AlloCiné
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Votre avis sur Hair High ?
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Toutes les notes
Après "Les mutants de l'espace", Bill Plympton nous balance une nouvelle oeuvre complètement déjantée.
On y retrouve son style graphique si particulier et son humour parfois graveleux, parfois absurde, parfois provocateur. Assurément un film d'animation qui sort du lot, original et bourré de bonnes idées. Ça ne plaira pas à tout le monde mais mérite largement le coup d'oeil.
On y retrouve son style graphique si particulier et son humour parfois graveleux, parfois absurde, parfois provocateur. Assurément un film d'animation qui sort du lot, original et bourré de bonnes idées. Ça ne plaira pas à tout le monde mais mérite largement le coup d'oeil.
Un joli conte ambiance fifties porté par une bande son qui va bien. Les dessins montrent l'essentiel, certaines scènes loufoques donnent un ton comique qui accompagne très bien l'ensemble. Je ne comprends pas les mauvaises critiques. A voir pour ce faire une opinion, de toute façon c'est court.
Plympton s'attaque à l'univers du teen-movie. Ca part progressivement en vrille pour finir par du n'importe quoi total, avec cet humour déglingué cher à Plympton.
Un petit bijou que ce film d'animation de Bill Plympton. Les dessins sont géniaux – parfois poétiques, parfois terrifiants mais toujours d'une créativité exceptionnelle. Quant au scénario, qui s'amuse à nous faire revivre des histoires souvent vues dans les teenage movies, il est juste d'une drôlerie sans égal. Jouissif de la première à la dernière minute.
AMCHI
Voir un film de Plympton c'est assurément tomber dans un délire trash de mauvais goût et pas toujours prenant mais avec Hair High on peut dire qu'il a fabriqué un excellent film d'animation. Un bon délire animé avec un humour particuliers, un auteur qui a son univers propre auquel je n'ai pas toujours attaché mais avec Hair High cela a de suite scotché ; une histoire d'amour déjantée, pas mal de moments assez succulents.
Le cinéma de Bill Plympton, c'est un monde à part. Un monde où il fait presque tout : le scénario, les dessins, la réalisation, la production... Il va même jusqu'à vendre ses DVD lui-même dans les festivals de cinéma (comme au festival de San Sebastián 2013). Bref, c'est le roi le l'animation indé US autoproduite, artiste limité financièrement, mais totalement libre sur un plan artistique. Plympton creuse son sillon dans un registre d'animation artisanale, loin des évolutions numériques, et surtout dans un registre imaginaire qui n'appartient qu'à lui, délirant, trash, gore, sexuel, exprimé dans un style exubérant et outrancier, toujours surprenant, souvent très drôle, mais aussi parfois très lassant... Lassant sur la durée d'un long-métrage, comme dans L'Impitoyable Lune de miel ou Les Mutants de l'espace, alors que le format court convient certainement mieux à son inspiration détonante et corrosive. Mais ce Hair High constitue une bonne surprise : avec un scénario plus structuré, une intrigue centrale suivie jusqu'au bout, Plympton évite de partir complètement en vrille et de lâcher le spectateur en cours de route. L'univers référentiel donne par ailleurs quelques repères, puisque le réalisateur croque ici, à sa façon, l'Amérique des fifties, une certaine mythologie US (chronique lycéenne, belles bagnoles, héros sportif, love story, scène de bal...), avec toutes sortes de clins d'oeil aux cinéphiles (La Fureur de vivre, Grease, Carrie...). Il y a enfin suffisamment de variété dans le récit et dans le rythme pour éviter que le film ne s'essouffle trop. Hair High est ainsi, probablement, le long-métrage d'animation le plus "accessible" de Plympton, le moins jusqu'au-boutiste dans le délire, le plus "lisible", le plus "regardable". Ce qui ne signifie pas que le cinéaste se soit assagi. Heureusement. On se délecte toujours de scènes invraisemblables : un prof qui crache ses poumons, un ado-poulet terriblement en rut, un couple de squelettes qui reprend vie au fond des eaux (quelque part entre La Nuit du chasseur et les farces macabres de Tim Burton)... Toute cette folie est aussi déconcertante que réjouissante.
Un des petits bijoux du cultissime Bill Plympton. Des gags en pagaille, des musiques franchement géniales, entre poésie et mauvais gout assumé. Le seul digne héritier de Ralph Bakshi et Picha. Poilade assurée...Toute sa filmo est excellente...Les bonus DVD sont très très bons... Que du bonheur.......
GLOBAL JAZZALIST sur ton moteur de recherche
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J'ai vu ce film 2 fois: la première fois sans savoir de quoi il en retournait, et je fus ébloui par tant d'originalité, de personnages délirants et aussi d'émotion. La seconde fois j'espérais revivre la meme chose mais j'ai compris que le réalisateur pompait toutes ses idées sur le dessinateur francais Topor (fini l'originalité) et aussi j'étais moins naif face aux histoires d'amour. Néanmoins, ca reste un merveilleux film dont le souvenir est impérissable. Regardez le!
Premier mot qui me vient pour qualifier ce dessin animé ?
"bizarre"
Second mot qui me vient.. ?
"marrant"
En vérité, j'ai bien failli renoncer au visionnage, les mouches de la première scène me tapant sur le système immédiatement.
Pourtant, ayant lu les critiques concernant ce DA, je n'ai pu me résoudre à un tel acte... et j'ai bien fait.
Car c'est là très bon divertissement, complètement -et ce mot est revenu souvent- fou, exprimant de manières détournées certaines choses ou réalités (la scène où la mascotte pond des oeufs avec la balle à la main, moyen détourner d'expliquer qu'au final, Spud s'est dépassé, s'est donné à 200% pour réussir ce qu'on lui a demandé [je ne vais pas gâcher votre plaisir en vous détaillant plus...], mais qu'au final, ça n'est qu'un étudiant, pas un joueur de foot américain ;) Une autre scène avant ça, où Spud et ses camarades remettent les organes dans le corps de Mr Snerz, est un autre moyen de montrer que les élèves [enfin surtout spud] lui ont/a sauvé la vie ! )
Enfin bon, après le sentiment de 'bizarrerie' lié au film, vient le comique.
Car ce DA est indéniablement très drôle, et joyeux :D Tout est un peu tiré par les cheveux, mais c'est un réel plaisir que de passer une petite heure et des poussières devant de divertissement.
Encore faut-il passer la phase "accroche".
En cela, je n'accorde pas la note maximale, car il y a certaines longueurs pénibles, et je n'apprécie définitivement pas le début du film.
Autrement, un bon moment à passer :D
"bizarre"
Second mot qui me vient.. ?
"marrant"
En vérité, j'ai bien failli renoncer au visionnage, les mouches de la première scène me tapant sur le système immédiatement.
Pourtant, ayant lu les critiques concernant ce DA, je n'ai pu me résoudre à un tel acte... et j'ai bien fait.
Car c'est là très bon divertissement, complètement -et ce mot est revenu souvent- fou, exprimant de manières détournées certaines choses ou réalités (la scène où la mascotte pond des oeufs avec la balle à la main, moyen détourner d'expliquer qu'au final, Spud s'est dépassé, s'est donné à 200% pour réussir ce qu'on lui a demandé [je ne vais pas gâcher votre plaisir en vous détaillant plus...], mais qu'au final, ça n'est qu'un étudiant, pas un joueur de foot américain ;) Une autre scène avant ça, où Spud et ses camarades remettent les organes dans le corps de Mr Snerz, est un autre moyen de montrer que les élèves [enfin surtout spud] lui ont/a sauvé la vie ! )
Enfin bon, après le sentiment de 'bizarrerie' lié au film, vient le comique.
Car ce DA est indéniablement très drôle, et joyeux :D Tout est un peu tiré par les cheveux, mais c'est un réel plaisir que de passer une petite heure et des poussières devant de divertissement.
Encore faut-il passer la phase "accroche".
En cela, je n'accorde pas la note maximale, car il y a certaines longueurs pénibles, et je n'apprécie définitivement pas le début du film.
Autrement, un bon moment à passer :D
Dessin dégu***lasse, humour douteux dialogues parfois vulgaire vraiment je ne sais pas vraiment à qui est destiné cette .....
Un film d'animation indé, délicieusement trash et bien déjanté du talentueux cartooniste Bill Plympton. Un univers complétement fou où plane l'ombre du réalisateur culte John Waters, et un dessin atypique qui peut éventuellement rebuter, mais qui va comme un gant à ce ton totalement impertinent. C'est drôle, gore, surréaliste et totalement jouissif. Un monument de l'animation indé.
Univers déjanté pour une histoire amoureuse qui ne l'est pas moins. Bill Plympton arrive, une fois de plus, à faire rire et à se délecter des aventures des personnages. Quelle imagination !
gimliamideselfes
Me souvenant d'un excellent dessin animé de science fiction complètement con s'appelant les mutants de l'espace, je décide de voir ce que le réalisateur a bien pu faire d'autres. Je lance donc ce Hair High sans autre attente que de voir quelque chose d'immensément con, gore, avec un peu de cul… Un truc bien quoi… Et c'est exactement ça, et bien plus encore. J'aime ce genre de trucs complètement barré, sans concession, débile à souhait, sans limite, dans laquelle le fait que ça soit un dessin animé est vraiment utile, dur d'imaginer ça en film live par exemple. C'est juste génial. Des idées il y en a plein à revendre. Il faut que j'en vois d'autres.
Mais c'est assez brillant, il faut le dire.
Mais c'est assez brillant, il faut le dire.
🎬 RENGER 📼
Bill Plympton récidive dans ce qu'il sait faire de mieux, après plusieurs courts-métrages, il revient avec son cinquième long-métrage après notamment L'Impitoyable Lune de miel (1997) et juste avant Des idiots et des anges (2009). Toujours aussi trash et irrévérencieux, cette fois-ci, son film à un arrière goût "seventies" avec des références notamment à la série télévisée Happy Days (1974/1984) ou encore le film Grease (1978). Le scénario brillant nous entraîne dans un lycée américain typique avec ses clichés à foison (entre le quaterback beau-gosse et la fille la plus populaire), ajoutez à cela un loser pathétique, bref des personnages hauts en couleur et une explosion d'images gore sur fond d'une B.O en adéquation avec le film, que demander de plus ?
Sylvain P
Des points forts : Un film d'animation pour adulte, des dessins de bonne facture. Des points faibles: un humour salace et pas excitant, une animation trop hachée et une absence de rythme soporifique.
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