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    Charlie et la chocolaterie
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    3,5
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    78 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2007
    Franchement?Ce film est nul; niais et mal réalisée!L'adaptation par rapport au roman est pire que le cas d'Eragon(que j'ai pourtant adoré); les effets spéciaux sont nuls, la musique donne envie de vomir et les acteurs sont pourris en clair je vous le déconseille!
    Henrico
    Henrico

    169 abonnés 1 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2020
    Cette Version de 1967 par Mel Stuart n'est pas décevante comme l'est la plus moderne de Tim Burton. Le Charlie de Burton, certes, avait d'énormes qualités visuelles. De plus, il apportait de nombreux éléments nouveaux, fort intéressants, au personnage de Willy Wonka, alors que celui de Mel Stuart se contente d’être loufoque et inquiétant. Wonka, pour Stuart, n'était pas essentiel, et il reste dans son film, une totale énigme. Le Willy Wonka de Burton, lui, est « expliqué ». Fort bien, l’inconvénient, est que Burton abusait des flash-backs, et rendait le procédé trop répétitifs et convenu. De plus, Burton le faisait en plagiant abondamment les ressorts psychanalytiques de la relation père fils, dépeinte dans le chef-d’œuvre d’Alan Parker ", Aux Bons Soins Du Docteur Kellog". Mais, ce qui fait de cette version de 1967, le « Charlie Et La Chocolaterie » pour l’instant inégalé, c’est que Stuart est le seul à avoir rendu pleinement la force et la subtilité contenues dans la satire sociale de la fable de Roald Dahl. L’écrivain, avec une candeur, qui n’était qu’apparente, dénonçait la vacuité des programmes télé, la superficialité des médias, l'éducation exagérément laxiste des parents modernes, et l’exploitation cynique des enfants par les compagnies de produits alimentaires. Et cela, de toute évidence, Mel Stuart semble jusqu’à présent le seul cinéaste à avoir bien lu et compris Dahl.
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 101 abonnés 12 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Que de chocolat...que de chocolat...mais quel bonheur! La fantastique rencontre d'un chocolatier lègendaire (moins misanthrope que Johnny Depp) et d'un petit garçon gènèreux et dèbrouillard qui ne reçoit des friandises qu'une seule fois par an et qui passe devant chaque jour devant une chocolaterie, mystèrieusement fermèe et d'où s'èchappe l'odeur la plus dèlectable! Mais voilà que le directeur de l'usine, Willy Wonka en question, organise un concours, dont le gagnant recevra des friandises jusqu'à la fin de sa vie! Rèalisateur de tèlèvision très rèputè, Mel Stuart s'associe avec le formidable Gene Wilder en noeud pap', chapeau haut de forme orange et veste mauve pour adapter le best-seller inoubliable du gallois Roald Dahl! Entre les dèlirantes chorègraphies et les confiseries gèantes, c'est la fête en cette annèe 1971! Haut en couleurs, c'est une petite merveille qui invite au rêve, un favori pour prèparer comme il se doit les fêtes de fin d'annèe ou grand spectacle, chansons, caramel gèant et chocolat se marient fort bien! A relever parmi les chansons celle de Leslie Bricusse et Anthony Newley, « Oompaloompa-dompadee-doo » . Dèsolè, mais c'est supèrieur au remake de Tim Burton, ce qui n'est pourtant pas facile...
    paul
    paul

    24 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2021
    Une adaptation vraiment intéressante du roman de Roald Dahl, qui m'a permis de me prêter volontiers au jeu des comparaisons avec le film de Tim Burton. Si cette transposition du roman reste pionnière, on ne peut qu'admirer les choix scénaristiques et esthétiques qui semblent propres à ces années 70.

    D'une part, avec un budget beaucoup plus limité, Mel Stuart a su créer un arrangement vivant, en reprenant les points forts de la trame narrative. C'est avec grand plaisir que j'ai pu y découvrir des acteurs formidables : un Peter Ostrum qui colle parfaitement au rôle de l'enfant émerveillé qu'est Charlie. Mais cela serait omettre de vous parler du pouvoir de Gene Wilder (W. Wonka), qui fort d'une énergie remarquable et d'un talent particulier, nous propulse, avec passion, fugacité, subtilité et légèreté dans un monde merveilleux.

    Et l'esthétique, grossièrement savoureuse de contribuer a cet émerveillement, un peu niais, j'en conviens, mais qui ne perd pas de son charme visuel. Les sonorités et musiques, loin d'être emphatiques, savent nous transporter dans cet environnement qui colle si bien au scénario. C'est donc avec joie que j'ai découvert une oeuvre appétissante, c'est le cas de le dire, drôle, tout en modération, non moins qu’intéressante et passionnée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 novembre 2006
    Un bon classique pour enfants. Au même niveau qu'un Mary Poppins à mon humble avis.
    justineg
    justineg

    63 abonnés 906 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2006
    Rien à voir avec la version de Tim Burton, mis à part le talent du garçon qui incarne Charlie. J'ai trouvé le film long et malheureusement l'image vieillote.
    Serge Riaboukine
    Serge Riaboukine

    54 abonnés 946 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 décembre 2010
    En voyant celui de T. Burton, je ne fut pas du tout convaincu. Mais en voyant celui-ci, je me demande comment T. Burton a osé réaliser le sien. Hormis la technologie qui permet d'autres choses qu'à l'époque, qu'y a-t-il de différent ? Allègrement pompé... Je ne serais pas fière de moi, mr Burton. Ceci dit, je dois avouer que je ne suis en général pas fan de ce genre de production qui mêle trop souvent chant et histoire. Petite exception ici puisque j'ai suivis le film de bout en bout sans déplaisir.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 087 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2020
    Première adaptation du livre culte de Roald Dahl, Le Charlie et la Chocolaterie de 1971 se démarque de son petit frère de 2005 par le charme de l'époque à laquelle il fut réalisé. Mis au point au début des années 70, il écope de l'âme carton-pâte du fantastique des long-métrages de la décennie, kitsch craquant directement tiré de la Science-fiction (films d'aliens, de monstres et de découverte de planètes étrangères) des années 50-60.

    Son code couleur est lui-même le fruit de la folie visuelle qui s'empara des 60's : pétaradant, bourré d'inventions au goût possiblement douteux et de sculptures de sucreries aux formes exubérantes, cet épisode phare (du fait de sa popularité et de sa réputation de film culte) de la série des adaptations de l'auteur paraît pourtant en retard d'une dizaine d'années dans le paysage cinématographique de l'époque.

    Son humour lui-même sent les années 60, et n'aurait pas fait tâche au sein d'une comédie musicale Disney en film live : pas étonnant, alors, d'y croiser quelques moments chantés (effroyables, d'ailleurs) par les abominables Oompa Loompa, sur des mélodies pour la plupart réussies, des paroles enfantines comme il faut et des expressions faciales traumatisantes. Outre leur maquillage douteux, ce sont leurs yeux qui perturbent le plus, tant ils semblent habités par l'esprit du diable.

    Blague à part, ils s'inscrivent au côté des Teletubbies dans le podium des figures de l'enfance flippantes quand arrive l'âge adulte; quelle drôle d'impression de les découvrir sans les avoir connus gamin, comme si le spectacle allait aspirer votre âme (ce n'est pas si loin, en faute de goût pour les gamins, de l'arme de Nigma et l'esthétique fluo qu'elle impose à Batman Forever) et s'emparer de toutes vos attentes en matière d'univers coloré.

    Il vaut mieux ne pas être sensible aux couleurs flashies pour le voir, et pour l'avoir vécu, vous pouvez me croire : les folies visuelles de cette première adaptation forment un tout cohérent et fidèle à l'oeuvre de Dahl, presque passionnant à suivre et, malgré l'évident coup de vieux que cela à pris, fait effet de source d'inspiration (ou du moins, d'hommages possibles) à l'oeuvre de Burton, qui mêle habilement le conte et le film de 71. L'entreprise était pourtant risquée : tout faire à la main, façon pâte à modeler sans avoir peur du ridicule tient du miracle dans sa réussite. Et le plaisir est total.

    Et puis, il y a Gene Wilder et son jeu incroyable. A l'instar de Depp dans le Burton, le film tourne tout autour de lui : lumineux, constamment hyperactif, il consolide, en les zieutant à peine, chaque personnage qu'il croise. Absolument fantastique d'exubérance, il fait le show pendant l'heure quarante que dure le long-métrage, et laisse sérieusement penser que son talent de comique a joué pour beaucoup dans la décision de réaliser cette adaptation.

    Iconique, toujours juste, il mène une relation très réussie avec Charlie, ni trop mignonne ni trop manichéenne, offrant les lettres de noblesse restantes à la superbe représentation du gamin, respecté dans sa personnalité originelle et touchant par son contact naïf et désintéressé d'avec le monde. C'est cela qui le rend si attachant, comme dans le roman de base : cette ultra-gentillesse au sein d'un monde profondément intéressé, pourri jusqu'à la moelle conduit à un fossé avec le reste des personnages, qu'on détestera forcément par leurs personnalités insupportables, qui ne pourra que le mettre en valeur et le rendre adorable.

    Réussi en cela qu'il parvient à reconstruire de façon crédible et fidèle l'univers si particulier de Dahl, Charlie et la Chocolaterie est à voir pour tout amateur de l'oeuvre de base et de celle de Burton, tant il propose une alternative intéressante au film pour enfants de 2005. Kitsch et tout en couleur, il en retire un charme unique, finalement plus proche du dessin animé que du long-métrage fait en prise de vue réelle. Audace récompensée par un succès atypique.
    Ti Nou
    Ti Nou

    517 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2024
    Première adaptation du classique de Roald Dahl avant celle de Tim Burton. Moins enjouée, plus glauque, l’approche y radicalement différente. À l’image de ses chansons ennuyeuses et sans souffle, le film de Mel Stuart manque de gaieté.
    Informaticien Dubinfo
    Informaticien Dubinfo

    22 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2021
    Je n'ai pas encore visionné la version de Tim Burton, mais je me doute que cette dernière sera moins bonne que la version originale. J'ai été bluffé par ce film, je ne pensais pas que j'aurais accroché. L'histoire est très sympa et les acteurs jouent bien. Les passages musicaux sont un peu "chiants" mais bon... Un film a découvrir pour tout bon cinéphile.
    cylon86
    cylon86

    2 566 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Si la version de "Charlie et la chocolaterie" réalisée en 2005 par Tim Burton est très connue, n'oublions tout de même pas cette version colorée, enjouée et un peu kitsch de 1971 réalisée par Mel Stuart. Un film qui doit beaucoup à la gentille extravagance de Gene Wilder dans le rôle de Willy Wonka mais qui a tout de même un peu vieilli, dévoilant un certain manque de rythme. Si l'on peut s'extasier sur l'inventivité des décors hyper colorés et que l'on peut chantonner les chansons moralisatrices des Oompas Loompas à tue-tête, on regrettera ce côté un peu lisse et trop gentillet du film, à la limite de la naïveté quand il fait pousser la chansonnette à ses personnages. Reste bien évidemment un récit qui se voit avec beaucoup de plaisir (c'est très drôle notamment dans la première partie où une femme hésite à payer la rançon réclamée par les kidnappeurs de son mari exigeant des tablettes Wonka pouvant contenir le ticket d'or) même si la réalisation de Mel Stuart manque clairement de souffle.
    Eselce
    Eselce

    1 436 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    C'est volontairement ridicule, niais et kitch. Je le recommande si vous parvenez à le voir au second degré. Il n'est pas meilleur que la version de Tim Burton mais les invention restent amusantes et s'il faut oublier au plus vite les chansons totalement has been, le film donne l'impression de vivre les aventures du jeune enfant "Kinder" au pays du chocolat. C'est assez fun car un peu idiot, comme le sont les comédies. Les personnages sont le mêmes que la nouvelle version.
    kibruk
    kibruk

    152 abonnés 2 588 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 septembre 2016
    Le film dont Tim Burton fit un remake il y a quelques années. J'avais bien aimé sa version, sentiment que je n'ai pas éprouvé en voyant celui-ci. peut-être parce que je connaissais déjà l'histoire, mais surtout parce qu'il a très mal vieilli.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Qu'est ce que c'est que cette connerie ? Même pour Arte, c'est très mauvais, aucune imagination de la part des scénaristes qui veulent faire un film falatieux de l'original.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    41 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2024
    "Charlie et la chocolaterie" est la première adaptation du roman du même nom. Bien avant la version de Tim Burton, c'est Mel Stuart qui vient se charger de cette mission. Globalement, je ne savais donc pas à quoi exactement m'attendre avec cette version, et j'ai vécu un visionnage assez particulier. Dans un premier temps, la première partie m'a plutôt fait plaisir et m'a laissé espérer de très bonnes choses ! L'ambiance semblait assez enfantine, et le film semblait vouloir mettre l'accent sur une thématique autour des rêves. Un sujet plutôt bien traité, et qui force un attachement au personnage de Charlie. Il est assez rêveur et son lien avec sa famille s'avère touchant. Cette première partie nourrit donc un sentiment d'espoir, sur un ton assez léger malgré tout. L'ensemble s'avère parfois vraiment drôle d'ailleurs, car les gags poussent l'absurde de la situation jusqu'au bout de la chose, au point de faire passer cette quête du ticket d'or avant tout. En vérité, le seul petit élément qui m'a un peu interpellé lors de cette première partie va venir de l'univers. Je trouve que l'ambiance est plutôt intéressante, mais les environnements font un peu trop réalistes à mon goût, il manque ce petit élan de fantaisie qui aurait renforcé l'esthétique globale du projet. Et cette approche que j'aurais voulu voir être développé va finalement se révéler être bien plus présente lors de la seconde partie. Ici, les décors sont vraiment dans une âme plus fantaisiste et le tout fonctionne. Cependant, à ce moment-là, c'est le scénario qui commence à véritablement décevoir. Très rapidement, tout devient prévisible, on sait exactement où tout cela va nous emmener. Par ailleurs, le récit prend parfois trop son temps. Comme on devine tout à l'avance, cette longue visite de l'usine est vraiment difficile à regarder. Par conséquent, le peu de développement que l'on avait commencé à apercevoir dans la première partie est immédiatement laissé de côté, ce qui est frustrant. Finalement, tout cela offre un tout assez bancal. On a donc une première partie qui est sympathique, mais qui manque peut-être d'un peu de fantaisie. Et une seconde qui utilise bien l'univers, mais qui est affreusement longue. En bref, le long-métrage est plutôt très moyen, j'aurais espéré un meilleur résultat. Pour conclure, pas la meilleure adaptation de cette licence.
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