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NeoLain
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3,0
Publiée le 4 octobre 2010
La fureur du dragon sous la réalisation de Bruce Lee lui-même, ne brille pas par son scénario, un scénario assez lourd et bien neuneu, par contre comme d'habitude dès que Bruce Lee commence son show à écraser ses adversaires, là c'est tout simplement une tuerie. Maniement des nunchaku et bâton, puis La fureur du dragon restera dans le registre à jamais pour le duel cultissime entre Bruce et Chuck Norris sept fois champion du monde de karaté, tout cela au Colisée de Rome, une démonstration de ce qui c'est fait de mieux en matière d'art martiaux, puis on retrouve encore l'actrice Nora Miao toujours aussi craquante et croquante, qui je le rappelle à jouer dans à quatre reprise avec Bruce, elle est en quelque sorte sa muse.
Suite à l’énorme succès du nanar Big Boss, qui avait pourtant mis le kung-fu et Bruce Lee sur le devant de la scène, ce dernier se lança dans sa première réalisation avec La Fureur du Dragon. L’histoire est mieux écrite cette fois. Bruce Lee, alias Tang Lung le Dragon, est appelé par un aubergiste chinois pour sauver son restaurant assailli par un promoteur qui veut l’obliger à vendre. L’action se situe à Rome en Italie et les méchants sont d’une mafia bien particulière. En effet, au lieu de jouer les deals aux armes à feu, c’est le kung-fu qui fera la différence. Le film force involontairement sur la caricature, aussi bien dans les personnages, que dans les dialogues ou décors. Le spectateur le sait déjà et ne vient que pour Bruce et ses combats. Le film va aussi nous faire découvrir Chuck Norris à ses débuts, qui se prendra bien entendu une raclée, mais pourra tout de même démontrer son talent. La Fureur du Dragon vaut pour ses comédiens et son style décalé et sa mauvaise dramaturgie est devenue culte. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Première réalisation de Bruce Lee (le seul, je crois) et premier coup de maitre d'un artiste hors pair des arts martiaux!!! Ce film, cela fait trés longtemps que je ne l'avais pas vu, depuis les années 80 ou la chaine "Cinq", remplacé par Arte aujourd'hui, passait tout les Bruce Lee au grand bonheur des fans en boucle, souvenirs d'enfance. "La fureur du dragon" allie action et humour dans cette belle ville de Rome ou le héros est envoyé de Hong Kong à la rescousse des salariés d'un restaurant Chinois sympathique harcelé par un gang d'un mafieux qui veut vendre à tout prix le commerce. Combats, Kung-Fu, Nunshaku, fléchettes, tout les ingrédients pour faire un excellent film d'action dirigé par le maitre Bruce Lee sont en oeuvres. Une réalisation moderne trés bien filmé, produit par Raymond Chow, avec un duel final entre Bruce Lee et Chuck Norris dans une arène qui est un pur moment de délice. Dommage qu'il soit partit trop tot le maitre, dans sa courte carrière, il a révolutionné le cinéma Asiatique dans le monde et aurait eu une longue filmographie mémorable, c'est triste. Ce film est culte!!!!
La Fureur du Dragon est un film plutôt plaisant de la filmographie de Bruce Lee (qui ici, en plus d'être l'acteur principal, est également le réalisateur du film). Dans une style assez classique des films de l'acteur, le film emploie une recette qui marche plutôt bien. L'intrigue est un peu faiblarde mais ce n'est pas forcément ce que l'on va chercher à retenir du film. Les cascades de l'acteur (aussi kitsch qu'elles peuvent paraître aujourd'hui du fait des mimiques de l'acteur et des bruitages de coup particulièrement exagérés) sont assez divertissantes à l'écran. Le combat final face à Chuck Norris (dont la notoriété acquise des années plus tard le rend culte) marche plutôt bien. Un film qui peu séduire les amoureux de ce style de film très atypique que ce sont les films de kung-fu des années 70-80.
Sans rien enlever au talent de Bruce Lee en arts martiaux et en mise en scène des combats, on hésite souvent entre plusieurs émotions. C'est à la fois hyper cliché, grotesque par certains aspects, dramatiques à d'autres moments. Les personnage sont très clichés, dans un camp comme dans l'autre, et Bruce Lee pousse la naïveté de son personnage à l'extrême. Tandis que la version originale bénéficiait de sons naturels, les versions internationales souffrent du doublage habituel des années 70 en matière de bagarre. A l'inverse, la mise en scène des combats et leur chorégraphie est détaillée; on sait que Bruce Lee détaillait jusqu'à 20 pages ses scènes de combat pour les décrire absolument, la preuve est là.
Tout comme La fureur de vaincre, La fureur du Dragon est l'un des plus grands films d'arts martiaux mettant en vedette Bruce Lee. Dirigé par le maître lui-même, le film s'oriente davantage vers la comédie, ce qui ne l'empêchera tout de même pas de proposer des séquences de combat d'un très bon niveau, en particulier le final, dans laquel Bruce Lee affronte nul autre que Chuck Norris en personne ! Bien que le scénario reste léger, comme bon nombre de métrage de ce type, il n'en reste pas moins un classique, prouvant une nouvelle fois que Bruce Lee reste le maître.
Bonne réalisation de Bruce Lee, il y a de l’humour dans le scénario, un puissant combattant d’art martiaux, souple et rapide, on ne s’ennuie pas de sa prestation face à son adversaire américain Chuck Norris, de la révélation surprise à l’effet sidérant et le vainqueur intemporel.
Première réalisation de Bruce Lee, ce film nous raconte l'histoire d'un Hong-kongais qui débarque à Rome afin de porter mains fortes à une amie afin de l'aider à garder son restaurant convoitisé par un mafioso sans scrupule.
Le film n'ira donc pas par quatre chemins: petite naissance d'idylle entre les deux personnages, carte postale de Rome, une touche d'humour et de la castagne, souvent proche d'un Bud Spencer et Terence Hill par moment. Le bottage de cul étant souvent plus présent que la boxe chinoise.
La mafia, très caricaturale avec ses "grands tout secs moustachus", ses blacks à la Village People et leur chef armé homosexuel avec son foulard rose, fera cependant appel à une future légende pour affronter le grand Bruce: starring...CHUCK NORRIS!
Nous nous rappellerons donc de ce combat dans le Colisée où Chuck donnera une rouste au maître avant de se faire casser en deux.
En conclusions, un bon film de style des années 70 qui parmi les meilleurs de Bruce Lee nous présente le Chuck!
Ben, comme d'hab, c'est du Bruce Lee, pas grand chose à attendre du scénario, mais c'est déjà mieux que les précédents ! Et pour une première réalisation, c'est du bon ! Le combat avec Chuck Norris est particulièrement bien réussi.
Film mythique, idole de ma jeunesse, Bruce Lee concrétise avec ce film tout son savoir-faire. Clairement pour moi son meilleur film, l'ambiance italienne, beaucoup moins sombre, change radicalement de tous ses autres longs-métrages. Les combats sont à tomber par-terre, le final au Colisée est magistral, la version longue apporte un plus au scénario et la VO est de toute beauté. Un grand film avec un grand acteur bourré de talent.
Première réalisation de Bruce Lee (libéré de ses contrats) et premire film chinois tourné hors Hong-Kong va devenir le plus grands succès de l'époque. Bruce est alors au sommet et le usccès de sa première réalisation va le conforter dans cette position. Bruce Lee est Tang Lung qu'on oncle envoie soutenir des émigrés en Italie qu'un mafieux tente de faire vendre leur petit resto. La trame est connue et reprise mais la présence et le charisme du Dragon Bruce Lee emporte tout sur son passage. Pas besoin de ralentis lorsque Bruce Lee fait sa démonstration à ses élèves le geste par de lui-même. Par contre le montage a souffert de coupes stupides ; en témoigne par exemple la scène où Tang Lung fait peur à un enfant qui mange une glace, normalement il devait tenter d'expliquer qu'il avait seulement faim... Notons le clin d'oeil à Kato (bras droit du Frelon Vert) via les mini-fléchettes dont se sert Tang Lung. Mais évidemment le film reste connu pour le duel final entre Bruce Lee et Chuck Norris (1er rôle au cinéma) au sein du Colisée, culte et mythique. Un grand film signé de la patte de Bruce Lee mais pas un grand film de cinéma. Il n'en demeure pas moins que le maitre du Kung-Fu reste le roi du genre.
S'il est un as dans le domaine des arts-martiaux, Bruce LEE a encore du pain sur la planche, pour devenir un bon réalisateur. Son film, très sommaire, et également très prévisible. Il n'y a aucun rebondissement, on s'ennuie ferme. Malgré la présence de Chuck NORRIS, les méchants manquent vraiment de crédibilité. À l'instar de "La Fureur De Vaincre", l'histoire n'est qu'un prétexte, mais celle de "La Fureur du dragon" est beaucoup moins intéressante. Le seul intérêt réside dans le fait que, le film soit tourné à Rome. Au delà de ça, il n'y a rien de très palpitant.
Loin d’être un chef d’œuvre, "La Fureur du Dragon" n’en reste pas moins un classique du 7ème art et représente le plus gros succès de Bruce Lee dans cette partie du monde. La technique et la parfaite maîtrise de celui considéré comme le maître du kung-fu est plus que remarquable et suffit souvent à nous captiver grâce à des combats impressionnants. En revanche il faut tout de même admettre que ce film de et avec Bruce Lee présente de nombreuses imperfections de taille. Pour commencer le ton général qui fait parfois plus penser à un cartoon qu’à un film d’arts martiaux, en effet il passe le plus clair de son temps à s’amuser de pitreries sensées alléger le récit, chose parfaitement inutile car l’histoire reste très basique. Bruce Lee débarque à Rome pour venir en aide au dirigeant d’un restaurant voulant se débarrasser d’un promoteur sans scrupules et vraiment déterminé. Les acteurs sont limites, les bruitages n’aident pas à se mettre en condition et le film présente des longueurs qui aurait facilement pu être évitée mais "La Fureur du Dragon" c’est également et avant tout des combats légendaires comme celui entre Bruce Lee et l’inimitable Chuck Norris entre les colonnes du Colisée.
Comme tous les films avec Bruce Lee, "La fureur du dragon" a mal vieilli. La photographie parfois granuleuse et le look des années 70 renforcent son aspect démodé. Et il faut bien reconnaître que Bruce Lee est un piètre acteur lorsqu'il s'essaie à la comédie. Les autres acteurs ont tendance à surjouer. Les personnages sont caricaturaux jusqu'au ridicule (la méchante "tapette" asiatique...). Sinon, le film est long à démarrer, et les premières scènes sont navrantes de bêtise. Ici, la comédie remplace le contexte socio-politique dramatique de "La fureur de vaincre". Heureusement, après une visite touristique de la capitale italienne, les scènes d'action s’enchaînent enfin. On peut alors apprécier les capacités physiques exceptionnelles de Bruce Lee. Les combats (au nunchaku dans l’arrière-cour d'un restaurant jusqu’au Colisée de Rome contre Chuck Norris 7 fois champion du monde de karaté) conservent un charme désuet, un côté old school assez réaliste (les visages meurtris...). On a même droit à une petite révélation finale. Bref, il y a là de quoi pardonner les errements du début du film.