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2022 notes
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Votre avis sur Mar adentro ?
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Je l'avais raté à sa sortie, tout gonflé de mes préjugés c'est aujourd'hui chose réparée...
Le nouveau film d'Alejandro Amenabar est magnifique, bouleversant...
Un très grand mélodrame bouleversant et subtil porté par des acteurs tous sublimes !
Une oeuvre merveilleusement écrite et mise en scène par un jeune cinéaste qui pour la première fois, m'a totalement conquis... J'en sors... et je manque de mots...
Le nouveau film d'Alejandro Amenabar est magnifique, bouleversant...
Un très grand mélodrame bouleversant et subtil porté par des acteurs tous sublimes !
Une oeuvre merveilleusement écrite et mise en scène par un jeune cinéaste qui pour la première fois, m'a totalement conquis... J'en sors... et je manque de mots...
Alejandro Amenàbar confirme avec Mar Adentro son immense talent de mise en image et de direction d'acteurs. Javier Bardem dans le role de Ramon Sampedro est ahurissant. L'acteur est capable de passer du sourire aux larmes en une fraction de secondes et par son regard invite le spectateur vers une issue que l'on sait fatale...Bardem, méconnaissable après ses cinq heures de maquillages quotidiennes, est la raison de ce film. Amenàbar ne traite pas seulement le sujet de l'euthanasie mais s'attarde sur les réactions de ses proches quant à sa décision irrévocable, sur les affronts entre autre, légales et religieuses auxquelles se heurte Sampedro. Personnage principal cloué au lit oblige, le réalisateur accumule les effets, parfois un peu lourds pour certains, afin d'accentuer la reflexion, ses échappées fantasmatiques, ses doutes, sa determination. La séquence de "vol" est entre autre magistrale. Des scènes dramatique de forte intensité mais également d'une grande violence comme cette scène de flashback évoquant le drame accidentel et bien sur la scène d'agonie. Mar adentro traite certes de l'euthanasie et risque de relancer certains débats toujours d'actualité, mais Amenàbar de donne pas d'avis sur le sujet; juste un exemple parmis d'autres. C'est le seul point sur lequel pèche le film, à savoir pourquoi réaliser un tel film pour garder un avis neutre ? Toujours est-il que Mar Adentro est un superbe film dramatique à la réalisation magistrale et à l'interprétation sublime.
Suite à un accident, Ramon Sampedro vit depuis 28 ans sans pouvoir pouvoir bouger, tétraplégique, il n'a plus qu'une idée en tête, mourir pour vivre ...
En lisant le roman de cet homme, Alendandro Amenabar a décidé de raconté la vie de Ramon, une vision de la vie et de la mort retranscrite a l'écran avec beaucoup de justesse. Javier Bardem incarne un être au service des autres, ne pouvant rien faire si ce n'est attendre sa mort. Ces proche consacrant leur existence a la sienne, refusant l'amour, comment pouvoir vivre un amour vu son état ?
Très touchant, le film repose essentiellement sur l'émotion et les conviction, sur la liberté de choisir son futur, sur la propriété de son corps. Javier Bardem est épatant, méconnaissable, parlant peu mise à part avec son regard, un regard triste, fixant une fenêtre qui lui permet de pouvoir s'évader, de penser et rêver. Sa performance est magnifique, son rôle est sublime, son lien avec les personne touchante, sa passion avec Julia joué par Belen Rueda rempli d'espoir.
Mais la force de ce drame n'est pas uniquement dû a la maladie mais aussi la manière dont Ramon Sampedro la vécu et que Alejandro Amenabar a su entreprendre pour nous la montré car bien que déchirant, c'est avec beaucoup d'humour que l'ont suis l'approche de l'euthanasie, problème difficile et vieux dans les moeurs.
Mar adentro est plus qu'un film, c'est le film d'une vie d'un homme enfermé dans son corps, à la merci des autres magnifiquement filmé par Alejandro Amenabar qui signe ici sont plus touchant long métrage et justement récompensé en 2004 pour l'oscar du meilleur film étranger, une des multitude autres récompense. Une très belle histoire pour un très beau film qui nous touche profondément sans jamais tombé dans le larmoyant, le but n'est pas là, la vie Ramon Sampedro et la caméra du cinéaste espagnol suffit largement pour convaincre. une sublime histoire qui marque part sa beauté et son courage.
En lisant le roman de cet homme, Alendandro Amenabar a décidé de raconté la vie de Ramon, une vision de la vie et de la mort retranscrite a l'écran avec beaucoup de justesse. Javier Bardem incarne un être au service des autres, ne pouvant rien faire si ce n'est attendre sa mort. Ces proche consacrant leur existence a la sienne, refusant l'amour, comment pouvoir vivre un amour vu son état ?
Très touchant, le film repose essentiellement sur l'émotion et les conviction, sur la liberté de choisir son futur, sur la propriété de son corps. Javier Bardem est épatant, méconnaissable, parlant peu mise à part avec son regard, un regard triste, fixant une fenêtre qui lui permet de pouvoir s'évader, de penser et rêver. Sa performance est magnifique, son rôle est sublime, son lien avec les personne touchante, sa passion avec Julia joué par Belen Rueda rempli d'espoir.
Mais la force de ce drame n'est pas uniquement dû a la maladie mais aussi la manière dont Ramon Sampedro la vécu et que Alejandro Amenabar a su entreprendre pour nous la montré car bien que déchirant, c'est avec beaucoup d'humour que l'ont suis l'approche de l'euthanasie, problème difficile et vieux dans les moeurs.
Mar adentro est plus qu'un film, c'est le film d'une vie d'un homme enfermé dans son corps, à la merci des autres magnifiquement filmé par Alejandro Amenabar qui signe ici sont plus touchant long métrage et justement récompensé en 2004 pour l'oscar du meilleur film étranger, une des multitude autres récompense. Une très belle histoire pour un très beau film qui nous touche profondément sans jamais tombé dans le larmoyant, le but n'est pas là, la vie Ramon Sampedro et la caméra du cinéaste espagnol suffit largement pour convaincre. une sublime histoire qui marque part sa beauté et son courage.
Le combat d'un tétraplégique pour mourir dans la dignité et non pas comme un criminel.Une oeuvre lente, poetique, peut-être parfois un peu larmoyante mais qui sonne juste.
Après le chef d'oeuvre monumental Les Autres, Alejandro Amenabar change de registre pour passer du fantastique au drame polémique, politique et philosophique. Tout d'abord, Mar adentro est tiré d'une histoire vraie, à savoir celle de Ramon Sampedro, qui a profondément marqué la société espagnole et le réalisateur pour son combat en faveur de l'euthanasie. On peut donc hiérarchiser Mar adentro sur deux points bien distincts. Premièrement, le film risque de plaire énormément à ceux dont l'engagement est ici explicitement souligné. Et de l'autre, la consternation d'aller à contre sens d'un avis personnel. Ou tout simplement le fait que le film n'a aucune nuance. Peut-on dès lors parler d'un film facile, borné ? Cela serait radical de le penser. Que l'on soit pour ou contre, Amenabar pose le problème. Et bien qu'il soit clairement décidé, qui empêcherait autrui d'en penser le contraire ? Il n'est donc pas au réalisateur de faire toute la démarche intellectuelle, mais aussi à son spectateur d'y réfléchir par soi. Ce qui n'est pas un mal dans un contexte social qui se veut de plus en plus consommateur. Mais c'est aussi un débat philosophique où Javier Bardem en est l'objet. Son interprétation est magistrale, jamais larmoyante et outrancière. La problématique émerge donc d'une situation précise. Il faut la voir comme telle : l'euthanasie s'adresse ici à un homme physiquement inapte. Mais rien ne nous empêche d'aller plus loin. L'euthanasie s'adresse t-elle exclusivement aux personnes physiquement inaptes ou à l'ensemble d'une population ? Le suicide, une question encore tabou, se cachée implicitement dans ce film par la maladie physique. Et non d'un problème existentiel. Mais l'idée commence à atteindre les moeurs. Un débat prend forme, c'est un début. Mar adentro y contribu. On pourra bien sûr lui reprocher son manque de subtilité à poser la question sans y afficher d'ambiguïté. Mais serait-elle encore accessible au même public ? Non, c'est évident.
donniedarko1
Encore une fois alejandro amenabar, génie incontestable du cinéma espagnol, pose la trame de son film sur la question de la mort, un de ses sujets de prédilection, comme il l'avait déjà fait dans ses précédents films "tesis, abre los ojos et les autres". Mar adentro s'affirme comme étant un film suptile, dérangeant, émouvant. Accompagné d'une magnifique musique signée par alejandro amenabar lui-meme et de la préstation de javier bardem le film se voit plus pércutant. ne manquez pas d'aller voir ce chef-d'oeuvre...
Un drame biographique sur l'euthanasie, ici, traité avec enthousiasme et beaucoup de tendresse. Les propos chocs font éclats. Belén Rueda est superbe et tellement pris dans le rôle qu'elle finit par "kidnapper" l'attention. Dommage que l'on reste en huis clos sans pouvoir, vraiment, prendre l'ampleur des concitoyens espagnols sur le sujet à l'époque. Dans le, presque, même registre que "le scaphandre et le papillon" ou "You don't know Jack" sans en avoir l'intensité. 3.5/5 à voir !!!
Mar Adentro d'Alejandro Amenabar est un très beau film dramatique, d'une très belle justesse, jamais larmoyant mais pourtant très touchant. Magnifique histoire, très bon jeux d'acteurs : Belén Rueda (L'Orphelinat) et Javier Bardem entre autres !
Production espagnole ayant obtenu un succès mondial, « mar adentro » avait de nombreux pièges à éviter. Il n’était pas facile de s’attaquer à l’histoire de ce condamné à mort qui a lutté toute sa maladie pour obtenir le droit d’euthanasie. Une histoire qu’il parait d’abord curieux de voir confiée à Alejandro Amenabar, plus habitué aux univers fantastiques (« the others »). Mais pourtant, le long métrage est une réussite remplie de qualités. Amenabar a choisit intelligemment de ne pas se limiter au débat éthique ( d’ailleurs finalement presque sous développé !) pour lequel le héros combat, il a aussi décidé de montrer le quotidien de cet homme paralysé, malade, malheureux, mais qui trouvera encore de nombreuses richesses au contact des autres. Ce personnage est terriblement attachant, et marque irrésistiblement les esprits. Javier Bardem est exceptionnel, bien au-delà de ce qui pouvait ressembler à une « performance à oscar ». Il s’agit sans hésiter de l’un des grands acteurs de sa génération. Amenabar n’a pas non plus oublié d’où il venait et propose quelques superbes envolées lyriques qui offrent au film une dimension supplémentaire. La photographie offre quelques images superbes, la bande son remplit son rôle aux bons endroits. Presque rien à redire, donc, de ce « Mar Adentro » qui plaira autant au grand public qu’aux cinéphiles !
Mar Adentro est un très beau film qui a l'époque a permit au débat sur l'euthanasie d'être relancé, sujet sensible toujours d'actualité.
Mais quel film magnifique. Les dialogues sont superbes. Le film ne tombe jamais dans le pathos.
Javier Bardem : grandiose.
Mais quel film magnifique. Les dialogues sont superbes. Le film ne tombe jamais dans le pathos.
Javier Bardem : grandiose.
JeremGar
un film abordant le sujet de l'euthanasie. Un tétraplégique se bat pour avoir le droit de mourir. Un film simple rempli d'émotions! Un film qui vous donne cette joie de vivre...et un mot d'ordre: Profiter! à voir!
D'habitude je n'aime pas les films qui prenent un sujet d'actualités (ici l'euthanasie) et pour faire les chaumières, le comble! Mais ce film est sublime, Amenabar est un géni, le géni du rêve (thème récurrant après "Abre los ojos" et son remke, et "les Autres"). Javier Bardem est très bon, il réussit à nous faire rire aux moments les plus triste... j'ai vraiment été étonné d'apprécier ce film, moi, qui n'aime pas les films larmoyants, et pour cause, sur le même thème, je n'ai pas aimé Million Dolar Baby! La Galice est très bien filmée, ainsi que les actrices toutes très belles, et interressantes.
Film très émouvant, attractif par le sens de ses propos, du scénario et la cause principale de l'euthanasie.
"Bouleversant" est le 1er mot qui me vient à l'esprit après avoir vu ce film. Sur un sujet complexe qu'est le suicide assisté, ce film est d'une simplicité, d'une beauté et d'une émotion rare. Les personnages sont superbes (les acteurs aussi), des scènes sublimes (l'envol par la fenêtre par exemple), marrantes pour certains dialogues. J'ai eu les larmes aux yeux une dizaine de fois sans pour autant que le film tombe dans une émotion, un sensiblerie inutile.
Une magnifique histoire.
Une magnifique histoire.
Si vous hésitez encore à aller voir "Mar adentro" parce qu'on vous a dit que c'est l'histoire d'un homme paralysé qui veut mourir, si vous craignez que le sujet soit pesant et vous mine le moral pour longtemps, ne vous laissez pas détourner d'un film admirable car c'est le contraire qui se produira. On pleure beaucoup plus d'émotion que de tristesse bien que le film ne soit pas ce qu'on appelle vulgairement "lacrymal", c'est une émotion surnaturelle que l'on ressent car ce film n'a pas comme sujet central l'euthanasie mais c'est avant tout une admirable histoire d'amour, celui que ne se sent pas le droit d'éprouver le héros, celui de tous les membres de sa famille, un amour réel mais remis en cause avec mépris par le prêtre, l'amour de l'avocate, Julia, qui ressent aussi dans sa chair la morsure d'une maladie dégénérative (symbole du temps inexorable, les presses sur lesquelles le livre est imprimé, qui doit sceller leur destin), celui de Rosa, la plus innocente, la plus pure, simple ouvrière et saisie d'une compassion plus forte que sa peur. Le personnage qui devrait être desespéré, celui qui veut mourir, est celui qui donne de la force aux autres, par son humour, son auto-dérision, un homme qui ne ménage pas les sentiments de ceux qui l'aiment mais qui révéle en eux le meilleur. Le réalisateur n'oublie pas au passage d'égratigner les institutions judiciaires et dans une scène tragi-comique le représentant de l'Eglise particulièrement maladroit. Tous les personnages qui entourent le héros sont poignants et criants de vérité. La mer qui a causé sa perte mais qu'il veut garder "à l'intérieur" et dans laquelle il voudrait retourner sera le décor de la dernière scène du film qui n'inspire aucun effroi mais un immense sentiment de sérénité. "Je ne pense pas au passé, je pense à l'avenir" dit le héros en parlant de la mort. Il pense qu'il n'y a rien de "l'autre côté" mais, pour Rosa, promet quand même de lui faire un signe, "au cas où".
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