Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
Avec DOA 2, Miike accepte de rentrer dans le jeu mercantile des suites, tout en livrant son film le plus personnel, le meilleur épisode de la trilogie, sans doute son meilleur film, et un film important... tout simplement.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Bougon
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Avec ces deux séries B déjantées (Dead or Alive 2 et 3), Takashi Miike continue de jouer avec les conventions et les clichés du film de genre qu'il s'emploie à exacerber, à exagérer, à dynamiter ou à déjouer dans le déchaînement d'une imagination nihiliste et enfantine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Même le plus sage DOA 2, est lardé de flash-backs clippés et de gags zinzins (l'enterrement d'une bite géante). C'est un feuilleté de tendances, intégrant tous les arts mineurs de notre temps (y compris l'infographie) avec en tête le manga.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
par La rédaction
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
S'il subsiste des dérapages iconoclastes (l'enterrement d'un sexe géant), des incongruités poétiques (des ailes poussent dans le dos des héros), DOA 2 est un film presque romantique, un film noir inondé de soleil.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !).
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) le réalisateur fou a su garder des éléments qui lui étaient propres et qui font le charme de ses réalisations et de ce DEAD OR ALIVE 2 (...) Alors ce DEAD OR ALIVE a peut-être un peu moins de charme que le premier, mais il donne tout de même très envie d'aller voir le troisième...
Positif
par Hubert Niogret
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
Première
par Estelle Ruet
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Entre sensibilité nostalgique et chaos futuriste, les éclairs d'inspiration cohabitent toujours avec le n'importe quoi absolu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
aVoir-aLire.com
Avec DOA 2, Miike accepte de rentrer dans le jeu mercantile des suites, tout en livrant son film le plus personnel, le meilleur épisode de la trilogie, sans doute son meilleur film, et un film important... tout simplement.
Cahiers du Cinéma
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Avec ces deux séries B déjantées (Dead or Alive 2 et 3), Takashi Miike continue de jouer avec les conventions et les clichés du film de genre qu'il s'emploie à exacerber, à exagérer, à dynamiter ou à déjouer dans le déchaînement d'une imagination nihiliste et enfantine.
Les Inrockuptibles
Même le plus sage DOA 2, est lardé de flash-backs clippés et de gags zinzins (l'enterrement d'une bite géante). C'est un feuilleté de tendances, intégrant tous les arts mineurs de notre temps (y compris l'infographie) avec en tête le manga.
Aden
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
L'Humanité
S'il subsiste des dérapages iconoclastes (l'enterrement d'un sexe géant), des incongruités poétiques (des ailes poussent dans le dos des héros), DOA 2 est un film presque romantique, un film noir inondé de soleil.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !).
MCinéma.com
(...) le réalisateur fou a su garder des éléments qui lui étaient propres et qui font le charme de ses réalisations et de ce DEAD OR ALIVE 2 (...) Alors ce DEAD OR ALIVE a peut-être un peu moins de charme que le premier, mais il donne tout de même très envie d'aller voir le troisième...
Positif
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
Première
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Entre sensibilité nostalgique et chaos futuriste, les éclairs d'inspiration cohabitent toujours avec le n'importe quoi absolu.
Chronic'art.com
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.