Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Libération
par Philippe Azoury
Et si, tout simplement, ce film nous plaisait parce qu'il repariait gros sur la croyance qui a fondé le cinéma, et fait de tous les cinéphiles des saint Thomas en puissance ? Ces gens à qui on donne des choses à voir, même incroyables, et qui y croient, plus fort que tout, avec la plus intense innocence dont ils sont capables.
Positif
par Grégory Valens
(...) la qualité majeure des Revenants réside dans ce ton singulier, qui déboussole car il ne correspond en rien à ce qu'on a déjà vu (...) ni à ce qu'on pouurait attendre (...) Quelque part sur le chemin immense qui éloigne Sous le sable des Body snatchers de Siegel, Les Revenants marque les débuts saisissants d'un cinéaste maître dans l'art de créer une atmosphère.
Cahiers du Cinéma
par Robin Campillo
L'argument des Revenants est génial. (...) Sujet à peu près intraitable -sauf à s'imposer cette discipline de froideur et de neutralisation des affects qui étouffe par endroits ce premier long-métrage, sans rien retirer toutefois à sa puissante singularité.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Le cinéma japonais (...) et les films de science-fiction américains nous ont habitué à des déferlements réguliers de morts vivants (...), mais les cinéastes français (...) n'ont jamais déliré sur ce thème. (...) Il faut savoir gré à Robin Campillo de l'avoir traité avec un parti pris de réalisme forcené, qui s'impose dès la première scène et n'en finira plus de distiller une inquiétante étrangeté.
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Voici un objet rare - un film français fantastique (...) - dont les créateurs affirment la singularité dès les scènes d'exposition. Film fantastique cartésien, Les Revenants se traîne un moment entre les termes de sa contradiction avant de retrouver sa voie pour un finale spectaculaire et inévitable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Camille Brun
Les Revenants soulève de nombreuses et passionnantes questions sur l'impossibilité du deuil, le manque créé par les disparitions, que personne ne peut combler. Jusqu'aux sublimes scènes de fin, bouleversantes et dures.
Première
par Olivier de Bruyn
Les Revenants ouvre beaucoup de pistes d'interprétations dérangeantes (...). Il ne les exploite pas toutes, certes, mais, en l'état, ce film anxiogène et sensoriel interpelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Christophe Cha
Robin Campillo signe un premier long métrage original et troublant, à la mise en scène clinique.
Score
par Eloi
Le réalisateur utilise toute une gamme d'effets pour faire croire à la réalité des revenants : ralentis à peine perceptibles à l'image, voix rajoutées en post-prod, filtres... S'il manque un peu de rythme, le film maintient l'attention du spectateur avec sa surdose de mystère et d'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Synopsis
par Valérie Ganne
Il faut savoir se laisser hypnotiser par ce film hors du temps. Car, à travers le portrait de ces ombres, le réalisateur trace celui d'une humanité embarassée de ses disparus. Avec un talent paradoxal, via l'irrationnel et le fantastique, Robin Campillo rappelle à la réalité : la vérité de notre humaine condition.
TéléCinéObs
par Jean Philippe Guerand
Ce film pose la question délicate de l'absence et tente d'y répondre par un postulat somme toute pas plus absurde que celui de la Nuit des morts vivants. Il interpelle chacun de nous (...) et déclenche en nous les interrogations fondamentales qui nous tenaillent. Le cinéma ne se targue pas si souvent d'une si noble ambition.
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Au-delà des quelques longueurs et lourdeurs d'une fin en forme de règlement de compte, Les revenants est un film glaçant qui mêle habillement le réalisme, le drame humain et social avec une horreur diffuse, psychologique, sans (presque) une goutte de sang.
France Soir
par Alexandra Simon
Le thème, fort proche de la science-fiction, avait de quoi faire saliver. Tout simplement parce qu'ils sont rares (...) ces cinéastes français à s'acoquiner à ce genre. Mais au bout de dix minutes, les Revenants déçoivent. (...) Et si l'émotion passe souvent dans le jeu profond de Geraldine Pailhas, on en vient trop vite à s'ennuyer (...).
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
La force singulière des Revenants tient avant tout au choix du réalisateur de conférer à la mise en scène même ce caractère de neutralité (...). Progressivement, la rigueur presque documentaire de Campillo s'estompe pour se perdre dans des intrigues confuses (...). S'échappe alors ce qui faisait l'intérêt du film : la confrontation avec l'impensable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
A la fois choral et un rien inhabité, plein de trouvailles et légèrement atone, le film fait songer au premier épisode d'un feuilleton expérimental (...). Plusieurs hypothèses prometteuses sont développées. (...) Dommage qu'aucune de ces directions, également intéressantes, ne s'impose, Campillo préférant faire marche arrière plutôt que de choisir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le début n'en finit pas de ne pas commencer, exposant et réexposant, avec une lenteur de somnambule (ou de corbillard), son récit. Le tout s'effilochant au fil de prétentions (mi-socio-politiques, mi-poétiques) que la mise en scène installe comme avec une tête de circonstance, soit une tête d'enterrement. Pas glop.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Sur le papier, c'est le film de l'année (...). Mais voilà, Les Revenants est un film constipé. (...) La série B, c'est bien sur la forme, ça fait de l'effet (...), mais le fond, (...), il faut laisser ça aux auteurs, aux penseurs, aux vrais artistes, à ceux qui ne rigolent pas. Evidemment Robin Campillo vous dirait que pas du tout. N'empêche que son film, lui, ne dit que ça.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Le problème des Revenants, c'est qu'il n'y a aucune spiritualité, aucune joie à retrouver l'autre. Les revenants finiront par retourner dans les ténèbres. Et on s'en fout !
TéléCinéObs
par Alain Riou
La grande idée, ici, c'est que les vivants sont encore plus morts que les fantômes. C'est en dire l'ennui littéralement mortel, et s'il est impoli d'ennuyer son prochain, voilà des défunts qui manquent vraiment de savoir-vivre.
Libération
Et si, tout simplement, ce film nous plaisait parce qu'il repariait gros sur la croyance qui a fondé le cinéma, et fait de tous les cinéphiles des saint Thomas en puissance ? Ces gens à qui on donne des choses à voir, même incroyables, et qui y croient, plus fort que tout, avec la plus intense innocence dont ils sont capables.
Positif
(...) la qualité majeure des Revenants réside dans ce ton singulier, qui déboussole car il ne correspond en rien à ce qu'on a déjà vu (...) ni à ce qu'on pouurait attendre (...) Quelque part sur le chemin immense qui éloigne Sous le sable des Body snatchers de Siegel, Les Revenants marque les débuts saisissants d'un cinéaste maître dans l'art de créer une atmosphère.
Cahiers du Cinéma
L'argument des Revenants est génial. (...) Sujet à peu près intraitable -sauf à s'imposer cette discipline de froideur et de neutralisation des affects qui étouffe par endroits ce premier long-métrage, sans rien retirer toutefois à sa puissante singularité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Le cinéma japonais (...) et les films de science-fiction américains nous ont habitué à des déferlements réguliers de morts vivants (...), mais les cinéastes français (...) n'ont jamais déliré sur ce thème. (...) Il faut savoir gré à Robin Campillo de l'avoir traité avec un parti pris de réalisme forcené, qui s'impose dès la première scène et n'en finira plus de distiller une inquiétante étrangeté.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Voici un objet rare - un film français fantastique (...) - dont les créateurs affirment la singularité dès les scènes d'exposition. Film fantastique cartésien, Les Revenants se traîne un moment entre les termes de sa contradiction avant de retrouver sa voie pour un finale spectaculaire et inévitable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Les Revenants soulève de nombreuses et passionnantes questions sur l'impossibilité du deuil, le manque créé par les disparitions, que personne ne peut combler. Jusqu'aux sublimes scènes de fin, bouleversantes et dures.
Première
Les Revenants ouvre beaucoup de pistes d'interprétations dérangeantes (...). Il ne les exploite pas toutes, certes, mais, en l'état, ce film anxiogène et sensoriel interpelle.
Rolling Stone
Robin Campillo signe un premier long métrage original et troublant, à la mise en scène clinique.
Score
Le réalisateur utilise toute une gamme d'effets pour faire croire à la réalité des revenants : ralentis à peine perceptibles à l'image, voix rajoutées en post-prod, filtres... S'il manque un peu de rythme, le film maintient l'attention du spectateur avec sa surdose de mystère et d'humour noir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Il faut savoir se laisser hypnotiser par ce film hors du temps. Car, à travers le portrait de ces ombres, le réalisateur trace celui d'une humanité embarassée de ses disparus. Avec un talent paradoxal, via l'irrationnel et le fantastique, Robin Campillo rappelle à la réalité : la vérité de notre humaine condition.
TéléCinéObs
Ce film pose la question délicate de l'absence et tente d'y répondre par un postulat somme toute pas plus absurde que celui de la Nuit des morts vivants. Il interpelle chacun de nous (...) et déclenche en nous les interrogations fondamentales qui nous tenaillent. Le cinéma ne se targue pas si souvent d'une si noble ambition.
aVoir-aLire.com
Au-delà des quelques longueurs et lourdeurs d'une fin en forme de règlement de compte, Les revenants est un film glaçant qui mêle habillement le réalisme, le drame humain et social avec une horreur diffuse, psychologique, sans (presque) une goutte de sang.
France Soir
Le thème, fort proche de la science-fiction, avait de quoi faire saliver. Tout simplement parce qu'ils sont rares (...) ces cinéastes français à s'acoquiner à ce genre. Mais au bout de dix minutes, les Revenants déçoivent. (...) Et si l'émotion passe souvent dans le jeu profond de Geraldine Pailhas, on en vient trop vite à s'ennuyer (...).
Les Inrockuptibles
La force singulière des Revenants tient avant tout au choix du réalisateur de conférer à la mise en scène même ce caractère de neutralité (...). Progressivement, la rigueur presque documentaire de Campillo s'estompe pour se perdre dans des intrigues confuses (...). S'échappe alors ce qui faisait l'intérêt du film : la confrontation avec l'impensable.
Télérama
A la fois choral et un rien inhabité, plein de trouvailles et légèrement atone, le film fait songer au premier épisode d'un feuilleton expérimental (...). Plusieurs hypothèses prometteuses sont développées. (...) Dommage qu'aucune de ces directions, également intéressantes, ne s'impose, Campillo préférant faire marche arrière plutôt que de choisir.
Aden
Le début n'en finit pas de ne pas commencer, exposant et réexposant, avec une lenteur de somnambule (ou de corbillard), son récit. Le tout s'effilochant au fil de prétentions (mi-socio-politiques, mi-poétiques) que la mise en scène installe comme avec une tête de circonstance, soit une tête d'enterrement. Pas glop.
Chronic'art.com
Sur le papier, c'est le film de l'année (...). Mais voilà, Les Revenants est un film constipé. (...) La série B, c'est bien sur la forme, ça fait de l'effet (...), mais le fond, (...), il faut laisser ça aux auteurs, aux penseurs, aux vrais artistes, à ceux qui ne rigolent pas. Evidemment Robin Campillo vous dirait que pas du tout. N'empêche que son film, lui, ne dit que ça.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le problème des Revenants, c'est qu'il n'y a aucune spiritualité, aucune joie à retrouver l'autre. Les revenants finiront par retourner dans les ténèbres. Et on s'en fout !
TéléCinéObs
La grande idée, ici, c'est que les vivants sont encore plus morts que les fantômes. C'est en dire l'ennui littéralement mortel, et s'il est impoli d'ennuyer son prochain, voilà des défunts qui manquent vraiment de savoir-vivre.