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Un film sur l'euthanasie n'est jamais facile à mettre en scene.
Et bien là, Alejandro AMENABAR (déjà très bon avec "Ouvre les yeux" ou "Les Autres")a réalisé un tour de force. Les dialogues sont très justes (et meme parfois droles), les sentiments (l'impuissance, la revendication, l'amour, la mort...)sont magnifiquement traités.
Javier BARDEM est exceptionnel dans le rôle de Ramon Sampedro et aurait mérité d'avoir plus qu'un Golden globe Award.
A ne pas montrer à ceux qui détestent pas les émotions lacrymales.....
Et bien là, Alejandro AMENABAR (déjà très bon avec "Ouvre les yeux" ou "Les Autres")a réalisé un tour de force. Les dialogues sont très justes (et meme parfois droles), les sentiments (l'impuissance, la revendication, l'amour, la mort...)sont magnifiquement traités.
Javier BARDEM est exceptionnel dans le rôle de Ramon Sampedro et aurait mérité d'avoir plus qu'un Golden globe Award.
A ne pas montrer à ceux qui détestent pas les émotions lacrymales.....
Depuis "ouvre les yeux" 1997, plus de style et de maturité mais la thématique revient : comment vivre son handicap et l'accepter ? L'euthanasie est un sujet sensible, la famille est divisé devant l'acte mais Jamon l'aborde sereinement .
Javier Barden est sublime même diminué, son regard reflète plus de vie qu'un corps en mouvement... c'est un grand acteur... l'image est belle, la musique accompagne et porte toujours les films du réalisateur.
De l'amour, de la simplicité et de la générosité dans chaque comédien. toutes ces manifestations d'amour totalement différentes
La belle est sublime de doute mais le temps la rattrape
Javier Barden est sublime même diminué, son regard reflète plus de vie qu'un corps en mouvement... c'est un grand acteur... l'image est belle, la musique accompagne et porte toujours les films du réalisateur.
De l'amour, de la simplicité et de la générosité dans chaque comédien. toutes ces manifestations d'amour totalement différentes
La belle est sublime de doute mais le temps la rattrape
Mmmm... un film sur l'euthanasie, voilà un film qui respire la joie de vivre!
Heu non, je déconne. Franchement, c'est pas mauvais comme film, et en plus c'est de Amenabar, avec des acteurs géniaux. Mais franchement, c'est méga-lourd comme sujet, je regarderais pas ça tous les jours...
Heu non, je déconne. Franchement, c'est pas mauvais comme film, et en plus c'est de Amenabar, avec des acteurs géniaux. Mais franchement, c'est méga-lourd comme sujet, je regarderais pas ça tous les jours...
L'histoire de cet homme, autour du sujet du droit à mourir, est traitée ici avec intelligence, profondeur, mais aussi avec humour et poésie. C'est un film très émouvant qui laisse une trace longtemps après l'avoir vu. Javier Bardem fait un travail formidable pour restituer le charisme du personnage, sa détermination, et son humour. La mise en scène est sans faille, et je dois dire que je ne comprends pas les critiques négatives que j'ai pu lire. À voir absolument.
Le sujet de l'euthanasie active éminemment bien traité, avec l'histoire de Ramon, servie par des interprétations et une réalisation (A. Amenábar, dont j'ai a-do-ré "Les Autres") qui sonnent très juste. J'ai eu un peu de peine avec les "longueurs" et quelques scènes un peu trop édulcorées à mon goût, mais la conclusion, à la fois touchante et captivante, vaut la peine. La vie... oui, mais à quel prix ?
Comment un personnage réduit à limmobilité peut il nous faire voyager ? Comment un homme souhaitant mourir peut il nous faire aimer la vie ? Cest là toute la magie de la mise en scène dAmenabar, cinéaste qui entre définitivement dans le cours des grands ! Jamais son film ne sombre dans le pathos, mais il reste constamment émouvant. Il faut dire que le personnage de Ramon Sampedro est à lui seul un beau sujet de film. Quant à la polémique déclenchée par léglise catholique autour du propos, elle semble bien rétrograde dorénavant.
Ce film est un tire-larmes. Il est mis en scène de manière à faire pleurer le plus de monde possible, au point que cela en devienne irréaliste.
Tout y est : la naissance du bébé avec les violons derrière, l'avocate qui tombe amoureuse de son héros (un amour impossible évidemment !) et vice versa avec, bien sûr, les gros plans de bisous pour attendrir encore plus le téléspectateur, de la musique douce ultra-présente pour chaque scène émouvante, sans parler des extraits de vie (toujours en musique, sans dialogues) avec sourires, pleurs, moments de blagues.
C'est sûrement efficace, ça fait pleurer beaucoup de gens, mais en tout cas ce n'est pas ce que j'appelle du bon cinéma. Cela ferait un bon téléfilm sur la 6 en début d'après-midi.
Tout y est : la naissance du bébé avec les violons derrière, l'avocate qui tombe amoureuse de son héros (un amour impossible évidemment !) et vice versa avec, bien sûr, les gros plans de bisous pour attendrir encore plus le téléspectateur, de la musique douce ultra-présente pour chaque scène émouvante, sans parler des extraits de vie (toujours en musique, sans dialogues) avec sourires, pleurs, moments de blagues.
C'est sûrement efficace, ça fait pleurer beaucoup de gens, mais en tout cas ce n'est pas ce que j'appelle du bon cinéma. Cela ferait un bon téléfilm sur la 6 en début d'après-midi.
Un drame poignant sur l’euthanasie et les débats qu’elle engendre. ‘’ Mar Adentro ‘’ évoque le combat acharné de Ramón Sampedro (1943-1998), un tétraplégique espagnol, pour son droit à mourir dans la dignité. Tout en retenue, l’homme nous fait voyager dans son esprit tourmenté, découvrir ses rêves, subir ses impuissances, éprouver ses craintes… Javier Bardem joue son rôle à merveille, ne sombrant jamais dans l’excès ou la surinterprétation. Le personnage de Julia, interprété par Belén Rueda, est en revanche plus caricaturale. Finalement, ce qu’il faut retenir, c’est surtout un superbe hommage à la liberté sur fond de Galice. La liberté, même dans ses aspects les plus absolus. Alejandro Amenábar traite de sujets souvent tabous dans ce genre de cas, tel que l’acceptation volontaire et sereine de la disparition ou le rapport à la famille… Alternant pudeur et froideur, ‘’ Mar Adentro ‘’ s’avère être une pépite cinématographique propice à la réflexion. Il serait temps de nous rappeler que Sampedro, loin d’être un cas unique, n’était que le représentant sincère d’une cause aujourd’hui toujours sujette à débat dans de nombreux pays, dont le nôtre. La partie n’est visiblement pas gagnée, loin s’en faut. L’euthanasie dérange parce qu’elle titille la plus grande peur de l’homme. Oui, la mort reste un sujet brûlant…
Que d'émotions ...Magnifique tout simplement !
Amenabar, grâce à ce film, est à coup sûr venu titiller Almodovar dans le rôle de réalisateur phare du pays de Cervantes.
Ouvre les yeux puis plus encore, Les Autres, l'avaient révélé, Mar Adentro, l'a consacré. Si tout le monde n'a pas été pas unanime car il faut reconnaître que ce film est lent par moment, Amenabar a abordé un sujet ultra sensible, le droit au laisser mourir, sans jamais virer au voyeurisme. A aucun moment il ne présente son personnage comme un agonisant, malgré le fait qu'il soit tétraplégique. Au contraire, de tous les protagonistes, il est peut être le plus pétillant, le plus conscient du prix de la vie. Il veut la quitter certes, non pas parce que lui même est malheureux mais par un geste qui se veut éminemment altruiste: délivrer ses proches d'une "tarre" qui les empêche de s'épanouir pleinement.
Ce film partisan est au final presque plus un hymne à la vie qu'une apologie de l'euthanasie...
Ouvre les yeux puis plus encore, Les Autres, l'avaient révélé, Mar Adentro, l'a consacré. Si tout le monde n'a pas été pas unanime car il faut reconnaître que ce film est lent par moment, Amenabar a abordé un sujet ultra sensible, le droit au laisser mourir, sans jamais virer au voyeurisme. A aucun moment il ne présente son personnage comme un agonisant, malgré le fait qu'il soit tétraplégique. Au contraire, de tous les protagonistes, il est peut être le plus pétillant, le plus conscient du prix de la vie. Il veut la quitter certes, non pas parce que lui même est malheureux mais par un geste qui se veut éminemment altruiste: délivrer ses proches d'une "tarre" qui les empêche de s'épanouir pleinement.
Ce film partisan est au final presque plus un hymne à la vie qu'une apologie de l'euthanasie...
Vainqueur de l'oscar 2005 de la meilleure oeuvre étrangère, ce film a amplement mérité son prix !
C'est une véritable ode à la vie que cette histoire nous propose: On pleure, on rit, on s'émeut...Quelle déception cependant de voir que le public français ai eu peur d'un sujet à première vue difficile ! Oui ! Cela parle de l'euthanasie ! Oui ! Il y est question de la volonté de mourir !
Mais tout est fait grâce au réalisateur Aménabar pour qu'au sortir de la salle de cinéma, on ait envie de crier bien fort que la vie est belle !!!
C'est une véritable ode à la vie que cette histoire nous propose: On pleure, on rit, on s'émeut...Quelle déception cependant de voir que le public français ai eu peur d'un sujet à première vue difficile ! Oui ! Cela parle de l'euthanasie ! Oui ! Il y est question de la volonté de mourir !
Mais tout est fait grâce au réalisateur Aménabar pour qu'au sortir de la salle de cinéma, on ait envie de crier bien fort que la vie est belle !!!
Je suis frustré pour deux choses. La première, c'est le sentiment d'avoir déjà vu le meilleur film de l'année. La deuxième chose est la débilité époustouflante de certaines critiques. J'aimerais passer ce message : si certains critiques sont frustrés par l'ascension phénoménale d'un cinéaste hors du commun, ne soyez pas si lâches en écrivant des choses totalement navrantes sur Mar Adentro. L'euthanasie est un thème vaste et le généraliser serait une erreur grave. Amenabar a traité le sujet à sa manière et au lieu de polémiquer sur sa vision de cette pratique, plutôt le brio de la mise en scène et la qualité de l'interprétation. Vous vous attendiez à quoi exactement ? L'euthanasie n'est pas une comédie de Woody Allen, c'est un thème sérieux et évidemment TIRE-LARMES. J'espère cependant qu'une version spéciale sortira pour vous les critiques dans laquelle Bardem dansera avec bonne humeur sur du Madonna.
Mar Adentro est un film exceptionnel : déchirant, essentiel et beau. A bon entendeur, salut.
Mar Adentro est un film exceptionnel : déchirant, essentiel et beau. A bon entendeur, salut.
Magnifique personnage que ce ramon et magnifique acteur que javier bardem.
Les autres ne sont pas en reste non plus et participent aussi amplement à ce chef d'oeuvre.
Le film fait rire, pleurer ( la salle était en pleurs ! ) mais fait aussi reflechir. Sans visée didactique, le film ne prend pas le spectateur pour une cible à convaincre mais le laisse s'interroger sur une des questions les plus délicates de notre société actuelle.
Un Excellent film qui mérite largement son oscar. Bravo Monsieur Amenabar.
Les autres ne sont pas en reste non plus et participent aussi amplement à ce chef d'oeuvre.
Le film fait rire, pleurer ( la salle était en pleurs ! ) mais fait aussi reflechir. Sans visée didactique, le film ne prend pas le spectateur pour une cible à convaincre mais le laisse s'interroger sur une des questions les plus délicates de notre société actuelle.
Un Excellent film qui mérite largement son oscar. Bravo Monsieur Amenabar.
Personne n'aurait aimé être à la place de Ramon SAMPEDRO... si on avait pris compassion ! Car non vraiment, on ne s'y attache à aucun moment. La partie semble d'ailleurs perdue d'avance puisque AMENABAR prend parti tout en ridiculisant la partie adverse...
Personne ne voudrait être paraplégique mais bon; de là à ne pas ressentir de la peine... !
Personne ne voudrait être paraplégique mais bon; de là à ne pas ressentir de la peine... !
Heureusement qu'il y a quelques moments d'humour dans ce film, sinon l'atmosphère y serait irréspirable. Un quasi huis clos superbement interprèté, d'une actualité brulante, d'où on ressort non seulement bouleversé, mais avec même des convictions, quant à savoir ce que soit même on ferait en de telles circonstances. Un Oscar ? certainement ! du moins c'est ce que j'espère, les "choristes", que j'ai adoré, n'a pas la profondeur de ce film.
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