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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 août 2007
Excellent polar avec Delon dans le milieu de la mafia. Une histoire de vengeance incroyable et beaucoup de vioence. C'est un très bon rôle pour Alain Delon.
"Big Guns" bénéficie certes d’un scénario assez convenu mais relativement bien exploité. Alain Delon incarne un tueur du Milieu dont les employeurs refusent le départ. A la suite d’une bavure, sa femme et son fils sont tués. Il décide alors de prendre les armes pour accomplir sa vengeance. On note de belles scènes de courses-poursuites en voitures, des gun-fights globalement bien gérés, et une réalisation pleine d’austérité qui convient bien au cadre du film. Alain Delon est très bon comme à son habitude, quant à Richard Conte (Le Parrain), il est admirable dans l’un de ses derniers rôles avant sa disparition en 1975. C’est donc un très bon polar auquel nous convie Duccio Tessari, on regrettera seulement la scène finale, un peu trop abrupte…
Unne histoire de vengeance qui n'est pas assez bien exploitée, à cause d'un jeu d'acteurs peu convaincant. Quelques séquences d'action valent le détour, telles que les poursuites en voiture et les fusillades. Reste aussi une fin assez surprenante.
Alain Delon,toujours égal à lui-même nous nous livrait une de ses premières interprètation de vengeur impitoyable,sujet qui deviendra ensuite récurent dans la filmographie du comédien.Ce film demeure un divertissement de qualité de par l'omniprésence du suspence et des scènes d'actions efficaces.A noter, une fin surprenante.
Tony Arzenta/Big Guns ne brille ni par l'originalité de son scenario, loin de là, ni par sa narration où l'on devine toute péripétie à l'avance (la fuite de la prostituée, la trahison du maffieux italo-hollandais...). La première partie laisse même présager le pire tant Delon marche au ralenti avec deux mimiques par foulée et n’interagit qu'avec des comédiens filmés de dos. Mais l'ambiance lourde, la violence brute et mastoc des scènes criminelles ainsi que la photo verdâtre permettent vite d'adhérer à ce féroce film de gangsters. Notons le clin d’œil, pour ne pas dire plus, à Orange Mécanique sorti un an plus tôt, lors de la scène de torture de Carla Gravina via le choix des couleurs et les plans en contre-plongée.