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Votre avis sur Jeux d'adultes ?
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Pakula avec "Jeux d'adultes" semble arrivé avec une saison de retard face à la vague de thrillers qui avaient innondée les salles durant l'année 91
("Fenêtre sur Pacifique", "La main sur le berçeau", etc...). Le public, lassé, a par conséquent boudé le film qui est sortie dans le quasi annonymat (chose étonnante suite à l'immense succès de "Présumé innocent" son film précédant). Il est vrai qu'on aurait pu espérer mieux de la part d'un réalisateur qui sait mener le spectateur en bateau jusqu'à la fin de ses films. Le défaut vient surtout du début du film qui a du mal a entrer dans le vif du sujet, heureusement Pakula se rattrape avec une fin brillante.
("Fenêtre sur Pacifique", "La main sur le berçeau", etc...). Le public, lassé, a par conséquent boudé le film qui est sortie dans le quasi annonymat (chose étonnante suite à l'immense succès de "Présumé innocent" son film précédant). Il est vrai qu'on aurait pu espérer mieux de la part d'un réalisateur qui sait mener le spectateur en bateau jusqu'à la fin de ses films. Le défaut vient surtout du début du film qui a du mal a entrer dans le vif du sujet, heureusement Pakula se rattrape avec une fin brillante.
Polar rafraîchissant & plutôt fatal: ici le coupable clame son innocence - comme tous diront les cyniques - jusqu'au dénouement, tandis que le film se déroule selon la logique du genre (rare mais)assez original...
Scénario ultra-basique des années 90 post "Liaison Fatale" où un couple propre sur lui rencontre un autre couple beaucoup plus déshinibé. La proposition d'échangisme vaguement sulfureuse est grotesque et faux-cul. Tout est expédié à la va vite, sans conviction. Les scènes s'enchaînent à vitesse grand V sans se donner de mal à tenter de créer le moindre suspens. C'est d'autant plus dommage que le réalisateur sait très bien ficeler ce genre de films typiquement hollywoodien.
AMCHI
Jeux d'adultes a une intrigue assez classique mais très efficace, on se prend au jeu et on se demande comment va s'en sortir Kevin Kline. Du suspense solide et de qualité.
Redzing
Là on est vraiment dans le thriller typiquement 90’s. Un couple propret vit tranquillement dans une banlieue toute mignonne. Un jour, un voisin débridé et sa jolie femme débarquent, et se lient d’amitié avec nos héros. Le voisin fait une proposition olé-olé au gentil mari, ce qui va évidemment faire déraper les choses.
Twists à la limite du grotesque, tordu qui cache son jeu, une pointe d’érotisme (une courte scène), et un protagoniste pris au piège. Les producteurs et le public raffolaient de ce genre de machinations à l’époque, qui ont aujourd’hui un côté vintage sympatoche en ce qui me concerne.
Ceci dit, « Consenting Adults » n’est pas dans le haut du panier du genre, loin de là. Ca met un peu de temps à se mettre en route, il faut attendre presque le tiers du film pour que la tension démarre vraiment. Et une fois que l’intrigue policière embraye, tout parait gros. Les principaux rebondissements sont prévisibles, et il y a quelques couleuvres à avaler pour que le récit puisse avancer dans le sens des scénaristes.
spoiler: Et que dire du final : sachant que la police n’a pas regardé l’affaire de près, comment va-t-elle gober l’histoire de nos héros ?
Côté acteurs, Kevin Kline est plutôt convaincant en mari plan-plan qui se retrouve titillé puis acculé. Son personnage est en outre assez sombre, un aspect plutôt intéressant mais finalement peu développé par le scénario.
spoiler: On parle tout de même d’un type qui accepte de violer la femme de son voisin alors qu’elle dort ! Et puis il exécute de sang froid le médecin complice dans le dernier acte.
Mary Elizabeth Mastrantonio apporte du charisme à l’ouvrage, cependant son rôle demeure limité. Quant à Kevin Spacey, même en début de carrière au cinéma il était très à l’aise pour incarner les méchants. Mais là, il en fait un peu trop. Entre ses cheveux blonds (!), sa peau très bronzée, son étrange maquillage, et surtout son jeu outrancier, j’ai eu du mal à la prendre au sérieux.
Le résultat est donc moyen, mais si vous appréciez le genre et que vous n’êtes pas trop exigeant, ça se laisse regarder sans déplaisir.
Twists à la limite du grotesque, tordu qui cache son jeu, une pointe d’érotisme (une courte scène), et un protagoniste pris au piège. Les producteurs et le public raffolaient de ce genre de machinations à l’époque, qui ont aujourd’hui un côté vintage sympatoche en ce qui me concerne.
Ceci dit, « Consenting Adults » n’est pas dans le haut du panier du genre, loin de là. Ca met un peu de temps à se mettre en route, il faut attendre presque le tiers du film pour que la tension démarre vraiment. Et une fois que l’intrigue policière embraye, tout parait gros. Les principaux rebondissements sont prévisibles, et il y a quelques couleuvres à avaler pour que le récit puisse avancer dans le sens des scénaristes.
spoiler: Et que dire du final : sachant que la police n’a pas regardé l’affaire de près, comment va-t-elle gober l’histoire de nos héros ?
Côté acteurs, Kevin Kline est plutôt convaincant en mari plan-plan qui se retrouve titillé puis acculé. Son personnage est en outre assez sombre, un aspect plutôt intéressant mais finalement peu développé par le scénario.
spoiler: On parle tout de même d’un type qui accepte de violer la femme de son voisin alors qu’elle dort ! Et puis il exécute de sang froid le médecin complice dans le dernier acte.
Mary Elizabeth Mastrantonio apporte du charisme à l’ouvrage, cependant son rôle demeure limité. Quant à Kevin Spacey, même en début de carrière au cinéma il était très à l’aise pour incarner les méchants. Mais là, il en fait un peu trop. Entre ses cheveux blonds (!), sa peau très bronzée, son étrange maquillage, et surtout son jeu outrancier, j’ai eu du mal à la prendre au sérieux.
Le résultat est donc moyen, mais si vous appréciez le genre et que vous n’êtes pas trop exigeant, ça se laisse regarder sans déplaisir.
Le charisme et le talent immense de Kevin Kline rendent ce petit thriller sur fond d'adultère totalement efficace et bourré de suspens
Injustement méconnu et descendu par la critique à l'époque, Jeux d'adultes, par le réalisateur de Le choix de Sophie et Les Hommes du présidents, doit être redécouvert..
Injustement méconnu et descendu par la critique à l'époque, Jeux d'adultes, par le réalisateur de Le choix de Sophie et Les Hommes du présidents, doit être redécouvert..
j'adore ces thrillers ou tout démarre par un fait assez innocent (quoique..) et part en live très rapidement embourbant le héros dans une spirale dont on se demande comment il s'en sortira. C'est le cas de "jeux d'adultes" du grand Alan J Pakula ("les hommes du président", "l'affaire Pelican", "présumé innocent") et son intrigue assez machiavélique. De plus le casting sert le film avec brio de Kevin Cline à Kevin Spacey en passant par Forrest Whitaker (mais dans un second rôle). 4 / 5
ManoCornuta
On a connu Alan J. Pakula plus inspiré en matière de thriller: venant après Présumé Innocent, ce Jeux d'Adultes pâtit de voir son parfum de soufre plutôt vite éventé, le piège s'emballant à vitesse grand V autour du pauvre Kevin Kline (impeccable comme souvent) confronté à un Kevin Spacey encore peu connu mais qui s'exprime déjà dans un registre qui lui va comme un gant. Les effets de mise en scène sont trop académiques et les enchaînements trop téléphonés, sans compter le scénario qui semblait ouvrir vers des voies intéressantes pour ne pas les utiliser au moment de la résolution. Un peu dommage eu égard aux acteurs de ce film qui avaient de quoi donner.
Shawn777
Ce film, réalisé par Alan J. Pakula et sorti en 1992, n'est pas mal du tout ! C'est l'histoire de deux couples, voisins, qui entament une rapide et vive amitié. Mais très vite, cette amitié va devenir malsaine. Je conseille par ailleurs de ne pas regarder de bande annonce, pour les spectateurs n'ayant pas encore vu le film bien évidemment, car elle dévoile bien trop d'éléments de l'intrigue. N'ayant vu aucune image du film avant de me lancer, j'ai donc été assez surpris quant à la tournure que prenaient les évènements. Nous avons une légère montée en tension, semblable à tout autre thriller, et puis d'un coup, le film bascule dans tout autre chose. Les années quatre-vingt dix, c'est l'âge d'or de ce genre de thrillers américains semi-érotiques et c'est toujours un plaisir pour moi d'en découvrir un nouveau, étant friand de ce genre. Celui-là, passé plutôt inaperçu, ne restera pas dans les mémoires car il est un peu trop simpliste sur les bords et possède surtout beaucoup de trop de facilités narratives et de raccourcis. Ainsi le dénouement, sans en être spécialement prévisible pour autant, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et est un peu décevant, surtout par rapport au reste du film, très bien écrit. En ce qui concerne les acteurs, nous avons l'excellent Kevin Spacey qui arrive à effrayer grâce à un simple regard, Kevin Kline, Mary Elizabeth Mastrantonio, Forest Whitaker et Rebecca Miller qui jouent très bien. "Jeux d'adultes" n'est donc pas un film très marquant mais devant lequel nous passerons en tout cas un bon moment !
Caine78
Au fond, soyons honnêtes : ce thriller n'est pas si désagréable que cela, d'autant que la mise en scène de Pakula sait se faire plutôt efficace, à défaut d'être vraiment subtile... Mais tout de même! Difficile d'être surpris ou un tant soit peu emballé devant un suspense en général bien prévisible, le développement de l'intrigue l'étant tout autant (si ce n'est plus.) Alors c'est vrai que l'on ne s'ennuie pas vraiment, mais plus le temps avance, et plus les ficelles se font de plus en plus grossières, les rebondissements de moins en moins cohérents. Et même des acteurs aimés ne réussiront pas à changer la donne, d'autant plus que ces derniers sont loin de leur meilleur niveau. En somme, pas de film honteux, mais déjà vu cent fois sans avoir été vu... Dispensable donc.
Un couple ensemble depuis 14 ans habitant une banlieue pavillonnaire se lie d’amitié avec un autre, récemment emménagé à coté. Amitié, partages ludiques, confidences et entraides entre les deux hommes, se transforment vite en apprentissage du premier par le second du décomplexe, du piment du risque au détriment de la bienséance castratrice, de la liberté de ses pulsions, somme toute très naturelles, qui les conduisent à imaginer un échangisme provisoire avec leurs épouses. Séduction, manipulation, jeu pervers de la redevance d’un côté, se disputent alors avec mutation intime, franchise de vivre et joie assumée de l’autre, et annonce d’abord un film sympa, philosophique et craquant de perversité. Et puis une seconde partie transforme soudain le tout en un thriller bateau et médiocre, truffé d’absurdités comportementales et d’incohérences scénaristiques qui nous tombent dessus comme un mauvais orage.
Incompréhensible. A croire qu’on a affaire à deux réalisateurs distincts pour un seul film complètement inégal. La première partie, qui malheureusement ne dure que 40’, est un sujet suggestif, habile psychologiquement, à l’identification facile, et aux questions essentielles en préparation. Et soudain, pendant 1h, on nous inflige un thriller de seconde zone bien moralisateur à l’américaine aux enchainements grossiers et aux conclusions juste ridicules. Gros pschitt bien long donc.
Incompréhensible. A croire qu’on a affaire à deux réalisateurs distincts pour un seul film complètement inégal. La première partie, qui malheureusement ne dure que 40’, est un sujet suggestif, habile psychologiquement, à l’identification facile, et aux questions essentielles en préparation. Et soudain, pendant 1h, on nous inflige un thriller de seconde zone bien moralisateur à l’américaine aux enchainements grossiers et aux conclusions juste ridicules. Gros pschitt bien long donc.
Jeux d'adultes est à la fois improbable et inimaginable. Il est peu probable que de bons acteurs signent un scénario aussi peu plausible. Peut-être que ni Kline ni Spacey n'ont pas lu le scénario avant d'accepter de faire ce film. Cela semble être l'explication la plus plausible. À un moment donné on pourrait imaginer que quelqu'un aurait demandé au réalisateur pourquoi le public devrait s'inquiéter du sort du prétendu du protagoniste. Il s'agit d'un homme qui est accusé du meurtre de sa voisine alors qu'il n'était coupable que du viol de celle-ci je dois également noter qu'il s'était également arrangé pour faire violer sa propre femme par le mari de sa victime mais cet homme le prétendu antagoniste n'a pas donné suite. Au lieu de cela il a tué la femme que le personnage de Kline avait agressée et a entrepris de le faire accuser. Les femmes dans ce film sont aussi insipides que les hommes sont vils. La femme du personnage piégé finit par lui pardonner lorsqu'il est innocenté du meurtre sans tenir compte du fait qu'il s'était faufilé chez leur voisin au milieu de la nuit pour avoir des relations sexuelles avec une autre femme sans son consentement. Elle ne semble pas non plus se soucier du fait qu'il l'avait proposé pour le même traitement...
Un Pakula de fin de carrière, réalisation molle pour un scénario lamentable. Kevin Kline est mono expressif, lautre Kevin roule des yeux sous sa chevelure peroxydée, on attend pendant une bonne partie du film quils se roulent des pelles tant les rôles féminins sont accessoires. Quils sont loin « les hommes du président ».
Un film au suspence insoutenable avec rebondissement.La fin est elle heureuse a vous de voir et pour cela il faut le voir .Cela m´as fait penser á Hitchcoch et au film noir des années 50.Hommage au 2 kevin et á mary elisabeth et rebecca miller en beautée fatale ainsi qu´á la centaine de personnes ayant permis la realisation de ce film
Tout s'annonce bien au début puis, au fur et à mesure que le temps passe, je me rends compte que je m'ennuie au possible. Je me force à terminer le film, juste pour la forme. J'ai été déçu, et particulièrement par la fin. Un manque de surprise certain. Un film beaucoup trop plat à mon goût. Pour ma part, je déconseille.
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