Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un Ripstein classieux et stylé auquel il manque un grain de réel et de folie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Qu'est-ce que c'est beau ! La Vierge de la luxure, dernier long métrage du Mexicain Arturo Ripstein (...) à parvenir jusqu'à nous, est d'une élégance très marquante. Sauf qu'à dire cela, on en oublie l'essentiel. Avec ses 2h20, le film est d'un ennui mortel.
Télérama
par Pierre Murat
Durant une bonne heure, on retrouve le Ripstein des belles années (...) Une autre intrigue se greffe à la première (...) Probablement coincé par le récit dont il s'inspire alors (...), Ripstein patine un peu. Tout devient bavard et apprêté même si ces exilés d'opérette chantant par moments de l'opéra, sont drôles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
L'ensemble, bien que souvent drôle et esthétiquement irréprochable (direction de la photographie impressionnante), manque de clarté dans le récit et finit par devenir indigeste.
Aden
par Philippe Piazzo
Dans cette valse-hésitation des sentiments, pleine de grosses larmes et de tango (...) l'auteur de Principio y Fin et de Carmin profond semble avoir perdu la mesure du temps, et l'on ne sait plus au juste, entre l'ennui et la confusion, de quoi tout cela parlait-il donc.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Un film bien trop long qui surfe sur un fétichisme sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une fois énoncés les thèmes, une fois provoquées les confrontations, le spectacle se trouve englué dans une frénésie immobile, aussi étouffante qu'une serre tropicale.
Première
par Olivier Lemaire
(...) au-delà du cataclysme esthétique, difficile de partager la torpeur du mal-aimé et la voracité de la diablesse, le côté BD explosive étouffant la profondeur des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Malgré un vent de folie, rien ne vient véritablement traverser le film qui, à force d'en faire trop, retombe à plat.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Un Ripstein classieux et stylé auquel il manque un grain de réel et de folie.
MCinéma.com
Qu'est-ce que c'est beau ! La Vierge de la luxure, dernier long métrage du Mexicain Arturo Ripstein (...) à parvenir jusqu'à nous, est d'une élégance très marquante. Sauf qu'à dire cela, on en oublie l'essentiel. Avec ses 2h20, le film est d'un ennui mortel.
Télérama
Durant une bonne heure, on retrouve le Ripstein des belles années (...) Une autre intrigue se greffe à la première (...) Probablement coincé par le récit dont il s'inspire alors (...), Ripstein patine un peu. Tout devient bavard et apprêté même si ces exilés d'opérette chantant par moments de l'opéra, sont drôles.
aVoir-aLire.com
L'ensemble, bien que souvent drôle et esthétiquement irréprochable (direction de la photographie impressionnante), manque de clarté dans le récit et finit par devenir indigeste.
Aden
Dans cette valse-hésitation des sentiments, pleine de grosses larmes et de tango (...) l'auteur de Principio y Fin et de Carmin profond semble avoir perdu la mesure du temps, et l'on ne sait plus au juste, entre l'ennui et la confusion, de quoi tout cela parlait-il donc.
Fluctuat.net
Un film bien trop long qui surfe sur un fétichisme sans intérêt.
Le Monde
Une fois énoncés les thèmes, une fois provoquées les confrontations, le spectacle se trouve englué dans une frénésie immobile, aussi étouffante qu'une serre tropicale.
Première
(...) au-delà du cataclysme esthétique, difficile de partager la torpeur du mal-aimé et la voracité de la diablesse, le côté BD explosive étouffant la profondeur des sentiments.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Malgré un vent de folie, rien ne vient véritablement traverser le film qui, à force d'en faire trop, retombe à plat.