Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
La mort dans la peau réussit ce que manquent souvent les suites : aller plus loin. Mais Jason Bourne ne serait rien sans un adversaire à sa taille. Ici, c'est une femme. (...) L'actrice, c'est Joan Allen. Une pro des seconds rôles. Ici, elle éclate. Leur duel à distance pousse le récit dans ses retranchements.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Christian Jauberty
(...) Paul Greengrass ne fait pas regretter le changement. La vigueur de ses choix de mise en scène, son travail sur l'image, le son et surtout le rythme tiennent fermement sur les rails son thriller et témoignent d'un tempérament à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
Le film d'action revisité avec brio par Paul Greengrass et son approche néodocumentaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La mort dans la peau tire une efficacité boursouflante : loin, très loin de la précision et de la sophistication cinétique du film de Liman.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Greengrass tire d'un scénario plein comme un oeuf une sorte d'efficacité hachée, sèche, presque archaïque. Ce hiatus entre les deux films est un problème majeur : tout ce que La Mémoire dans la peau contenait de promesses et de modernité, La Mort dans la peau l'annihile pour en faire un honnête thriller à l'ancienne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Matt fait faux Bond. On attendait mieux de la part de Paul Greengrass. Divertissement honorable, sans graisse, mais peu mémorable. À suivre.
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) la perception précise du décollement de l'homme et de ses actes appelait une approche purement comportementaliste. Ce que le film, agréable au demeurant mais qui confond un peu vitesse et précipitation, oublie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Second volet des aventures de Jason Bourne, moins gracieux que le premier, mais toujours avec Matt Damon, notre nice guy préféré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Bayon
Avec cet anti-Cruise portant bien son prénom en français, mat, jouant effacé voire terne, la machine tourne rond.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
La première scène de poursuite, à Goa, est (...) un modèle de rythme et d'efficacité. Le seul problème, c'est que passée cette séquence, La mort dans la peau manque cruellement d'enjeu. On suit de loin et sans passion les tribulations du héros, campé sobrement par Matt Damon, pour retrouver son identité. Mais cette suite n'a ni l'originalité du premier volet, ni son charme.
Positif
par Adrien Gombeaud
Jonglant avec quatre langues à travers cinq grandes villes, de train en tram, de métro en taxi, d'aéroport en hôtel, Paul Greengrass sait surtout rester très lisible. Il imprime à La Mort dans la peau la beauté froide et fonctionnelle des cartes géographiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
On est là face à un film d'action efficace mais finalement assez conventionnel.
Aden
La mort dans la peau réussit ce que manquent souvent les suites : aller plus loin. Mais Jason Bourne ne serait rien sans un adversaire à sa taille. Ici, c'est une femme. (...) L'actrice, c'est Joan Allen. Une pro des seconds rôles. Ici, elle éclate. Leur duel à distance pousse le récit dans ses retranchements.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
(...) Paul Greengrass ne fait pas regretter le changement. La vigueur de ses choix de mise en scène, son travail sur l'image, le son et surtout le rythme tiennent fermement sur les rails son thriller et témoignent d'un tempérament à suivre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le film d'action revisité avec brio par Paul Greengrass et son approche néodocumentaire.
Cahiers du Cinéma
La mort dans la peau tire une efficacité boursouflante : loin, très loin de la précision et de la sophistication cinétique du film de Liman.
Chronic'art.com
Greengrass tire d'un scénario plein comme un oeuf une sorte d'efficacité hachée, sèche, presque archaïque. Ce hiatus entre les deux films est un problème majeur : tout ce que La Mémoire dans la peau contenait de promesses et de modernité, La Mort dans la peau l'annihile pour en faire un honnête thriller à l'ancienne.
L'Humanité
Matt fait faux Bond. On attendait mieux de la part de Paul Greengrass. Divertissement honorable, sans graisse, mais peu mémorable. À suivre.
Le Monde
(...) la perception précise du décollement de l'homme et de ses actes appelait une approche purement comportementaliste. Ce que le film, agréable au demeurant mais qui confond un peu vitesse et précipitation, oublie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Second volet des aventures de Jason Bourne, moins gracieux que le premier, mais toujours avec Matt Damon, notre nice guy préféré.
Libération
Avec cet anti-Cruise portant bien son prénom en français, mat, jouant effacé voire terne, la machine tourne rond.
MCinéma.com
La première scène de poursuite, à Goa, est (...) un modèle de rythme et d'efficacité. Le seul problème, c'est que passée cette séquence, La mort dans la peau manque cruellement d'enjeu. On suit de loin et sans passion les tribulations du héros, campé sobrement par Matt Damon, pour retrouver son identité. Mais cette suite n'a ni l'originalité du premier volet, ni son charme.
Positif
Jonglant avec quatre langues à travers cinq grandes villes, de train en tram, de métro en taxi, d'aéroport en hôtel, Paul Greengrass sait surtout rester très lisible. Il imprime à La Mort dans la peau la beauté froide et fonctionnelle des cartes géographiques.
TéléCinéObs
On est là face à un film d'action efficace mais finalement assez conventionnel.