Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Paris Match
par Christine Haas
Derrière l'histoire d'amour, magnifiée par la troublante sensualité des personnages, Hidenori Sugimori brosse une fable sur la compassion et l'acceptation de l'autre. [...] Les comédiens occupent cet univers ludique avec beaucoup de grâce. A travers un titre qui évoque "La fille de l'eau" de Jean Renoir, le jeune cinéaste honore dignement son maître avec un premier film envoûtant et d'un grand raffinement esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Le recours à l'ellipse rend parfois difficile la compréhension de cette singulière histoire d'amour. Mais cette faiblesse toute relative est bientôt compensée par le plaisir visuel (la photographie, les nuances de bleu, l'ocre, les ombres) ressenti lors de la découverte d'un univers symbolique, celui des quatre éléments (eau, feu, terre, air), et poétique. Bien servi par le jeu de la chanteuse Ua, qui effectue pour la circonstance ses débuts au cinéma, LA FEMME D'EAU est l'exemple même d'un premier film parfaitement maîtrisé.
Score
par Anthony Wong
Bien que le contexte de départ soit réaliste et contemplatif, il s'appuie sur un quatuor de personnages fantastiques afin d'amener son film vers une étrange et subtile légèreté. [...] Bien que trop long, la femme d'eau demeure une oeuvre originale en même temps qu'une preuve flagrante du talent de son réalisateur. Envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Téssé
Vanité d'un certain cinéma asia-toc quand il s'enferre ainsi dans une triple recette de soufflé. [...] Jamais loin de la beauté, toujours près du joli, La femme d'eau s'épuise dans une siéste et un rêverie dont il est lui-même le seul objet.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Téssé
(...) ce film, donc, pas tout à fait déplaisant mais hautement limité, circonscrit à l'agencement de vignettes étiquetées à l'avance par une grâce et une poésie passe-partout.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Bernard Medioni
La femme d'eau affiche une esthétique au minimalisme hardi. [...] Cependant, élégance formelle et métaphores-surprises ne suffisent pas à bâtir une histoire. Nanti d'un scénario chétif pourtant écrit de sa main, le réalisateur barbote ainsi dans son propos, en quête d'une poésie et d'une étrangeté qu'il ne parvient guère à susciter.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'eau et le feu... N'en jetez plus ! Bon, malgré une déclinaison à l'envi (en en rajoutant au besoin avec des effets numériques) des thématiques associées aux deux éléments opposés, et malgré un sens de l'ellipse exagéré, cette fable se laisse voir. Mais sa poésie est un petit peu trop fabriquée et surlignée pour convaincre totalement.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette personnification des deux éléments antagonistes, l'eau et le feu, c'est un boulet conceptuel que s'impose Sugimori, transfuge de la pub. Il plie les personnages et leur quotidien à cette thématique [...] Bref, un joli film, décoratif, plutôt inconsistant, mais qui se laisse voir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
Présente dans quelques images (...), la modernité se manifeste surtout dans les maniérismes de la narration (...), qui paraissent assez gratuits. Le meilleur du film (...) tient à l'évocation d'un monde traditionnel, de ses petits métiers...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Alambiqué à l'extrême, le premier essai de Sugimori aligne les scènes onirico-bizarres avec un souci constant du symblisme et du clinquant. Par intermittences, le système formaliste fonctionne. Le reste du temps, non.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Claire Vassé
Certes, la mise en scène n'est pas toujours à la hauteur. Mais néanmoins elle reste assez gracieuse pour nous embarquer dans cette histoire et pour mieux nous raconter un parcours de femme finalement très concret.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Très léché, le film d'Hidenori Sugimori accumule des effets qui font penser, au mieux, aux films du Coréen Kim Ki-duk et, au pire, à des pubs, dont il est par ailleurs coutumier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Peron
Les ennuis commencent avec l'histoire proprement dite, qui ne prend jamais consistance, les deux personnages principaux interprétés par deux pop-stars japonaises, Ua et Tadanobu Asano, étant réduits à des figures élémentaires. Le zen recherché par Sugimori dispense, à force, un certain ennui et, quand l'action fait mine de se précipiter, il est déjà trop tard, on a lâché prise et on coule à pic avec le film.
Télérama
par François Gorin
L'union de ces deux éléments peine à faire étinceler un film aux cadres maniérés, aux langueurs écolo-mystiques assommantes. Au mieux, c'est du sous-Kiyoshi Kurosawa. Trop de pluie noie la patience du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Las, malgré des audaces et un certain sens du cadre, toutes les ambitions pesamment soulignées échouent tant la poésie devient poétoc. Le manque de substance est amplifié par une esthétisation outrancière, une enquête policière inutile et des personnages secondaires incongrus.
Paris Match
Derrière l'histoire d'amour, magnifiée par la troublante sensualité des personnages, Hidenori Sugimori brosse une fable sur la compassion et l'acceptation de l'autre. [...] Les comédiens occupent cet univers ludique avec beaucoup de grâce. A travers un titre qui évoque "La fille de l'eau" de Jean Renoir, le jeune cinéaste honore dignement son maître avec un premier film envoûtant et d'un grand raffinement esthétique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Le recours à l'ellipse rend parfois difficile la compréhension de cette singulière histoire d'amour. Mais cette faiblesse toute relative est bientôt compensée par le plaisir visuel (la photographie, les nuances de bleu, l'ocre, les ombres) ressenti lors de la découverte d'un univers symbolique, celui des quatre éléments (eau, feu, terre, air), et poétique. Bien servi par le jeu de la chanteuse Ua, qui effectue pour la circonstance ses débuts au cinéma, LA FEMME D'EAU est l'exemple même d'un premier film parfaitement maîtrisé.
Score
Bien que le contexte de départ soit réaliste et contemplatif, il s'appuie sur un quatuor de personnages fantastiques afin d'amener son film vers une étrange et subtile légèreté. [...] Bien que trop long, la femme d'eau demeure une oeuvre originale en même temps qu'une preuve flagrante du talent de son réalisateur. Envoûtant.
Cahiers du Cinéma
Vanité d'un certain cinéma asia-toc quand il s'enferre ainsi dans une triple recette de soufflé. [...] Jamais loin de la beauté, toujours près du joli, La femme d'eau s'épuise dans une siéste et un rêverie dont il est lui-même le seul objet.
Chronic'art.com
(...) ce film, donc, pas tout à fait déplaisant mais hautement limité, circonscrit à l'agencement de vignettes étiquetées à l'avance par une grâce et une poésie passe-partout.
L'Ecran Fantastique
La femme d'eau affiche une esthétique au minimalisme hardi. [...] Cependant, élégance formelle et métaphores-surprises ne suffisent pas à bâtir une histoire. Nanti d'un scénario chétif pourtant écrit de sa main, le réalisateur barbote ainsi dans son propos, en quête d'une poésie et d'une étrangeté qu'il ne parvient guère à susciter.
L'Humanité
L'eau et le feu... N'en jetez plus ! Bon, malgré une déclinaison à l'envi (en en rajoutant au besoin avec des effets numériques) des thématiques associées aux deux éléments opposés, et malgré un sens de l'ellipse exagéré, cette fable se laisse voir. Mais sa poésie est un petit peu trop fabriquée et surlignée pour convaincre totalement.
Les Inrockuptibles
Cette personnification des deux éléments antagonistes, l'eau et le feu, c'est un boulet conceptuel que s'impose Sugimori, transfuge de la pub. Il plie les personnages et leur quotidien à cette thématique [...] Bref, un joli film, décoratif, plutôt inconsistant, mais qui se laisse voir.
Positif
Présente dans quelques images (...), la modernité se manifeste surtout dans les maniérismes de la narration (...), qui paraissent assez gratuits. Le meilleur du film (...) tient à l'évocation d'un monde traditionnel, de ses petits métiers...
Première
Alambiqué à l'extrême, le premier essai de Sugimori aligne les scènes onirico-bizarres avec un souci constant du symblisme et du clinquant. Par intermittences, le système formaliste fonctionne. Le reste du temps, non.
Zurban
Certes, la mise en scène n'est pas toujours à la hauteur. Mais néanmoins elle reste assez gracieuse pour nous embarquer dans cette histoire et pour mieux nous raconter un parcours de femme finalement très concret.
Le Monde
Très léché, le film d'Hidenori Sugimori accumule des effets qui font penser, au mieux, aux films du Coréen Kim Ki-duk et, au pire, à des pubs, dont il est par ailleurs coutumier.
Libération
Les ennuis commencent avec l'histoire proprement dite, qui ne prend jamais consistance, les deux personnages principaux interprétés par deux pop-stars japonaises, Ua et Tadanobu Asano, étant réduits à des figures élémentaires. Le zen recherché par Sugimori dispense, à force, un certain ennui et, quand l'action fait mine de se précipiter, il est déjà trop tard, on a lâché prise et on coule à pic avec le film.
Télérama
L'union de ces deux éléments peine à faire étinceler un film aux cadres maniérés, aux langueurs écolo-mystiques assommantes. Au mieux, c'est du sous-Kiyoshi Kurosawa. Trop de pluie noie la patience du spectateur.
aVoir-aLire.com
Las, malgré des audaces et un certain sens du cadre, toutes les ambitions pesamment soulignées échouent tant la poésie devient poétoc. Le manque de substance est amplifié par une esthétisation outrancière, une enquête policière inutile et des personnages secondaires incongrus.