Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Bougon
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout en rendant hommage aux films de kung-fu, cette oeuvre irréelle, proche de l'esprit des mangas, est la plus débridée des trois. Mais au-delà de ses impressionnants effets spéciaux (...) DOA 3 ménage quelques moments intimistes de toute beauté (...)
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Avec ces deux séries B déjantées (Dead or Alive 2 et 3), Takashi Miike continue de jouer avec les conventions et les clichés du film de genre qu'il s'emploie à exacerber, à exagérer, à dynamiter ou à déjouer dans le déchaînement d'une imagination nihiliste et enfantine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par François Gorin
(...) il y a dans les trois films de la série plus d'énergie et de fantaisie que dans tout Kitano depuis Hana-bi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) contrairement aux apparences, les films de Miike ne sont pas bâclés. Ils sont hétérogènes. En particulier Dead or alive 3 (...) Ce troisième volet feuilletonesque est-il au premier ou au second degré ? Il est certain que l'humour complique le cinéma de Miike, le rend irréductible et perturbant (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !)
Positif
par Hubert Niogret
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Estelle Ruet
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Entre sensibilité nostalgique et chaos futuriste, les éclairs d'inspiration cohabitent toujours avec le n'importe quoi absolu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Camille Brun
DEAD OR ALIVE 3 ennuie et agace. Comme dans les précédents épisodes, le réalisateur-fou n'a rien à prouver et s'en amuse. Sauf que la magie ne fonctionne plus. Et si DOA 1 est un hymne débilo-jubilatoire au désordre, DOA 3 est la preuve absolue et irréfutable que le n'importe quoi ne suffit pas à faire un film...
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) si les deux premiers épisodes, dotés de trouvailles formelles et d'idées provocatrices en tous genres, font des étincelles, le troisième fait pâle figure (...) Miike (...) donne à son ensemble douteux un arrière-goût de bâclage très désagréable. Et ce ne sont pas les scènes d'action, supervisées par Chench Lee, qui changeront la donne...
Cahiers du Cinéma
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
L'Humanité
Tout en rendant hommage aux films de kung-fu, cette oeuvre irréelle, proche de l'esprit des mangas, est la plus débridée des trois. Mais au-delà de ses impressionnants effets spéciaux (...) DOA 3 ménage quelques moments intimistes de toute beauté (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Avec ces deux séries B déjantées (Dead or Alive 2 et 3), Takashi Miike continue de jouer avec les conventions et les clichés du film de genre qu'il s'emploie à exacerber, à exagérer, à dynamiter ou à déjouer dans le déchaînement d'une imagination nihiliste et enfantine.
Télérama
(...) il y a dans les trois films de la série plus d'énergie et de fantaisie que dans tout Kitano depuis Hana-bi.
Aden
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) contrairement aux apparences, les films de Miike ne sont pas bâclés. Ils sont hétérogènes. En particulier Dead or alive 3 (...) Ce troisième volet feuilletonesque est-il au premier ou au second degré ? Il est certain que l'humour complique le cinéma de Miike, le rend irréductible et perturbant (...)
Libération
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !)
Positif
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
Première
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Entre sensibilité nostalgique et chaos futuriste, les éclairs d'inspiration cohabitent toujours avec le n'importe quoi absolu.
Chronic'art.com
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.
MCinéma.com
DEAD OR ALIVE 3 ennuie et agace. Comme dans les précédents épisodes, le réalisateur-fou n'a rien à prouver et s'en amuse. Sauf que la magie ne fonctionne plus. Et si DOA 1 est un hymne débilo-jubilatoire au désordre, DOA 3 est la preuve absolue et irréfutable que le n'importe quoi ne suffit pas à faire un film...
aVoir-aLire.com
(...) si les deux premiers épisodes, dotés de trouvailles formelles et d'idées provocatrices en tous genres, font des étincelles, le troisième fait pâle figure (...) Miike (...) donne à son ensemble douteux un arrière-goût de bâclage très désagréable. Et ce ne sont pas les scènes d'action, supervisées par Chench Lee, qui changeront la donne...