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Votre avis sur Les Dalton ?
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Julien D
Il est difficile à dire si, suite à leurs échecs précédents, Eric et Ramzy ont vainement cherché à toucher un public plus jeune ou si le film n’est que la fin de leur descente vers les abysses de leur niaiserie affichée. Quoiqu’il en soit cette adaptation de la bande dessinée n’est un long étalage de débilités pitoyables, de gags minables tournant autour de grimaces idiotes, du surjeu écœurant d’acteurs sans inspiration et de décors barbouillés en carton pâte. Le "Lucky Luke" avec Dujardin était déjà une purge mais là c’est une véritable honte pour le cinéma français!
ferdinand75
Une adaptation bien ratée. On ne croit pas une seconde à ces personnages . C'est triste , le scénario est bien d'humour.
Eric Judor et Ramzy Bédia ont été drôles à un moment, un jour. Dans la série H, par exemple, ils étaient plutôt drôles, Eric cent fois plus que Ramzy. Mais au cinéma… C’est assez catastrophique.
Après le lamentable Double Zéro, le duo se retrouve dans Les Dalton, avec deux autres acolytes qui servent encore moins que leurs contrepoints dans la bande-dessinée. Comme en plus, ils sont joués par Saïd Serrari et le terriblement nul Romain Berger (se concentrer sur lui pendant le film est presque plus drôle que le film en lui-même), c’est absolument insupportable. Le scénario écrit par notre soi-disant gloire française Michel Hazanavicius est un modèle du genre : il est très rare de voir une comédie qui n’arrache que deux ou trois rires. Mais une comédie qui n’accroche AUCUN sourire, jamais, ça tient du prodige. Bravo Michel. Les autres acteurs sont catastrophiques, sauf peut-être François Hadji-Lazaro et évidemment le pauvre Til Schweiger qu’Eric Judor a du entraîner dans cette galère. Certains sont particulièrement nuls, comme Javivi ou Marthe Villalonga (en même temps, en attendait-on beaucoup ?).
N’allons pas plus loin, Les Dalton est une comédie scandaleusement nulle, chère et pathétique. La mise en scène est inexistante, le scénario abruti et les acteurs insupportables. A jeter.
Après le lamentable Double Zéro, le duo se retrouve dans Les Dalton, avec deux autres acolytes qui servent encore moins que leurs contrepoints dans la bande-dessinée. Comme en plus, ils sont joués par Saïd Serrari et le terriblement nul Romain Berger (se concentrer sur lui pendant le film est presque plus drôle que le film en lui-même), c’est absolument insupportable. Le scénario écrit par notre soi-disant gloire française Michel Hazanavicius est un modèle du genre : il est très rare de voir une comédie qui n’arrache que deux ou trois rires. Mais une comédie qui n’accroche AUCUN sourire, jamais, ça tient du prodige. Bravo Michel. Les autres acteurs sont catastrophiques, sauf peut-être François Hadji-Lazaro et évidemment le pauvre Til Schweiger qu’Eric Judor a du entraîner dans cette galère. Certains sont particulièrement nuls, comme Javivi ou Marthe Villalonga (en même temps, en attendait-on beaucoup ?).
N’allons pas plus loin, Les Dalton est une comédie scandaleusement nulle, chère et pathétique. La mise en scène est inexistante, le scénario abruti et les acteurs insupportables. A jeter.
Une belle reconstitution de l'imagerie de la BD (les couleurs impeccables, les costumes, Rantanplan étonnament réussi...) et des 2nds rôles à la pelle (Jean Dujardin, Marthe Villalonga, Michel Muller, Jean Benguigui, Elie Sémoun, Kad Merad...) mais un scénario pas terrible, un Lucky Lucke pitoyable et un duo vedette qui fait plus du Eric et Ramzy que du Dalton (et pourtant Jo et Avrell en BD, c'est quelque chose!). Dommage, il reste un grand film à faire sur l'univers de Lucky Luke!
"Les Dalton" (2004) France 4 le 29.12.2016
Etonnant : le film a enregistré un nombre de spectateurs considérable mais combien de déçus à la sortie ? Car ce film est consternant ! Affligeant ! Une tromperie sur la marchandise ! Heureux que Morris (Maurice de Bevere de son vrai nom : un fidèle du noeud-pap') n'ait pas vu ce navet insipide ! Il est en effet décédé en 2001 sans avoir dû subir cet affligeant spectacle qui frise le, manque de respect à l'auteur ! Que font les héritiers ? Je lis les BD de Lucky Lucke depuis sa création (1946) dans Spirou, (Editions Dupuis) lorsque le dessinateur appartenait à la bande des quatre qui a relancé l'hebdomadaire après la guerre, et je n'ai rien retrouvé de l'humour de l'homme qui tire plus vite que son ombre ! De plus ce ne sont pas les Dalton qu'on voit mais leurs cousins. Les premiers Dalton de Morris étaient sanguinaires et se sont faits tuer à une époque où les publications pour la jeunesse étaient moins strictes (Lucky Luke fumait aussi jadis)... Ca, c'était les premiers Dalton en BD. Conscient d'avoir perdu de tels "faire-valoir" Morris a imaginé leurs successeurs, les cousins des Dalton qui sont ceux qu'on connaît aujourd'hui et plus bêtes que méchants, plus désopilants aussi et éternels ! Faire quatre trous pour s'évader d'une prison, ça ne peut être que l'oeuvre des Dalton ! Les meilleures BD de Morris ont été celles où il avait préféré se consacrer uniquement au dessin, et céder le scénario à divers auteurs. Parmi les meilleurs scénaristes, il y eut ainsi Goscinny, un des meilleurs (avec Raoul Cauvin dans d'autres BD Dupuis, moins médiatique)... Rien n'est conforme dans ce film bâclé, sans finesse, et le casting est à pleurer ! Philippe Haim mérite une bonne ruade de Joly Jumper ! Cette histoire est aussi bête que Rantanplan et Averell réunis : c'est dire !
willycopresto
Etonnant : le film a enregistré un nombre de spectateurs considérable mais combien de déçus à la sortie ? Car ce film est consternant ! Affligeant ! Une tromperie sur la marchandise ! Heureux que Morris (Maurice de Bevere de son vrai nom : un fidèle du noeud-pap') n'ait pas vu ce navet insipide ! Il est en effet décédé en 2001 sans avoir dû subir cet affligeant spectacle qui frise le, manque de respect à l'auteur ! Que font les héritiers ? Je lis les BD de Lucky Lucke depuis sa création (1946) dans Spirou, (Editions Dupuis) lorsque le dessinateur appartenait à la bande des quatre qui a relancé l'hebdomadaire après la guerre, et je n'ai rien retrouvé de l'humour de l'homme qui tire plus vite que son ombre ! De plus ce ne sont pas les Dalton qu'on voit mais leurs cousins. Les premiers Dalton de Morris étaient sanguinaires et se sont faits tuer à une époque où les publications pour la jeunesse étaient moins strictes (Lucky Luke fumait aussi jadis)... Ca, c'était les premiers Dalton en BD. Conscient d'avoir perdu de tels "faire-valoir" Morris a imaginé leurs successeurs, les cousins des Dalton qui sont ceux qu'on connaît aujourd'hui et plus bêtes que méchants, plus désopilants aussi et éternels ! Faire quatre trous pour s'évader d'une prison, ça ne peut être que l'oeuvre des Dalton ! Les meilleures BD de Morris ont été celles où il avait préféré se consacrer uniquement au dessin, et céder le scénario à divers auteurs. Parmi les meilleurs scénaristes, il y eut ainsi Goscinny, un des meilleurs (avec Raoul Cauvin dans d'autres BD Dupuis, moins médiatique)... Rien n'est conforme dans ce film bâclé, sans finesse, et le casting est à pleurer ! Philippe Haim mérite une bonne ruade de Joly Jumper ! Cette histoire est aussi bête que Rantanplan et Averell réunis : c'est dire !
willycopresto
C'est fort de mettre autant de choses dans un film pour quand même donner l'impression qu'il n'y a pas de variations. Les Dalton n'a ni scénario ni inspiration : juste un magma de références à la BD (pas souvent bien pensées) essayant tant mal que mal de créer un rythme, mais qui s'amoncellent en fait dans un enchaînement paniqué qui ne nous laisserait pas le temps d'apprécier les bons côtés s'il y en avait.
Tout y est bouche-trou, car le film EST un trou - celui laissé par une industrie du cinéma qui a tiré quelques centaines de milliers de balles avant de se tirer plus vite que son ombre. Le film a néanmoins le mérite d'être si mauvais que je n'ai pas le sentiment qu'on s'attaque à mon enfance en défigurant ainsi Lucky Luke.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Tout y est bouche-trou, car le film EST un trou - celui laissé par une industrie du cinéma qui a tiré quelques centaines de milliers de balles avant de se tirer plus vite que son ombre. Le film a néanmoins le mérite d'être si mauvais que je n'ai pas le sentiment qu'on s'attaque à mon enfance en défigurant ainsi Lucky Luke.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Les seuls souvenirs que j'ai de ce film ce sont des scènes d'actions débiles et mal faites et Eric Judor avec un sombrero sur la tête et un air encore plus con que d'habitude. Ah et j'ai oublié l'humour à chier et à prendre au quinzième degré (au moins). Difficile de se rappeler d'autre chose quand je pense à ce film, sachant que l'histoire n'en est pas une, que les incohérences du scénario pointent le bout de leur pif à toutes les scènes ou presque et que les acteurs ont un des jeux les plus pourris que j'ai jamais vu. Clairement c'est un film à oublier.
Les adaptations de bandes dessinées sont rarement probantes et le film de Philippe Haïm échoue sur toute la ligne dans sa tentative de faire des fameux Dalton de Morris et Goscinny des héros de cinéma (au détriment, par ailleurs, d'un Lucky Luke relégué à un rôle épisodique).
Sans doute l'idée de confier à Eric et Ramzy les rôles de deux plus éminents frères Dalton, Joe et Averell, n'était pas en soi une mauvaise idée. Sans renier leur style, le duo a mis un bémol à son humour potache de façon à ne pas dénaturer les personnages. En même temps, en tempérant leur nature comique, Eric et Ramzy aseptisent regrettablement leur registre -pour peu qu'on apprécie leur humour habituellement.
D'ailleurs, le film n'est pas drôle, jamais, ni dans la parodie du western ni dans l'impertinence. C'est tellement fade qu'on se représente vite que les personnages et la comédie tout entière sont dédiés à un public très jeune. Le scénario (en gros, les Dalton cherchent à s'emparer d'un sombrero magique qui leur permettrait d'attaquer une banque imprenable) et l'humour se rejoignent dans une même pauvreté. L'aventure convoque toute une floppée de figures entrevues dans les albums de Morris et Goscinny mais aucune d'elles ne séduit dans sa transposition à l'écran.
Cette adaptation ratée plombe également une réalisation indéniablement soignée, avec ses effets visuels astucieux et son esthétisme bariolé devenus vains. Ni l'élégance, ni la virtuosité ne compensent ici la vacuité comique du contenu.
Sans doute l'idée de confier à Eric et Ramzy les rôles de deux plus éminents frères Dalton, Joe et Averell, n'était pas en soi une mauvaise idée. Sans renier leur style, le duo a mis un bémol à son humour potache de façon à ne pas dénaturer les personnages. En même temps, en tempérant leur nature comique, Eric et Ramzy aseptisent regrettablement leur registre -pour peu qu'on apprécie leur humour habituellement.
D'ailleurs, le film n'est pas drôle, jamais, ni dans la parodie du western ni dans l'impertinence. C'est tellement fade qu'on se représente vite que les personnages et la comédie tout entière sont dédiés à un public très jeune. Le scénario (en gros, les Dalton cherchent à s'emparer d'un sombrero magique qui leur permettrait d'attaquer une banque imprenable) et l'humour se rejoignent dans une même pauvreté. L'aventure convoque toute une floppée de figures entrevues dans les albums de Morris et Goscinny mais aucune d'elles ne séduit dans sa transposition à l'écran.
Cette adaptation ratée plombe également une réalisation indéniablement soignée, avec ses effets visuels astucieux et son esthétisme bariolé devenus vains. Ni l'élégance, ni la virtuosité ne compensent ici la vacuité comique du contenu.
Fan d'Eric et Ramzy, je voulais absolument voir cette adaptation qu'ils ont réalisé à leur sauce en compagnie de Haim. Ce qui blasphème la bande dessinée, c'est le caractère kitsch que les scénaristes, les décors et les costumes ont ajoutés à cette adaptation. On est loin de la réalité historique qui prône dans l'oeuvre de Goscinny et de Morris. Comme par exemple, le cinéma apparaît avant même son invention. Les couleurs sont lumineuses, néanmois la photographie est assez correcte et très far-west. Mais de multiples éléments affaiblissent le film : Ici, Rantanplan fait l'objet d'un Jar Jar Binks, c'est à dire que chacune de peu de ses apparitions ( encore heureux ) est totalement idiote, ridicule et voire insupportable. Eric et Ramzy, quant à eux, sont les meilleurs acteurs du lot, même s'il ont joué dans mieux. Les autres acteurs sont très cachés par le duo. J'ai l'impression que les mauvais scénaristes et réalisateurs essaient de toucher le fond dans les blagues qui tombent à l'eau. Ils insistent, et prolongent encore plus en durée la blague, ce qui énerve le spectateur. Vous trouverez de parfaits exemples dans le film ( et dans d'autres d'ailleurs ). Puis les moments où les Dalton ont le visage boursouflé sont totalement inefficaces et inutiles. La meilleure scène reste la banque transformée en discothèque, dansant au rythme de l'accordéon englouti par Ramzy. Je ne peux rien dire de plus sur cette daube évidente.
Ah, les Dalton. Un film qui n'aurait jamais du voir le jour. On comprend aisément que NRJ le considère comme le "meilleur film qui fait rire". Je ne vais pas m'attarder sur la critique d'Eric et Ramzy, qui ne sont bien évidemment pas acteurs, même s'ils ont généralement tendance à faire rire. Mais ici, tout est raté. Le scénario, les plans, les humoristes/acteurs, les jeux de mots...Voilà une belle daube de référence en matière de comédies.
J’avoue préférer les films burlesques déjantés aux pseudos comédies sociales pas drôles qui fleurissent sur les écrans. Voilà pourquoi je fais partie des rares spectateurs à aimer ce film. Visuellement, "les Dalton" est riche (les personnages se déplaçant sur une carte, la photographie et les costumes/maquillages colorés…). Il en est de même pour le son et la musique. Lucky Luke n'a pas ici le rôle principal. Mais selon moi, ses apparitions sont les plus convaincantes à ce jour au cinéma. Sa posture et son flegme sont proches du modèle de papier. Les prestations d'Eric et Ramzy en Joe et Averell Dalton sont également conformes à la BD. Les seconds rôles sont bien trouvés. Marthe Villalonga en Ma Dalton semble directement sortie d’une planche de Morris. Elie Semoun incarne un charlatan et un douanier désopilants. Quant à l’humour régressif, on aime ou pas. J'ai juste été gêné par l'histoire du sombrero magique, éloignée de l’esprit de la BD, et la présence inutile de Dujardin.
film souvent critiquer et moquer mais qui fait des bonne audiance à la tv donc c'est bien qu'il y a une raison . ce film fera sourire ou rire . quelque scène absurde ou qui non pas de rapport avec lucky Luke ce n'est pas un film hilarant mais on passe un bon moment
nanard quand tu nous tiens...
Le cesar du meilleur acteur ex equeo (une première) n'est pas volé, bravo messieurs ! Hâte de voir le prochain
Mon dieu que c'est nul ; c'est pas ce film qui va améliorer l'image du cinéma français car c'est un horrible navet ! L'humour est complètement débile, le casting fait peine à voir et le scénario est à l'image du reste... bref, un film à éviter !
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