Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par La rédaction
Le film semble ainsi se dérouler simplement, mais se gorge peu à peu d'une intensité invisible. Sans nous en rendre compte, nous voilà de plus en plus proches de ce père. De plus en plus en phase avec le mouvement de révolte de son fils. Bouleversés, quand les deux arrivent enfin à faire un vrai pas l'un vers l'autre. C'est simple ? C'est beau.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Dominique Widemann
Manuel Poirier a réduit les bandes de copains de Western ou de À la campagne au duo père-fils, gagnant en épure plusieurs arpents de profondeur. Il émonde en passant bavardages et paysages au profit de ce qui compte.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Manuel Poirier enveloppe magnifiquement les pauvres frasques de Victor dans l'ennui pur et triste de son fils. Au long de cette errance qui pourrait être minable, il trouve des notes rares de chagrin et d'amour, de détresse et de pardon.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Bientôt, sur les quais du port de Brest, Victor retrouve son fils, et Chemins de traverse, son vrai sujet, le lien indestructible qui unit deux êtres voués à se gâcher mutuellement la vie, par besoin, par amour...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans Chemins de traverse, Sergi est très simple, fragile, émouvant. Il pleure et il rit en même temps, comme en Bretagne, quand il pleut sous le soleil.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Manuel Poirier signe ici son plus beau film.
Positif
par Jean A. Gili
Avec Chemins de traverse -beau titre pour souligner combien les voies du coeur ne peuvent être de grands boulevards au tracé rectiligne, mais empruntent forcèment les méandres des "routes secondaires" (...)- Manuel Poirier réalise un film tout de pudeur, de sous-entendus, d'allusions furtives à une relation conflictuelle qui peu à peu se résout dans la compréhension réciproque.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) quand il se souvient que l'émotion vraie n'est jamais sollicitée, Poirier fait mouche à nouveau, à petites touches, sans faire de bruit, comme par mégarde, juste comme on aime.
aVoir-aLire.com
par Marianne Spozio
Un partage plein de sensibilité, de pudeur et d'humanité dans lequel on accompagne bien volontiers Manuel Poirier.
Brazil
par La rédaction
La finesse du réalisateur de Western semble s'être usée sur les routes de France. On ne lui en veut pas, mais on est un peu triste.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Même passée à travers la trame du roman espagnol Carreteras secundarias, la trinité errance-exil-abandon chère à Manuel Poirier revient comme dans un jeu de cartes mal battu. Mais ce retour opère cette fois sur le mode du dérisoire, enserrant dans les costumes étriqués de Victor le rythme même du film.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
On aimerait s'attendrir, on aimerait sourire, mais ça ne prend pas. Reste le dernier plan du film, où enfin les sentiments se dévoilent. La scène est belle mais c'est un peu tard...
Première
par Sophie Grassin
On glisse le long de ces Chemins... comme sur des sentiers déjà balisés. Jusqu'à la scène finale (beaucoup) trop appuyée.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Un peu lent, Chemins de traverse distille son émotion par petites touches, sur la longueur.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Film modeste, certes, aux bonnes intentions flagrantes, qu'on regrette de ne pas aimer davantage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) la rengaine peinarde d'un cinéma en retard sur tout plus que flâneur, résigné peut-être à son état lymphatique, fier en tout cas de sa proximité avec ses demis portions de personnages.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
Le film semble ainsi se dérouler simplement, mais se gorge peu à peu d'une intensité invisible. Sans nous en rendre compte, nous voilà de plus en plus proches de ce père. De plus en plus en phase avec le mouvement de révolte de son fils. Bouleversés, quand les deux arrivent enfin à faire un vrai pas l'un vers l'autre. C'est simple ? C'est beau.
L'Humanité
Manuel Poirier a réduit les bandes de copains de Western ou de À la campagne au duo père-fils, gagnant en épure plusieurs arpents de profondeur. Il émonde en passant bavardages et paysages au profit de ce qui compte.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Manuel Poirier enveloppe magnifiquement les pauvres frasques de Victor dans l'ennui pur et triste de son fils. Au long de cette errance qui pourrait être minable, il trouve des notes rares de chagrin et d'amour, de détresse et de pardon.
Le Monde
Bientôt, sur les quais du port de Brest, Victor retrouve son fils, et Chemins de traverse, son vrai sujet, le lien indestructible qui unit deux êtres voués à se gâcher mutuellement la vie, par besoin, par amour...
Le Parisien
Dans Chemins de traverse, Sergi est très simple, fragile, émouvant. Il pleure et il rit en même temps, comme en Bretagne, quand il pleut sous le soleil.
Les Inrockuptibles
Manuel Poirier signe ici son plus beau film.
Positif
Avec Chemins de traverse -beau titre pour souligner combien les voies du coeur ne peuvent être de grands boulevards au tracé rectiligne, mais empruntent forcèment les méandres des "routes secondaires" (...)- Manuel Poirier réalise un film tout de pudeur, de sous-entendus, d'allusions furtives à une relation conflictuelle qui peu à peu se résout dans la compréhension réciproque.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) quand il se souvient que l'émotion vraie n'est jamais sollicitée, Poirier fait mouche à nouveau, à petites touches, sans faire de bruit, comme par mégarde, juste comme on aime.
aVoir-aLire.com
Un partage plein de sensibilité, de pudeur et d'humanité dans lequel on accompagne bien volontiers Manuel Poirier.
Brazil
La finesse du réalisateur de Western semble s'être usée sur les routes de France. On ne lui en veut pas, mais on est un peu triste.
Cahiers du Cinéma
Même passée à travers la trame du roman espagnol Carreteras secundarias, la trinité errance-exil-abandon chère à Manuel Poirier revient comme dans un jeu de cartes mal battu. Mais ce retour opère cette fois sur le mode du dérisoire, enserrant dans les costumes étriqués de Victor le rythme même du film.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
On aimerait s'attendrir, on aimerait sourire, mais ça ne prend pas. Reste le dernier plan du film, où enfin les sentiments se dévoilent. La scène est belle mais c'est un peu tard...
Première
On glisse le long de ces Chemins... comme sur des sentiers déjà balisés. Jusqu'à la scène finale (beaucoup) trop appuyée.
TéléCinéObs
Un peu lent, Chemins de traverse distille son émotion par petites touches, sur la longueur.
Télérama
Film modeste, certes, aux bonnes intentions flagrantes, qu'on regrette de ne pas aimer davantage.
Chronic'art.com
(...) la rengaine peinarde d'un cinéma en retard sur tout plus que flâneur, résigné peut-être à son état lymphatique, fier en tout cas de sa proximité avec ses demis portions de personnages.