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    Le Bal des maudits
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    Eselce
    Eselce

    1 411 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Un film qui a pris un beau coup de vieux. Malgré les quelques images d'archives, cela manque d'action et la guerre est survolée côté allemand et américain. J'ai juste aimé la scène du capitaine qui demande une baïonnette. Le reste est lent, même si bien joué avec quelques images de Paris et quelques romances de l'époque, pas mal mais rien d'inoubliable. A voir pour les images d'archives et les véhicules de l'époque en noir et blanc, il ne faut rien attendre de plus.
    6nematod
    6nematod

    12 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2015
    Certes ce film est ancien et s'il dénonce un certain nombre de choses, il n'en demeure pas moins lent, décousu et ponctué de facilités de mise en scène et de clichés.
    Redzing
    Redzing

    1 139 abonnés 4 486 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    Les "Young Lions" du titre sont trois soldats que l'on suivra pendant toute la Seconde Guerre Mondiale. Un officier allemand idéaliste que sa conscience va peu à peu rattraper, un homme fébrile dont la peau va se durcir, et un artiste lâche cherchant à éviter tout combat. Le long-métrage se démarque des grands films de guerre, en se focalisant sur son trio principal (dont un soldat allemand, chose rare à l'époque), et non sur les batailles qui sont ici accessoires. L'évolution des personnages est intéressante, et ceux-ci sont interprétés de manière très convaincante. Dean Martin casse son image de show man sympathique en incarnant un poltron, tandis que Montgomery Clift est attachant en faible déterminé. La palme revient cependant à Marlon Brando, qui malgré ses dialogues en anglais avec un accent allemand artificiel, joue tout en retenue ce rôle ambigu de l'officier dont l'humanité s'éveille. Enfin, le film bénéficie d'une réalisation inspirée, avec plusieurs plans très soignés. "The Young Lions" est donc un solide drame de guerre.
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2014
    Plein de destins racontés de fort belle façon, une brochette d'acteurs plus classieux les uns que les autres, châpeau !
    Benjamin A
    Benjamin A

    716 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2014
    Fresque autour de la seconde guerre mondiale où l'on va suivre le destin de trois hommes, un Allemand et deux Américains. C'est surtout leurs évolution et leurs idéologie que l'on va suivre, on est transporté entre USA, Afrique, Allemagne ou encore France. C'est vraiment bien fait, la narration est toujours fluide et le récit se suit très bien. Le film est long mais jamais lent, c'est surtout captivant grâce entre autre à un scénario très bien écrit et assez complexe. Comme c'est parfois le cas avec les films de guerres (surtout à l'époque de celui ci et particulièrement aux États-Unis), on évite ici d'être manichéen et de montrer les Américains en grand héros sans failles. Les personnages sont bien écrits et sont tous intéréssant. Ce n'est pas la guerre en elle-même que nous montre le Bal Des Maudits, il n'y aura pas de scènes chocs, mais comment trois hommes d'apparence quelconque vont la vivre. Les décors sont souvent bien fait et le film tient aussi grâce à l'interprétation des ces 3 acteurs principaux et plus particulièrement Montgomery Clift au jeu très intériorisé. Marlon Brando exagère parfois mais arrive à être crédible dans le rôle d'un Allemand. Un bonne surprise, un bon film de guerre intéréssant et captivant.
    landofshit0
    landofshit0

    277 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2013
    Le bal des maudits brosse le portrait d'hommes et de femmes engagés dans la guerre. Le regard d'Edward Dmytryk sur ce conflit passe de l'un à l'autre camp,et explore toute l’ambiguïté humaine dans une telle situation. Le film est habillement construit même si parfois un peu maladroit,le discourt de l'officier des camps de concentrations est absurde. Car il ne peut être tenu qu'avec le recule historique. Il en reste que les sentiments des personnages sont méticuleusement écrits et il fallait bien 3h40 pour en faire le tour.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mars 2013
    Le film frôle les trois heures, et pourtant, on ne voit pas le temps passer. C'est un drame à la fois passionnant et bouleversant, qui évite tous les pièges dans lesquels tombent souvent les films de guerre. Ce qu'on retient surtout de ce film, au-delà de la mise en scène et du scénario, ce sont les performances d'acteurs. Pour faire vite, Marlon Brando réussit l'exploit d'éclipser les excellents Dean Martin et Montgomery Clift, dont les prestations sont pourtant irréprochables. Il interprète ici un de ses plus grands rôles. Au final, Le Bal Des Maudits est probablement un des films les moins manichéens sur ce sujet, et c'est une de ses qualités principales. (En ce qui concerne le côté “manichéen”, je laisse volontairement de côté les dix dernières minutes, qui gâchent malheureusement l'oeuvre entière...)
    cylon86
    cylon86

    2 539 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2013
    Edward Dmytryk adapte le roman d'Irwin Shaw et livre avec "Le Bal des maudits" une vision de la Seconde Guerre Mondiale assez réaliste et non manichéenne où le nazi peut avoir aussi bon fond que le juif engagé dans l'armée américaine. Les poltrons comme les courageux ont leur place dans le film où tous les moyens sont bons pour échapper (ou non) à l'horreur de la guerre et à ses atrocités. Le scénario n'épargne aucun côté et même si les nazis sont montrés comme plus cruels, l'armée américaine paraît loin d'être reluisante. Les personnages sont d'ailleurs très bien écrits et leur évolution est la plus grande qualité du film. Marlon Brando campe avec conviction (même si le blond lui va très mal) un lieutenant nazi aux idéaux que la guerre change et Dean Martin joue très bien le poltron qui finit par prendre son courage à deux mains mais c'est surtout Montgomery Clift qui marque par son interprétation d'un frêle engagé juif qui se bat avec l'armée avant même de se battre sur le terrain pour s'imposer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 décembre 2012
    un pur chef d’œuvre qui démontre malgré le tabou de l’après-guerre le fait que les "gentils" americains ne sont pas toujours blanc comme neige eux non plus
    d’une part on a en quelque sorte une vision critique de la vie dans l’armée des états unis et d’autre part on retrouve un allemand qui est militaire et non nazis qui va sans cesse se balader de désaccord en désaccord, et cela que ce soit avec de vieux amis ou avec ses supérieurs car contrairement a beaucoup d’autres soldats allemand de cette période il ne piétine pas sur la vie humaine
    finalement je trouve que ce film démontre bien qu’il y a des bons et des mauvais partout
    ce magnifique film et pour moi une œuvre majeure du cinéma et il est fort dommage que certaines personnes ne l’aient pas compris
    a voir absolument
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 196 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2012
    Il est toujours délicat d'évoquer Edward Dmytryk dont certains films dénoncent pourtant clairement l'oppression de l'homme sur ses congénères par le biais des régimes politiques autoritaires. D'obédience communiste et compagnon de route du parti pendant un an (de 1944 à 1945), Dmytryk comme Kazan choisira l'infamie pour retrouver le droit de travailler à Hollywood en dénonçant certains de ses amis du métier. Cette tâche indélébile ternira forcément l'image de l'homme et la crédibilité de son propos. Il faut malgré tout faire l'effort d'analyser l'œuvre pour ce qu'elle est réellement et non à travers le seul prisme du parcours chaotique de son créateur.
    Par le destin de trois "Jeunes lions" comme est intitulé le roman d'Irwin Shaw dont est inspiré le film, Dmytryk montre toute l'absurdité de la guerre et son impact sur les âmes humaines, même celle les plus rompues à l'esprit du combat ou convaincues de la justesse de leur engagement
    S'il se veut une charge contre la guerre, le film tente plus ou moins adroitement de mélanger romance et messages politiques et sociaux comme de coutume à Hollywood où il est de bon ton d'édulcorer le propos des scénarios dans le but de s'adresser au plus grand nombre. S'il se plie aux canons imposés, Dmytryk n'en balaie pas moins tous les comportements humains rencontrés en période de conflit, la fraternité possible entre civils et occupants, l'abus de pouvoir des sous-officiers, l'héroïsme des sans-grades, les tentatives des puissants pour échapper à la conscription, l'amour qui parvient à se frayer un chemin par-delà les horreurs de la guerre ou encore le cynisme des édiles retournant leur veste à la fin des hostilités. Mais au sein de cette évocation multiple, le réalisateur a surtout à cœur de démontrer que la guerre est un formidable révélateur pour l'être humain qui quoiqu'il arrive se trouve transformé par cette terrible épreuve. Pour illustrer son ambitieuse évocation, Dmytryk a la chance d'avoir à sa disposition un trio de choc avec à sa tête un Marlon Brando magistral. Dean Martin de son côté assure dans le rôle du crooner cherchant à échapper à cette pénible corvée qui finit par découvrir sa part d'humanité. De son côté Montgomery Clift encore sous le choc de son accident du 12 mai 1956 en plein tournage de "L'arbre de vie" déjà avec Dmytryk retrouve le réalisateur qui semble vouloir lui remettre le pied à l'étrier. Comme pour conjurer le sort, Dmytryk offre au comédien presque désincarné une scène d'anthologie quasi remake de son fait d'armes dans "Tant qu'il y aura des hommes" de Fred Zinneman (1953) où jeune boxeur prometteur il rossait l'affreux sergent "Fatso" (Ernest Borgnine) archétype du sous-off sadique et violent. Cet enchaînement de combats peu crédible tant Clift paraît chétif, permet à Dmytryk de dénoncer au passage l'antisémitisme qui gangrène son propre pays et pas seulement l'Allemagne nazie. Il faut se rappeler que le 19 juin 1953 soit seulement cinq ans avant la sortie du film , Julius et Ethel Rosenberg étaient électrocutés à la prison de Sing Sing. Mais la véritable trouvaille du film est la prestation de Maximilien Schell en officier nazi rempli de certitudes jusqu'à l'absurde à qui Dmytryk offrira une fin pour le moins troublante. Cloué sur un lit d'hôpital, le visage défiguré, complètement enturbanné comme l'homme invisible, l'officier dupera son lieutenant pour obtenir une baïonnette destinée à abréger les souffrances de son voisin d'hôpital qu'il se destine en réalité à lui-même, se refusant aux épreuves qui l'attendent après la chute d'Hitler. Si le film accumule les enchaînements téléphonés ou les scènes un peu convenues, il est toujours parfaitement sincère et jamais manichéen, qualités plutôt rares à l'époque. En sus de son quatuor majeur , Dmytryk nous régale de la présence de la très accorte Britt May dont la sensualité féline déborde de l'écran et qui apporte un peu de réconfort à la gent masculine dans ce sombre tableau. Au final , le film qui avait été vilipendé à l'époque par la critique, mérite sans doute d'être réhabilité.
    Plume231
    Plume231

    3 919 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2012
    Heu 160 minutes c'est long ??? Ben non pas forcément, en tous les cas pas du tout avec ce film dont le dernier reproche que l'on pourrait lui faire c'est de manquer de densité. Il faut ajouter à cela un scénario qui évite totalement l'écueil du manichéisme, un tournage en extérieurs du moins à Paris, et un casting qui déchire grave sa race. Marlon Brando, impec dans la peau d'un officier nazi qui ne veut pas perdre son identité d'être humain, Maximilian Schell, tout aussi impec dans la peau d'un officier nazi qui aimerait bien la perdre, Montgomery Clift, l'air plus affaibli que d'habitude, excellent en juif opiniâtre persécuté mais pas par des nazis, et Dean Martin, idéal en type lucide sur les raisons qui le poussent à ne pas vouloir combattre. Avec un Minnelli, un Sirk ou un Vidor, avec un tel sujet, avec de tels personnages et avec de tels acteurs, il n'est pas douteux qu'on aurait eu le droit à une très grosse pépite. Mais on doit se contenter d'une petite pépite faute d'une mise en scène qui ne parvient pas totalement à toujours être convaincante, notamment en ne respectant pas la barrière des langues et certains plans sont pas terribles comme ceux à moto, et il manque une dimension, un baroque, un je-ne-sais-quoi pour vraiment être soufflé par ce tourbillon prenant mais pas marquant. Un grand spectacle tout de même qui vaut largement le détour.
    Davidhem
    Davidhem

    111 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2012
    Spectaculaire, intense, brillant, le film d'Edward Dmytryk met tout le monde d'accord. Réalisé en 1958, ce long-métrage n'a strictement rien à envier aux autres films de guerre dits modernes du coté des batailles. Au contraire, il définit le vrai cinéma, celui de l'analyse de deux mondes. D'un coté, celui des Allemands hitlériens dont un des généraux est incarné par Marlon Brando. L'acteur interprète sans faille et sans exubérance l'Allemand qui se trouve dans le système provoqué par le traité de Versailles en 1919. Ce traité n'a eu pour effet que d'affaiblir le système économique allemand, il a été rédigé et signé de telle sorte que ces hommes et ces femmes vivant en Allemagne se trouvent exclusivement dans la misère, dans le désespoir, dans l'oppression. Ces gens ont été traités à partir de 1919 plus bas que terre. La crise que traversa le pays en termes économiques, une monnaie faible, du travail mal payé, des gens qui sortaient une brouette d'argent pour s'offrir uniquement une baguette de pain, voilà le système de vie qui leur a été imposé. Or, dès qu'un peuple se sent oppressé, se sent maltraité, massacré, méprisé par les autres nations qui visitent le pays, il paraît dès lors normal que la haine et la vengeance envahissent leurs coeurs. Adolf Hitler, chef du parti de l'extrême droite, profite alors en 1933 d'une élection presque unanime pour ses idées. Ces idées consistaient à redonner de la fierté à son peuple, de se venger de ceux qui les ont condamnés à vivre comme des esclaves. Le sentiment est partagé par tous les Allemands à ce moment et beaucoup d'entre eux s'engagent dans l'armée pour redevenir une grande puissance militaire. Le racisme et la haine de tout le monde envers les autres peuples européens étaient approuvés. Désormais, les règles se résumaient à la discipline, au massacre des minorités comme les juifs, à terroriser et à soumettre les autres nations. Les Allemands étaient devenus des bêtes féroces et leur soif de conquérir et de tuer allait atteindre une ampleur jamais égalée. De l'autre coté, les Américains, qui semblaient bien s'amuser et ne se soucier de rien lorsque l'Allemagne avait envahi la France en un éclair. La chanson, la musique, l'alcool, c'était l'opium de ce peuple. Quand les Américains comprirent qu'Hitler et Staline se guerroyaient, c'est alors qu'ils entrèrent en scène. Le corps militaire américain était très divisé dans ses propres troupes, les soldats s'humiliaient entre eux par bêtise. Montgomery Clift incarne un Américain, il est un pauvre homme, petit et honnête qui doit d'abord affronter les collègues de sa propre armée avant de rejoindre la France en parachute pour tuer les nazis. Le film démontre une nouvelle fois l'indifférence des Français, ces derniers se plaisaient même à vivre au coté des Allemands, la collaboration et les dénonciations étaient une habitude. En définitive, le film montre deux camps qui se sont affrontés, les Américains et les Allemands. Le réalisateur ne caricature pas les Allemands, il les montre comme des soldats qui croient en leur chef et à ses valeurs, il affiche une entente cordiale entre eux et les Français. Qu'ils soient hommes ou femmes, les Français se sont comportés comme des conformistes, la pire race des lâches qui préféraient encore le parti d'Hitler à celui des Russes. Le réalisateur ne juge personne, il laisse ce soin aux spectateurs du film. Grande fresque s'étalant sur plusieurs années, développant l'analyse brillante du comportement des différents peuples, elle affiche une vérité implacable: aucun peuple n'est tout noir ou tout blanc, toutes les personnes sont grises. La haine et la cruauté des Allemands étaient justifiées à cause du traité de Versailles, l'engagement des dirigeants américains prouve une fois de plus leur opportunisme, au point d'envoyer des millions de compatriotes à la mort pour à la fois délivrer la France et d'empêcher les Russes communistes, qui gagnaient au fur et mesure du terrain face à l'Allemagne, d'envahir l'Europe. La seconde guerre mondiale fut horrible. Des millions d'hommes, de femmes et d'enfants auraient pu être épargnés si les Allemands n'avaient pas été si humiliés de la fin de la première guerre mondiale à 1933. Au final, un immense chef-d'oeuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 mars 2012
    N'attendez pas des Ta,ta,ta,ta,ta....... des Boum, paf pif..... ce fim n'est pas à proprement un film de guerre mais un film dont l'histoire se passe pendant la guerre. Parfois un peu long, il laisse cependant au téléspectateur le temps de la réflexion tant l'histoire de ces anti-héros (ou héros de circonstance) est riche d'enseignements..... les destins de trois hommes que tout oppose vont se croiser dans des circontances tellement fortes qu'elles en deviennent presque irréelles, et pourtant possibles. L'amateur de films de guerre que je suis n'a cependant pas été déçu en regardant cette superbe production Hollywwodienne, à la distribution fantastique. "Un vrai grand beau film".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 avril 2012
    Une fois de plus Marlon Brando sait se montrer à la hauteur de son talent! Il nous livre une excellente interprétation de cet officier allemand qui d'abord enthousiasmé par la montée d'Hitler finira par se rendre compte de l'horreur du nazisme. Un de ses plus beaux rôles!
    ElAurens
    ElAurens

    80 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2011
    J'ai un peu hésité entre mettre 2,5 ou 3, j'ai finalement choisi 3 plus pour les qualités de la distribution qu'autre chose. C'est le quatrième film de Dmytryk que je regarde et c'est encore une fois la même constatation, ses films sont longs. Le film évoque plusieurs sujets intéressants, mais part dans trop de choses à la fois selon moi. L'histoire coupée en trois pour raconter le destin de trois hommes est originale, mais n'arrive pas à captiver. Pourtant le casting est grandiose, Lee Van Cleef, Maximilian Schell, Dean Martin et surtout Montgomery Clift et Marlon Brando. Le personnage de Clift fait tout de suite penser à celui qu'il joue dans Tant qu'il y aura des hommes, mais sa performance (bien que réussie) est largement moins bonne que dans le film de Zinnemann, quant à Brando, et bien c'est Brando, le voir jouer un officier nazi qui va peu à peu prendre conscience qu'il hait l'idéologie nazie est très intéressant. Au final j'ai l'impression d'avoir vu un film sans grand intérêt, les plusieurs thèmes abordés ont été bien mieux traités à travers d'autres films du même genre.
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