Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Habilement écrit, joliment joué, Real Movie, premier film de Stéphane Robelin, exécute quelques plaisantes variations sur le thème de la réalité vampirisée par la fiction.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Real Movie se présente comme le film que réalise Luc, dans lequel la réalité produirait de la fiction qui engendrerait à son tour la réalité. Stéphane Robelin a sans doute lu qu'Hitchcock ou Pialat jouaient avec les émotions de leurs acteurs pour nourrir leur art. Il semble avoir fait l'impasse sur le reste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Conclusion de ce vrai-faux docu terriblement amoral, fondé sur le principe qu'on peut "filmer la réalité" à condition qu'il "arrive des choses, sinon ça n'intéresse personne" : l'abus d'images peut nuire à la santé. A fortiori si elles tombent dans le panneau du sensationnalisme putride dont se repaissent les chaînes de télé. Ou ce Real Movie qui, ayant beau se parer d'une valeur dénonciatrice, n'en applique pas moins les mêmes méthodes, peu ou prou aussi antipathiques que les quelques personnages qui jalonnent l'intrigue.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par La rédaction
Evidemment, tout cela est du cinéma, avec des acteurs et un scénario qui veut donc faire réfléchir... à l'absence de scénario... Ça se mord la queue. C'est joué " comme si c'était vrai ", donc tout paraît faux (mais ça doit être fait exprès). La mise en abyme provoque bien des vertiges, mais sans doute pas ceux qui sont espérés.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Camille Brun
En fait, REAL MOVIE fait lui-même son autocritique. Ainsi, si l'on veut bien croire le réalisateur scénariste qui fait dire à son personnage qu'un " film sans action, c'est comme un homme sans bite ", on applaudit des deux mains quand ce même protagoniste finit par lâcher que tout cela " ne suffit pas pour faire un film ". Un bon en tout cas.
Positif
par Antoine Thirion
Real Movie n'est light ou rigolo qu'en apparence, complexé par sa taille et honteux de son outil, soucieux de s'excuser de ses maigres moyens par d'épaisses problématiques.
Première
par Alexis Trosset
Sur le papier, c'est tentant, mais si l'on retire au film son postiche, celui d'un essai sur le rapport ambigu que nous entretenons avec la fiction, il ne reste guère plus que du sexe, du mensonge et de la vidéo.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Evitant soigneusement toute réflexion ou distanciation, Stéphane Robelin filme son sujet au tout premier degrès. Sans doute l'espérait-il original ou audacieux. Il n'est que scabreux.
Télérama
par Jacques Morice
Robelin a oublié une chose essentielle : la perversion est aussi affaire de séduction. Comme on ne sait pas grand-chose de Luc, qui reste planqué, on s'impatiente de quitter la bulle de ce mini-" cinéma-réalité ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Tout est si confus que l'on s'y perd complètement, on subit sans jamais s'accrocher ni aux personnages ni au sujet.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Habilement écrit, joliment joué, Real Movie, premier film de Stéphane Robelin, exécute quelques plaisantes variations sur le thème de la réalité vampirisée par la fiction.
Le Monde
Real Movie se présente comme le film que réalise Luc, dans lequel la réalité produirait de la fiction qui engendrerait à son tour la réalité. Stéphane Robelin a sans doute lu qu'Hitchcock ou Pialat jouaient avec les émotions de leurs acteurs pour nourrir leur art. Il semble avoir fait l'impasse sur le reste.
Libération
Conclusion de ce vrai-faux docu terriblement amoral, fondé sur le principe qu'on peut "filmer la réalité" à condition qu'il "arrive des choses, sinon ça n'intéresse personne" : l'abus d'images peut nuire à la santé. A fortiori si elles tombent dans le panneau du sensationnalisme putride dont se repaissent les chaînes de télé. Ou ce Real Movie qui, ayant beau se parer d'une valeur dénonciatrice, n'en applique pas moins les mêmes méthodes, peu ou prou aussi antipathiques que les quelques personnages qui jalonnent l'intrigue.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Evidemment, tout cela est du cinéma, avec des acteurs et un scénario qui veut donc faire réfléchir... à l'absence de scénario... Ça se mord la queue. C'est joué " comme si c'était vrai ", donc tout paraît faux (mais ça doit être fait exprès). La mise en abyme provoque bien des vertiges, mais sans doute pas ceux qui sont espérés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
En fait, REAL MOVIE fait lui-même son autocritique. Ainsi, si l'on veut bien croire le réalisateur scénariste qui fait dire à son personnage qu'un " film sans action, c'est comme un homme sans bite ", on applaudit des deux mains quand ce même protagoniste finit par lâcher que tout cela " ne suffit pas pour faire un film ". Un bon en tout cas.
Positif
Real Movie n'est light ou rigolo qu'en apparence, complexé par sa taille et honteux de son outil, soucieux de s'excuser de ses maigres moyens par d'épaisses problématiques.
Première
Sur le papier, c'est tentant, mais si l'on retire au film son postiche, celui d'un essai sur le rapport ambigu que nous entretenons avec la fiction, il ne reste guère plus que du sexe, du mensonge et de la vidéo.
TéléCinéObs
Evitant soigneusement toute réflexion ou distanciation, Stéphane Robelin filme son sujet au tout premier degrès. Sans doute l'espérait-il original ou audacieux. Il n'est que scabreux.
Télérama
Robelin a oublié une chose essentielle : la perversion est aussi affaire de séduction. Comme on ne sait pas grand-chose de Luc, qui reste planqué, on s'impatiente de quitter la bulle de ce mini-" cinéma-réalité ".
Zurban
Tout est si confus que l'on s'y perd complètement, on subit sans jamais s'accrocher ni aux personnages ni au sujet.