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Votre avis sur Charlie et la chocolaterie ?
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Tim Burton nous fait un conte pour enfant avec chanson et liliputiens dansant.
Ca parait être n'importe quoi !
Eh ben non! C'est excellent comme le chocolat!
Ca parait être n'importe quoi !
Eh ben non! C'est excellent comme le chocolat!
Johnny Depp est tout simplement incroyable dans ce film, Charlie et la Chocolaterie magnifiquement conté par Tim Burton. Un acteur épatant qui signe une nouvelle fois une interprétation délirante et hilarante, Johnny Depp est décidément un acteur hors du commun. Un film à ne pas manquer tant par l'histoire ou bien encore par l'image de qualité, que par le talent des comédiens. A ne pas manquer.
RealPrime
Porté par un générique canon et d’une musique tout aussi canon, Tim Burton aura plus que réussi cette adaptation mêlant son propre univers fantastique à un humour jeune et enfantin.
spoiler:
Et pour revenir sur ce générique, la musique à très précisément été composée dans le but de nous rendre dingue avec cette quantité astronomique de chocolat en tous genre.
Nous faire tous simplement rêver avec l’intérieur même de l’usine. spoiler: Ce que j’ai particulièrement aimé, ou du moins bien noté, c’est le design de la pauvre maison de Charlie. En effet elle n’est pas toute droite et bien carré. Mais bien lugubre et presque moisie. Une touche visuelle unique à la Tim Burton.
Au niveau jeu ils sont tous très bon et on voit très bien le mental de Charlie à ne pas être une grosse tête ou être pourri gâter, voir même se voir être sûr complimenter par sa famille contrairement aux autres enfants du films étant le total inverse de ce dernier. Le jeu de Depp est juste extra avec son petit rire entre la sadisme et la stupidité. Un de ses rôle les plus comique et transformant pour son corps. Au niveau des Oompas-Loompas, ils sont tous géniaux et chacun de leurs numéros dansant et surtout de chansons sont géniaux. Quitte à en avoir les mélodies bien dans la tête un certains nombres d’heures… Ou pas. spoiler: Au niveau de l’imaginaire même des lieux, sacrer boulot car j’ai toujours trouvé qu’autant d’éléments dans une si petit structure pouvait être dérisoire. Du mont caramel à la grande prairie et son fleuve de chocolat en passant par les interminables chemins parcouru par l'ascenseur de verre.
Enfin, je finirais par décrire les autres enfants du film, de très sournois dans tous les sens du terme : trop gâter, arrogant, avaleurs, frimeurs, geeks… Un film qui nous montre donc comment il est plus simple d’être simple justement et comment le fait d’être bien entourer ne nous envoie pas sombrer dans une profonde solitude, aussi gourmande que désespérante. Une oeuvre moderne canon d'une autre maîtres du genre.
Nous faire tous simplement rêver avec l’intérieur même de l’usine. spoiler: Ce que j’ai particulièrement aimé, ou du moins bien noté, c’est le design de la pauvre maison de Charlie. En effet elle n’est pas toute droite et bien carré. Mais bien lugubre et presque moisie. Une touche visuelle unique à la Tim Burton.
Au niveau jeu ils sont tous très bon et on voit très bien le mental de Charlie à ne pas être une grosse tête ou être pourri gâter, voir même se voir être sûr complimenter par sa famille contrairement aux autres enfants du films étant le total inverse de ce dernier. Le jeu de Depp est juste extra avec son petit rire entre la sadisme et la stupidité. Un de ses rôle les plus comique et transformant pour son corps. Au niveau des Oompas-Loompas, ils sont tous géniaux et chacun de leurs numéros dansant et surtout de chansons sont géniaux. Quitte à en avoir les mélodies bien dans la tête un certains nombres d’heures… Ou pas. spoiler: Au niveau de l’imaginaire même des lieux, sacrer boulot car j’ai toujours trouvé qu’autant d’éléments dans une si petit structure pouvait être dérisoire. Du mont caramel à la grande prairie et son fleuve de chocolat en passant par les interminables chemins parcouru par l'ascenseur de verre.
Enfin, je finirais par décrire les autres enfants du film, de très sournois dans tous les sens du terme : trop gâter, arrogant, avaleurs, frimeurs, geeks… Un film qui nous montre donc comment il est plus simple d’être simple justement et comment le fait d’être bien entourer ne nous envoie pas sombrer dans une profonde solitude, aussi gourmande que désespérante. Une oeuvre moderne canon d'une autre maîtres du genre.
Le pire film de Tim Burton... l'adaptation du roman n'est réduit qu'à un lifting réposant sur le cabotinage de Johnnie Deep, qui depuis Pirates des caraibes s'est reconvertit en clown agaçant. Aucune magie, mais seulement une succession de sketches (ponctuée de chansons ringarges ), où Mr Burton montre une bonne dose de sadisme envers les enfants (qui ne sont en fin de compte que les reflets de leur parents). Et que dire du jeune Charlie, aussi tête à claque que sans nuance... la fin est aussi vomitive qu'un kilo de guimauve à la violette... Et c'est pas la peine d'espèrer une direction artistique de qualité... Tim n'a fait que recycler un vieux train fantôme pourrissant dans une décharge de produits nucleaires... à oublier...
Charlie et la chocolaterie , film américain réalisé en 2005 par Tim Burton est hélas un désastre . Un désastre , pourquoi ? Tout simplement , parce que le film n'est rien d'autre qu'une succession , de surenchère d'idioties , de puérilités et de gamineries . Et voir cela , quand on attend du vrai cinéma surtout venant d'un réalisateur qui n'est pas mauvais ( loin de là ) , c'est non tout simplement . La vérité est que le film de Tim Burton se noie dans la caricature , et une caricature qui est ignoble soit dit en passant : tout est joué dès le début dans le film qui cherche à tout prix à forcer l'empathie sur le spectateur vis-à-vis du protagoniste , le jeune Charlie ( Freddie Highmore ) , pauvre bien évidement . Bien-sûr , c'est le plus gentil , le plus doux et le personnage est tellement calme , le plus obéissant , le plus intelligent ( et en plus il l'est pour de mauvaises raisons ) qu'il en devient pénible et insupportable . Aussi , le scénario de Charlie et la chocolaterie est tellement faible , peu consistant que Tim Burton n'a de cesse de multiplier seconde après seconde les effets kitsch souvent poussifs et fastidieux et au final , cette chocolaterie nous provoque qu' écoeurement , répulsion et des maux de ventre terribles . Pour continuer dans le jeu de mots : tous les ingrédients sont réunis pour un navet intégral .
Du grand n'importe quoi la plupart du temps ...
A éviter , trop de couleurs , trop de gamins , trop de tout !
A éviter , trop de couleurs , trop de gamins , trop de tout !
Cette Xème collabaration entre Mr Depp & Mr Burton est une fois de plus superbement réussi ! Le réalisateur nous emmène dans un monde merveilleux comme nous le rêvions en lisant le livre. Roald Dahl n'aurait pas pu rêver mieux comme Willy Wonka!
Le meilleur film du tandem Johnny Depp/Tim Burton à mon goût. Le roman original est très bien adapté -ce qui n'est jamais chose facile avec cet auteur- et comble toutes les attentes, notre Johnny est comme toujours impressionnant dans la peau d'un excentrique que l'on ne peut qu'adorer, et le jeune Freddie Highmore est plus qu'attachant. Leur complicité est d'ailleurs visible, et leur duo décalé fonctionne à merveille. Bref, le joli conte de Roald Dahl est restitué avec justice, et on prend un malin plaisir à voir tous ses gamins insolents et trop gâtés descendre de leur piédestal un par un. Les décors sont splendide, les dialogues percutants et l'univers de Tim Burton parfaitement adapté à l'ensemble. Un petit regret néanmoins sur les numéros musicaux, que j'ai trouvé en trop. Mais quoi qu'il en soit, Charlie et la Chocolaterie est vraie petite merveille à consommer sans modération !
Quel merveilleux film. Que de couleurs que de délices. Je ne regrette qu'une chose: ne pas l'avoir vu au cinéma à sa sortie. Il m'a rappelé étrangement vous savez quoi ? "Le magicien d'oz" (1939) avec Judy Garland, extraordinaire de féerie. Alors merci car moi aussi, j'ai eu des flash-back pendant ce film.
Nanar réactionnaire avec esthétique bac à gerbes. Un fameux amas de stéréotypes sur les enfants, parents et la relation qui les unit. Des personnages brouillons d'un frustré de chez disney qui a mal vieilli.
Dommage ... Tim Burton a la carte, mais a perdu ses fans de la première heure, celle de Beetlejuice. Le fait qu'il soit encensé par la critique "officielle" en dit long sur le cadavre purulent qu'est devenu son art.
Au corbillard tout cela ^^
Préférez des films pour enfants un peu - poseurs (le géant de fer, les indestructibles, alice in wonderland).
Dommage ... Tim Burton a la carte, mais a perdu ses fans de la première heure, celle de Beetlejuice. Le fait qu'il soit encensé par la critique "officielle" en dit long sur le cadavre purulent qu'est devenu son art.
Au corbillard tout cela ^^
Préférez des films pour enfants un peu - poseurs (le géant de fer, les indestructibles, alice in wonderland).
Ca faisait déjà longtemps que Tim Burton avait cessé de nous surprendre. Avec Charlie et la Chocolaterie, il touche le fond. Son film est profondément ennuyeux. Plus plat que l'électrocardiogramme d'un cadavre ! Il n'est pas drôle non plus, ni même émouvant ou enchanteur. Seuls, méchanceté gratuite et manichéisme criard ressortent de cette fable à gros budget.
un chef d'entreprise a licencié le personnel de son usine pour importer une main d'oeuvre étrangére (gratuite apparement ,des ouvriers travaillant sous le nom d'"ooompah loompah"..).
Le fils d'un ouvrier au chomage ,à la suite d'un concours ,aura la chance de...visiter l'usine(!)(chance qu'il preferera à une eventuelle capitalisation de son invitation qui pourrait nourrir sa famille pendant quelques années) puis ,aprés avoir vu se faire éxecuter (symboliquement)uns par uns des concurrents potentiels ,se verra finalement octroyer la place de vice-président de l'usine(avec probablement un partage de bénéfice 50/50,et des actions) en pratiquant ce paradoxe du battant: "ne pas être compétitif,c'est être compétitif quand même".
Aprés avoir cassé la maison des ouvriers avec un ascenceur qui vole ,le PDG retrouvera son pére dentiste et acceptera ,aprés avoir hesité,de diner à la table de pauvres.
Je pense qu'il s'agit d'un conte (il n'est pas precisé si ce type de chef d'entreprise existe réellement) et ,par conséquent ma note est trés sévère car on n'en sait pas vraiment plus sur les responsabiltés de la direction au sein de l'entreprise
Le fils d'un ouvrier au chomage ,à la suite d'un concours ,aura la chance de...visiter l'usine(!)(chance qu'il preferera à une eventuelle capitalisation de son invitation qui pourrait nourrir sa famille pendant quelques années) puis ,aprés avoir vu se faire éxecuter (symboliquement)uns par uns des concurrents potentiels ,se verra finalement octroyer la place de vice-président de l'usine(avec probablement un partage de bénéfice 50/50,et des actions) en pratiquant ce paradoxe du battant: "ne pas être compétitif,c'est être compétitif quand même".
Aprés avoir cassé la maison des ouvriers avec un ascenceur qui vole ,le PDG retrouvera son pére dentiste et acceptera ,aprés avoir hesité,de diner à la table de pauvres.
Je pense qu'il s'agit d'un conte (il n'est pas precisé si ce type de chef d'entreprise existe réellement) et ,par conséquent ma note est trés sévère car on n'en sait pas vraiment plus sur les responsabiltés de la direction au sein de l'entreprise
Bonbons, chocolat et magie se retrouvent dans ce film remplit d'odeurs et de souvenirs d'enfances. On retombe totalement dans le livre du même nom, et le fameux Jonny Depp nous en met encore une fois plein la vue, tout comme le réalisateur, Tim Burton, aux multiples talents. Bref, 4 étoiles à un film d'exception...
Personnellement, j'ai pas aimé du tout ...
Trop de contraste entre l'exterieur et l'intérieur trop coloré, les chansons m'ont achevé, j'ai tenu jusqu'au bout mais ce fut dur ...
Trop de contraste entre l'exterieur et l'intérieur trop coloré, les chansons m'ont achevé, j'ai tenu jusqu'au bout mais ce fut dur ...
l'histoire avec le père était ridicule, comme le reste du film d'ailleurs
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