Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
D'une légérté qui confine à l'éther, mais celle des meilleurs comédies blax, où la dérision permanente n'empéchaient jamais l'épanouissement des sentiments. Suave, tout simplement suave.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Ouest France
par La rédaction
Quand le décor est planté, c'est ensuite un pur délire entraîné, ça va de soi, par une bande-son épatante. Entre la satire et l'hommage, un double regard sur les pratiques en cours à travers le monde agité des arts. Avec l'évident constat que la musique n'adoucit pas forcément les moeurs.
Paris Match
par Alain Spira
Rocambolesque à souhait, ce fil dialogué au lance-roquettes ne se prend pas au sérieux, mais envoie ses gags avec une précison de joueur de la NBA. Et si les acteurs se livrent à une réjouissante séance de cabotinage artistique, c'est pour mieux nous servir cette comédie "coolement" réussie.
Première
par Nicolas Schaller
Tous ces énergumènes qui rêvent dêtre ce qu'ils ne sont pas ressemblent au film, jeu de massacre jouissif du système au sein d'un film calibré jusqu'à l'os. Si tous les films de studio étaient aussi cool, ce serait trop cool...
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Un polar drolatique avec une galerie de gangsters déjantés.[...] Si on jubile [...] c'est devant l'ahurissante galerie de gangsters déjantés, crétins et bousilleurs imaginés par Elmore Leonard. On ne sait pas lequel est le plus tordu. Lâchés en liberté dans cette intrigue qui n'existe que par et pour eux, tous ces cabotins en pleine forme sont - en VO, du moins - ébouriffants de présence et de drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Clairement déconnant, Be cool souffre pourtant d'une abondance de retournements de situation qui finissent par nuire à la fluidité du récit (...) Mais ne boudons pas notre légitime plaisir : ouvertement superficiel, Be cool s'assume et offre deux heures de divertissement " old school " plutôt réussi.
Mad Movies
par Cyrille Giraud
Sans grand rapport avec l'univers du romancier Elmore Leonard, Be cool se veut néamoins drôle. Une caractéristique qu'il assure parfois [...] Dégraissé d'une vingtaine de minutes palabres, Be Cool n'aurait certes pas décroché l'Oscar, mais aurait gagné en rythme, en punch.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Score
par Miguelito
Par "cool", comprendre cette "nonchalence féline" qui caractérise John Travolta. [...] The Rock livre une intérprétation originale au milieu de cette faune qui cabotine sans complexe. Pas très original, mais voilà, c'est cool, c'est bling-bling, bim-boum et sans danger.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cinéastes
par Sara Ri
F. Gary Gray vient de la télévision ce qui explique en partie cette absence totale de point de vue qui crée un trou noir (à la place de l'oeil) où s'engouffrent les rares éléments positifs du film (quelques bons acteurs dont Vince Vaughn) pour ne laisser —selon une loi propre à la physique— que le néant absolu.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Be cool manquant totalement de personnalité, et donc de style, tout apparaît incroyablement laid voire vulgaire, et ennuyeux. Et il ne faudrait pas compter sur l'immonde BO pour arranger les choses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bayon
L'action pulp-fictionesque est si abrutie, le dialogue si platement vulgaire, comme l'ensemble du prétexte show-biz ou du casting, le film en somme, ambitionné arnaque énorme, est un tel avorton que le blason de Travolta lui-même, après le honteux Piège de feu, en sort piqué.
TéléCinéObs
par François Forrestier
Cette histoire un peu mince devient un exercice de bavardage : les personnages parlent, parlent, parlent. [...] L'idée est plaisante, le fim interminable. Causer n'est pas jouer.
Zurban
par Yasmine Youssi
La parodie, le 28éme degré c'est bien joli. Encore faut-il avoir un certain talent pour ciseler l'ensemble. Ce qui n'est pas toujours donné au réalisateur à gros sabots de cette comédie inégale, bourrée de clins d'oeil appuyés à Tarantino
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
On tourne en rond et les quiproquos n'amusent plus, ils ennuient. A la manière de deux professeurs de la Star Académie, Travolta et Thurman s'effacent totalement pour contempler leur produit, Christina Milian, monter sur scène ou bien enregistrer sa première vidéo.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Rolling Stone
D'une légérté qui confine à l'éther, mais celle des meilleurs comédies blax, où la dérision permanente n'empéchaient jamais l'épanouissement des sentiments. Suave, tout simplement suave.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
Quand le décor est planté, c'est ensuite un pur délire entraîné, ça va de soi, par une bande-son épatante. Entre la satire et l'hommage, un double regard sur les pratiques en cours à travers le monde agité des arts. Avec l'évident constat que la musique n'adoucit pas forcément les moeurs.
Paris Match
Rocambolesque à souhait, ce fil dialogué au lance-roquettes ne se prend pas au sérieux, mais envoie ses gags avec une précison de joueur de la NBA. Et si les acteurs se livrent à une réjouissante séance de cabotinage artistique, c'est pour mieux nous servir cette comédie "coolement" réussie.
Première
Tous ces énergumènes qui rêvent dêtre ce qu'ils ne sont pas ressemblent au film, jeu de massacre jouissif du système au sein d'un film calibré jusqu'à l'os. Si tous les films de studio étaient aussi cool, ce serait trop cool...
Télérama
Un polar drolatique avec une galerie de gangsters déjantés.[...] Si on jubile [...] c'est devant l'ahurissante galerie de gangsters déjantés, crétins et bousilleurs imaginés par Elmore Leonard. On ne sait pas lequel est le plus tordu. Lâchés en liberté dans cette intrigue qui n'existe que par et pour eux, tous ces cabotins en pleine forme sont - en VO, du moins - ébouriffants de présence et de drôlerie.
L'Express
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MCinéma.com
Clairement déconnant, Be cool souffre pourtant d'une abondance de retournements de situation qui finissent par nuire à la fluidité du récit (...) Mais ne boudons pas notre légitime plaisir : ouvertement superficiel, Be cool s'assume et offre deux heures de divertissement " old school " plutôt réussi.
Mad Movies
Sans grand rapport avec l'univers du romancier Elmore Leonard, Be cool se veut néamoins drôle. Une caractéristique qu'il assure parfois [...] Dégraissé d'une vingtaine de minutes palabres, Be Cool n'aurait certes pas décroché l'Oscar, mais aurait gagné en rythme, en punch.
Score
Par "cool", comprendre cette "nonchalence féline" qui caractérise John Travolta. [...] The Rock livre une intérprétation originale au milieu de cette faune qui cabotine sans complexe. Pas très original, mais voilà, c'est cool, c'est bling-bling, bim-boum et sans danger.
Cinéastes
F. Gary Gray vient de la télévision ce qui explique en partie cette absence totale de point de vue qui crée un trou noir (à la place de l'oeil) où s'engouffrent les rares éléments positifs du film (quelques bons acteurs dont Vince Vaughn) pour ne laisser —selon une loi propre à la physique— que le néant absolu.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Be cool manquant totalement de personnalité, et donc de style, tout apparaît incroyablement laid voire vulgaire, et ennuyeux. Et il ne faudrait pas compter sur l'immonde BO pour arranger les choses.
Libération
L'action pulp-fictionesque est si abrutie, le dialogue si platement vulgaire, comme l'ensemble du prétexte show-biz ou du casting, le film en somme, ambitionné arnaque énorme, est un tel avorton que le blason de Travolta lui-même, après le honteux Piège de feu, en sort piqué.
TéléCinéObs
Cette histoire un peu mince devient un exercice de bavardage : les personnages parlent, parlent, parlent. [...] L'idée est plaisante, le fim interminable. Causer n'est pas jouer.
Zurban
La parodie, le 28éme degré c'est bien joli. Encore faut-il avoir un certain talent pour ciseler l'ensemble. Ce qui n'est pas toujours donné au réalisateur à gros sabots de cette comédie inégale, bourrée de clins d'oeil appuyés à Tarantino
aVoir-aLire.com
On tourne en rond et les quiproquos n'amusent plus, ils ennuient. A la manière de deux professeurs de la Star Académie, Travolta et Thurman s'effacent totalement pour contempler leur produit, Christina Milian, monter sur scène ou bien enregistrer sa première vidéo.