Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Aden
par La rédaction
On entre en flamenco comme on entre en religion : chaque coin de salle, chaque bout de mur est le théâtre d'une répétition où des artistes de tous âges font vibrer leurs guitares, leurs cordes vocales, et, sous leurs coups de talons, le plancher qui les porte. (...) Ruissellement de larmes et de lumière mêlées.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par La rédaction
Avec sa petite caméra vidéo, la réalisatrice, fana de flamenco, s'est immiscée dans ce ghetto et a su parfaitement capter ou organiser, dans les cours et dans les rues, des miniconcerts improvisés, où des Gitans de tous âges, à l'exubérance communicative, expriment par la musique ou la danse leur lyrisme archaïque. Olé !
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré ces grosses ficelles, qui tentent d'infinies variations sur le thème de "Ils ont ça dans le sang", Poligono Sur, le film (et peut-être bien le quartier aussi), est le théâtre d'un miracle sans cesse renouvelé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dominique Abel évoque la dégradation croissante des conditions de vie de ces Gitans semblables à la cigale de la fable de La Fontaine. Une plongée vibrante dans la chaleur andalouse.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Jouant de la fiction et du documentaire, Dominique Abel a su se laisser déborder par la vitalité artistique d'une communauté qui, malgré les ravages de la drogue, continue à vivre avec une rare intensité. Un film dur et sublime, comme le pur flamenco.
Télérama
par Jacques Morice
Les aficionados seront ravis : il est rare de voir et d'entendre le flamenco à sa source, ardent, pur. Si la réalisatrice reste un peu floue sur le contexte social et peine à articuler les séquences de son documentaire, elle capte plutôt bien les différents styles de cette musique expressive au lyrisme saccadé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Camille Brun
POLIGONO SUR, SEVILLE COTE SUD intéressera peut-être quelques amateurs éclairés. Mais il laissera certainement tous les autres de marbre. Il faut dire que la réalisatrice se révèle le plus souvent incapable de faire vivre ses personnages, de nous attacher à eux. POLIGONO SUR... passe alors pour une laborieuse succession de numéros musicaux sur lesquels il est difficile de se concentrer et qui en ressortent, par conséquent, très monotones.
Première
par Estelle Ruet
Le ton est léger, le fil narratif fictionnel ténu et l'attachement de la cinéaste pour "ses" personnages sensibles. Un film qui s'écoute plus qu'il ne se regarde.
Aden
On entre en flamenco comme on entre en religion : chaque coin de salle, chaque bout de mur est le théâtre d'une répétition où des artistes de tous âges font vibrer leurs guitares, leurs cordes vocales, et, sous leurs coups de talons, le plancher qui les porte. (...) Ruissellement de larmes et de lumière mêlées.
L'Humanité
Avec sa petite caméra vidéo, la réalisatrice, fana de flamenco, s'est immiscée dans ce ghetto et a su parfaitement capter ou organiser, dans les cours et dans les rues, des miniconcerts improvisés, où des Gitans de tous âges, à l'exubérance communicative, expriment par la musique ou la danse leur lyrisme archaïque. Olé !
Le Monde
Malgré ces grosses ficelles, qui tentent d'infinies variations sur le thème de "Ils ont ça dans le sang", Poligono Sur, le film (et peut-être bien le quartier aussi), est le théâtre d'un miracle sans cesse renouvelé.
Les Inrockuptibles
Dominique Abel évoque la dégradation croissante des conditions de vie de ces Gitans semblables à la cigale de la fable de La Fontaine. Une plongée vibrante dans la chaleur andalouse.
TéléCinéObs
Jouant de la fiction et du documentaire, Dominique Abel a su se laisser déborder par la vitalité artistique d'une communauté qui, malgré les ravages de la drogue, continue à vivre avec une rare intensité. Un film dur et sublime, comme le pur flamenco.
Télérama
Les aficionados seront ravis : il est rare de voir et d'entendre le flamenco à sa source, ardent, pur. Si la réalisatrice reste un peu floue sur le contexte social et peine à articuler les séquences de son documentaire, elle capte plutôt bien les différents styles de cette musique expressive au lyrisme saccadé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
POLIGONO SUR, SEVILLE COTE SUD intéressera peut-être quelques amateurs éclairés. Mais il laissera certainement tous les autres de marbre. Il faut dire que la réalisatrice se révèle le plus souvent incapable de faire vivre ses personnages, de nous attacher à eux. POLIGONO SUR... passe alors pour une laborieuse succession de numéros musicaux sur lesquels il est difficile de se concentrer et qui en ressortent, par conséquent, très monotones.
Première
Le ton est léger, le fil narratif fictionnel ténu et l'attachement de la cinéaste pour "ses" personnages sensibles. Un film qui s'écoute plus qu'il ne se regarde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com