Aden
par Philippe Piazzo
(...) Pour peu que l'on ne soit ni homosexuel, ni germaniste, ni mélomane, ni spécialement inquiet du temps qui passe ou fasciné par les détours de l'autoanalyse..., rien ne permet au spectateur d'accéder à ce voyage. Pourtant, le cinéma n'est-il pas un moyen idéal d'embarquer le spectateur là où il n'aurait pas cru pouvoir aller seul ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Emile Breton
Toute la beauté du film est là, dans la pudeur avec laquelle celui qui a entrepris cette remontée dans le temps de sa jeunesse se met à nu, lui pour qui, aussi, la jeunesse est passée.
Libération
par Philippe Azoury et Didier Peron
Le film, baigné de brume, de neige et de mélancolie Mitteleuropa, balaye un spectre indiscernable qui va des expériences impudiques de Vincent, homosexuel de quarante ans "passés" (...) aux blessures encore vives d'un XXe siècle allemand calamiteux.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Ce que nous raconte le réalisateur, Vincent Dieutre, n'a que peu d'intérêt. Ressassant ses souvenirs, égrenant les regrets d'un passé révolu, son film ne se cogne jamais à ce pays qu'il montre du doigt, et se contente juste d'enfiler les retrouvailles entre anciens amants, de ville en ville.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Comme il s'agit d'un road-movie, on a droit à de très nombreux travellings, avec une caméra DV posée partout sur la voiture. Sur fond de paysages blanc de neige ou gris de fumée, l'auteur-acteur se raconte ou cite ses maîtres à penser germaniques. (...) On apprécie la démarche du cinéaste mais encore faudrait-il que ce journal intime ne soit pas si hermétique.
Première
par Olivier Lemaire
Le parti pris esthétique (alternance incessante d'images DV façon film de vacances et d'images argentiques, agrémentées de sons liés à ces procédés) rend très difficile la lecture de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
A son échelle précieuse de journal filmé, Mon voyage d'hiver accomplit un geste d'importance : la transmission et l'apologie d'une esthétique méditative que les Allemands eux-mêmes n'oseraient pas vanter ainsi.
Cahiers du Cinéma
Dieutre, égotiste à la Stendhal, ne craint pas d'accoler le "mon" du diariste au Voyage d'hiver de Schubert. Depuis Leçons de Ténèbres (...), ses travelogues surexposent sans pudeur son "je", mêlant sans les hiérarchiser (p)références artistiques (...) notations intimes voire triviales, et traces de l'Histoire.
Chronic'art.com
Le film est un savant dosage d'images banales (dîner, opéra, écoute d'un CD dans un magasin...), de réflexions intimes péchant parfois par leur ton aphoristique appuyé, et de Lieder de Schubert choisis pour leurs paroles et leurs mélodies lancinantes, élégiaques.
Le Monde
Nous voilà donc embarqués dans cette blafarde traversée, au pays de la blancheur laiteuse et du brouillard, à destination d'une fin de parcours qui pourrait être celle d'une certaine idée de la civilisation en même temps que d'un adieu personnel à la jeunesse, ses espoirs et ses idéaux.
Positif
(...) V.D. (Vincent Dieutre) a dit : "J'ai juste besoin de chaleur et de sens." Il y en a dans son film, et de ces beautés graves qui le rapprochent de ceux de Philippe Garrel. Ce n'est pas un mince compliment.
Zurban
Sillonant une Allemagne glacée par l'hiver, Dieutre mêle de manière étonnante sa "petite" histoire à la grande, au gré de retrouvailles avec des amants au lourd passé, ou des visites de lieux-clés de la civilisation germanique.
Aden
(...) Pour peu que l'on ne soit ni homosexuel, ni germaniste, ni mélomane, ni spécialement inquiet du temps qui passe ou fasciné par les détours de l'autoanalyse..., rien ne permet au spectateur d'accéder à ce voyage. Pourtant, le cinéma n'est-il pas un moyen idéal d'embarquer le spectateur là où il n'aurait pas cru pouvoir aller seul ?
L'Humanité
Toute la beauté du film est là, dans la pudeur avec laquelle celui qui a entrepris cette remontée dans le temps de sa jeunesse se met à nu, lui pour qui, aussi, la jeunesse est passée.
Libération
Le film, baigné de brume, de neige et de mélancolie Mitteleuropa, balaye un spectre indiscernable qui va des expériences impudiques de Vincent, homosexuel de quarante ans "passés" (...) aux blessures encore vives d'un XXe siècle allemand calamiteux.
MCinéma.com
Ce que nous raconte le réalisateur, Vincent Dieutre, n'a que peu d'intérêt. Ressassant ses souvenirs, égrenant les regrets d'un passé révolu, son film ne se cogne jamais à ce pays qu'il montre du doigt, et se contente juste d'enfiler les retrouvailles entre anciens amants, de ville en ville.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Comme il s'agit d'un road-movie, on a droit à de très nombreux travellings, avec une caméra DV posée partout sur la voiture. Sur fond de paysages blanc de neige ou gris de fumée, l'auteur-acteur se raconte ou cite ses maîtres à penser germaniques. (...) On apprécie la démarche du cinéaste mais encore faudrait-il que ce journal intime ne soit pas si hermétique.
Première
Le parti pris esthétique (alternance incessante d'images DV façon film de vacances et d'images argentiques, agrémentées de sons liés à ces procédés) rend très difficile la lecture de l'histoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com