Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Benjamin Esdraffo
Le film gagne ainsi la mise sur un registre aussi étroit que stagnant, en contournant les pièges et en venant, comme sur la pointe des pieds, ne chuchoter rien d'autre que l'histoire d'une jeune femme découvrant l'amour qu'elle ressent pour son père.
Le Monde
par Florence Colombani
Pas un instant, dans ces moments volés, qui ne sonne juste. Pas un dialogue qui paraisse répété. Pas une péripétie qui semble artificielle. Ortega est dans un rapport vrai, sincère à ses personnages, et il réussit à le transmettre au spectateur. (...) De cette "boîte noire" du titre, le film nous fait sortir à petits pas, sans en avoir l'air. Avec une grande générosité, il ramène, en fin de compte, ses personnages au monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Petit bijou argentin, qui tire sa force de son minimalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Sa réalisation est sobre, sans voyeurisme et avec peu de dialogues. Les silences n'ont rien d'angoissant et sont ressentis comme des moments de vie entre deux êtres que le public partagera avec les comédiens, (...). Un premier film, certes, mais déjà de l'originalité et du talent.
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par Nicolas Schaller
Pour peu que vous appréciez les films où rien n'importe plus que les silences, vous serez comblé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Au-delà des maladresses du film, ce climat de douceur et de douleur mêlées laisse un souvenir tenace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Donald James
Loin de témoigner de la richesse cinématographique du pays, souvent saluée dans ces pages, le film fait du pied à ses petits camarades (...) mais manque considérablement d'une mise au point tant de l'image que du sujet, pourtant lui aussi propice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Zurban
par Mathieu Dupont
Tendre, ce premier film d'un réalisateur de 23 ans visiblement fâché avec les mots se limite à de jolies intentions et, à force de vouloir rendre le silence éloquent, vide de propos. Si touchants que soient les personnages, "castés" sauvagement, on eût aimé qu'ils servent davantage qu'à remplir le cadre.
Cahiers du Cinéma
Le film gagne ainsi la mise sur un registre aussi étroit que stagnant, en contournant les pièges et en venant, comme sur la pointe des pieds, ne chuchoter rien d'autre que l'histoire d'une jeune femme découvrant l'amour qu'elle ressent pour son père.
Le Monde
Pas un instant, dans ces moments volés, qui ne sonne juste. Pas un dialogue qui paraisse répété. Pas une péripétie qui semble artificielle. Ortega est dans un rapport vrai, sincère à ses personnages, et il réussit à le transmettre au spectateur. (...) De cette "boîte noire" du titre, le film nous fait sortir à petits pas, sans en avoir l'air. Avec une grande générosité, il ramène, en fin de compte, ses personnages au monde.
Les Inrockuptibles
Petit bijou argentin, qui tire sa force de son minimalisme.
MCinéma.com
Sa réalisation est sobre, sans voyeurisme et avec peu de dialogues. Les silences n'ont rien d'angoissant et sont ressentis comme des moments de vie entre deux êtres que le public partagera avec les comédiens, (...). Un premier film, certes, mais déjà de l'originalité et du talent.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Pour peu que vous appréciez les films où rien n'importe plus que les silences, vous serez comblé.
Télérama
Au-delà des maladresses du film, ce climat de douceur et de douleur mêlées laisse un souvenir tenace.
Libération
Loin de témoigner de la richesse cinématographique du pays, souvent saluée dans ces pages, le film fait du pied à ses petits camarades (...) mais manque considérablement d'une mise au point tant de l'image que du sujet, pourtant lui aussi propice.
Zurban
Tendre, ce premier film d'un réalisateur de 23 ans visiblement fâché avec les mots se limite à de jolies intentions et, à force de vouloir rendre le silence éloquent, vide de propos. Si touchants que soient les personnages, "castés" sauvagement, on eût aimé qu'ils servent davantage qu'à remplir le cadre.