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Xyrons
683 abonnés
3 360 critiques
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4,0
Publiée le 9 janvier 2010
La course à l’échalote est une excellente comédie de Claude Zidi. Un bon scénario, de bons dialogues avec un humour qui fonctionne bien, de bons gags, une mise en scène irréprochable et une belle distribution avec des acteurs comme Pierre Richard, Jane Birkin ou encore Michel Aumont. Bref, c’est très divertissant, 13 / 20.
Quel régal de voir Pierre Richard diriger la banque et de courir jusqu'en Angleterre, avec Jane Birkin, autant irrésistible ! Un véritable festival de gags ! La scène où Pierre Richard capte l'attention du public en perturbant le spectacle est délirante ! Très bons acteurs secondaires (Luis Rego, Michel Aumont,...) !
Pierre Richard plus poisseux et attendrissant que jamais.Une comédie où les gags s'enchainent à un rythme soutenu pour notre joie à tous.Jane Birkin est fantistique dans la paire qu'elle forme avec notre gentil héro.
Un film loufoque, à l'image de Pierre Richard, que l'on retrouve avec plaisir dans ce rôle de maladroit, dépassé par les événements.. Jane Birkin y est un peu décevante, et certains gags vraiment trop gros (exemple : le pied coincé dans les toilettes..).
On retrouve ici le couple de "la moutarde me monte au nez" , Pierre Richard et Jane Birkin .Dans ce fim ils font un clin d'œil aux relations franco-anglaises. Janet promène son adorable accent anglais. Elle est l'éminente membre d'un "institut de trichologie" dont la plaque pompeuse annonce l'entrée . En fait elle travaille simplement dans un institut de beauté spécialisée dans la santé du cheveu...Elle est un peu coiffeuse ou esthéticienne. Le mot trichologie est d'un emploi plus difficile en français qu'en anglais. Il se prononce comme tricotlogie et on pourrait croire que Janet est une spécialiste du tricot... A moins que ce soit un institut ou on apprend à tricher.En Anglais cela donne "institute of trichology" et doit être d'un emploi plus courant.
La banque elle même semble la succursale d'une banque anglaise. Le nom de la banque est rarement prononcé ou vu : la "twenty century bank". On le voit lorsqu'une équipe de photographe vient dans la banque et qu'une pancarte porte le nom de la banque. Pierre Richard croit que c'est un "hold up" et lorsque le chef d'équipe dit "ne bougez plus" avant de prendre la photo son expression est peu crédible et visiblement destinée uniquement à entretenir le quiproquo.
Enfin la dernière partie du film se déroule à Brighton.
Film comique français classique. Les rebondissements n'arrêtent pas mais l'humour n'est pas très subtil ni très égal, passant d'un très bon gag à une vanne niveau "charlots". Toutefois, on ne va pas bouder sur le fou-rire que procure le train qui embarque dans le ferry. Pierre Richard est un peu lourdingue dans son rôle de banquier, surtout lorsqu'il devient directeur par intérim. Quant à Jane Birkin, exceptionnelle de naturel tout au long du film, son talent est indéniable. "La course à l'échalotte" se laisse voir sans problème, mais dans la série des Pierre Richard, on lui préférera largement "la moutarde me monte au nez", "le grand blond avec une chaussure noire" ou "la chèvre".
Un film bourré de gags du début à la fin même si Pierre Richard en fait souvent beaucoup trop. Par contre, Jane Birkin est une excellente actrice comique et leur duo marche très bien.
Un film à la sauce Pierre Richard, dans lequel on se marre de bout en bout. Pourtant, au départ, il joue un personnage plutôt sérieux, posé et sûr de lui, mais comme d'habitude sa maladresse le rattrape très vite. Pendant le dernier quart d'heure du film c'est gag sur gag et ça fait mal aux abdominaux tellement c'est drôle !
Comédie irréprochable signée Claude Zidi. Le réalisateur retrouve son couple vedette de "La Moutarde me monte au nez" deux ans après ce gros succès populaire. Doté d'un plus gros budget, Claude Zidi invite le spectateur à une course-poursuite délirante entre Paris et Brighton. Le couple Pierre Richard-Jane Birkin (craquante) fait des étincelles et leur complicité apparait comme l'une des plus réussies du cinéma français des années 70. Claude Zidi signe une comédie raffinée, enchainant les quiproquos, les gags burlesques (Pierre Richard est un véritable personnage de cartoon), le vaudeville, avec un sens indéniable de l'invention. Vladimir Cosma signe à nouveau une partition entrainante, un véritable petit bijou. Les seconds roles comme d'habitude chez Zidi sont soignés comme les compositions délirantes de Michel Aumont et Luis Régo. la séquence de la maison en feu est toujours impressionnante et nécessitait à l'époque un énorme travail d'effets spéciaux. Un film haut en couleurs, une comédie extremement soignée pour le plus grand bonheur de tous, à voir et à revoir.