Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
En étoffant son habituel fil conducteur, Plympton entre dans la catégorie des grands réalisateurs de dessins animés pour adulte, en glissant sous l'épiderme du gore et de la déconne un dicours subversif qui ne se limite plus aux (bidonnantes) saynètes qu'il racontait jusque là.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Mélant mythologie fifties à son sens de la provoc cultivée, Plympton propose en même temps un "musical" [...] un manifeste "maverick" et une fable autobiographique.
Chronic'art.com
par Jean-Luc Douin
Bill Plympton snobe l'ordinateur et continue à faire ses croquis sur sa table lumineuse, à la main, selon l'ancienne technique des calques superposés au décor.[...] Cantonné jusqu'ici dans l'imagerie incongrue et la sexualité débridée, le surréalisme congénital de Bill Plympton se souvient alors de l'amour fou prôné par André Breton et des songes sous-marins de L'Atalante. [...] Hair High fait exploser dans toutes les directions un feu d'artifice d'idées plus ou moins trash.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Elisabeth Quin
A la croisée d'American Graffiti, de Carrie et du Retour des Morts-Vivants, ce film mal élevé devait enfin porter Plympton à la place qu'il mérite aux côtés des grands de l'animation mondiale.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par La rédaction
Avec ses traits aspirés par des bouches d'aération invisibles et ses couleurs tranchées, Hair High est un film à deux cents battements par minute, un souffle dans une Amérique d'illusions, d'Happy Days sur sièges en moleskine.
Mad Movies
par Julien Dupuy
Narrativement plus rigoureux que ses précédentes oeuvres, plastiquement d'une cohérence sans faille et nanti de personnages réellement consistants, Hair High a quelque chose de la maturité. Une hausse qualitative d'autant plus bienvenue, qu'elle ne rogne en rien sur la spontanéité de l'animation du bonhomme.On savait ses caricatures capables de choquer, de fasciner, de faire rire et d'étonner, mais on ignorait encore qu'elle étaient capables d'émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Une parodie de Grease les tripes à l'air et les squelettes en goguette par Bill Plympton, le plus délirant cartooniste de tous les temps. Attention, dessin animé à teneur hautement corrosive.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Guillemette Olivier
Un conte capillaire où les garçons jouent à qui aura la plus longue (banane) et les filles, la choucroute la plus vertigineuse. Hair high offrira aux profanes un accès plus doux au monde absurde et gore de Bill, mais les accros y trouveront leur compte
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Narrativement et formellement plus tenu que les oeuvres précédentes du cinéaste, le film monte en épingle les rapports psychologiques, exagère graphiquement les situations. Plympton ou le dernier cinéaste d'animation subversif.
Ouest France
par La rédaction
Bill Plympton, le trublion du dessin animé américain, monte une charge au vitriol contre tous les clichés et mythes de la civilisation teenager. Hardi, rude et salace, ça décoiffe.
Positif
par Yann Tobin
Plympton navigue ici entre l'hyper-référence et la soif d'originalité : le résultat est jubilatoire, à défaut d'être parfait.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Mélange probant de cinéma art et essai et de cinéma populaire, Hair High s'engouffre dans la bréche de l'animation japonaise et ouvre au résistant Plympton des perspectives gigatesques. Saura-t-il (voudra-t-il?) en profiter ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Anthony Wong
Avec Hair High, Plympton parvient à prendre en main son récit et y pose ses gags hallucinés [...] avec un bel équilibre. [...] Un cartoon beau et trash.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Olivier Pélisson
Un imaginaire débridé et un humour trash transcendés par un graphisme aux lignes exagérément expressives. Mais derrière ces créatures se cachent des êtres prêts à se noyer ensemble par amour... savoureux.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Sorte de Carrie version Haispray trash, cul et gore, provoque une euphorie durable et devrait amuser les néophytes auxquels on conseille volontiers de découvrir les précédentes oeuvres du monsieur. En l'état, malgré un épilogue inutilement étiré, Plympton (plus féroce et déjanté que jamais) signe par ailleurs une oeuvre personnelle dans laquelle il passe en revue toutes ses références ciné (De Palma, Svankmajer, Waters, nommément cités).
Brazil
En étoffant son habituel fil conducteur, Plympton entre dans la catégorie des grands réalisateurs de dessins animés pour adulte, en glissant sous l'épiderme du gore et de la déconne un dicours subversif qui ne se limite plus aux (bidonnantes) saynètes qu'il racontait jusque là.
Cahiers du Cinéma
Mélant mythologie fifties à son sens de la provoc cultivée, Plympton propose en même temps un "musical" [...] un manifeste "maverick" et une fable autobiographique.
Chronic'art.com
Bill Plympton snobe l'ordinateur et continue à faire ses croquis sur sa table lumineuse, à la main, selon l'ancienne technique des calques superposés au décor.[...] Cantonné jusqu'ici dans l'imagerie incongrue et la sexualité débridée, le surréalisme congénital de Bill Plympton se souvient alors de l'amour fou prôné par André Breton et des songes sous-marins de L'Atalante. [...] Hair High fait exploser dans toutes les directions un feu d'artifice d'idées plus ou moins trash.
Elle
A la croisée d'American Graffiti, de Carrie et du Retour des Morts-Vivants, ce film mal élevé devait enfin porter Plympton à la place qu'il mérite aux côtés des grands de l'animation mondiale.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Avec ses traits aspirés par des bouches d'aération invisibles et ses couleurs tranchées, Hair High est un film à deux cents battements par minute, un souffle dans une Amérique d'illusions, d'Happy Days sur sièges en moleskine.
Mad Movies
Narrativement plus rigoureux que ses précédentes oeuvres, plastiquement d'une cohérence sans faille et nanti de personnages réellement consistants, Hair High a quelque chose de la maturité. Une hausse qualitative d'autant plus bienvenue, qu'elle ne rogne en rien sur la spontanéité de l'animation du bonhomme.On savait ses caricatures capables de choquer, de fasciner, de faire rire et d'étonner, mais on ignorait encore qu'elle étaient capables d'émouvoir.
Rolling Stone
Une parodie de Grease les tripes à l'air et les squelettes en goguette par Bill Plympton, le plus délirant cartooniste de tous les temps. Attention, dessin animé à teneur hautement corrosive.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un conte capillaire où les garçons jouent à qui aura la plus longue (banane) et les filles, la choucroute la plus vertigineuse. Hair high offrira aux profanes un accès plus doux au monde absurde et gore de Bill, mais les accros y trouveront leur compte
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Narrativement et formellement plus tenu que les oeuvres précédentes du cinéaste, le film monte en épingle les rapports psychologiques, exagère graphiquement les situations. Plympton ou le dernier cinéaste d'animation subversif.
Ouest France
Bill Plympton, le trublion du dessin animé américain, monte une charge au vitriol contre tous les clichés et mythes de la civilisation teenager. Hardi, rude et salace, ça décoiffe.
Positif
Plympton navigue ici entre l'hyper-référence et la soif d'originalité : le résultat est jubilatoire, à défaut d'être parfait.
Première
Mélange probant de cinéma art et essai et de cinéma populaire, Hair High s'engouffre dans la bréche de l'animation japonaise et ouvre au résistant Plympton des perspectives gigatesques. Saura-t-il (voudra-t-il?) en profiter ?
Score
Avec Hair High, Plympton parvient à prendre en main son récit et y pose ses gags hallucinés [...] avec un bel équilibre. [...] Un cartoon beau et trash.
Zurban
Un imaginaire débridé et un humour trash transcendés par un graphisme aux lignes exagérément expressives. Mais derrière ces créatures se cachent des êtres prêts à se noyer ensemble par amour... savoureux.
aVoir-aLire.com
Sorte de Carrie version Haispray trash, cul et gore, provoque une euphorie durable et devrait amuser les néophytes auxquels on conseille volontiers de découvrir les précédentes oeuvres du monsieur. En l'état, malgré un épilogue inutilement étiré, Plympton (plus féroce et déjanté que jamais) signe par ailleurs une oeuvre personnelle dans laquelle il passe en revue toutes ses références ciné (De Palma, Svankmajer, Waters, nommément cités).