Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Cette comédie à l'américaine, fourrée d'un rebondissement final, bénéficie de dialogues plus tenus que la moyenne (Laurent Bénégui est également romancier) et Elsa Zylberstein démontre qu'elle a le knack hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Les deux comédiens principaux insufflent vitalité et finesse à une mise en scène soignée mais prudente. Le couple fonctionne à merveille -genre Cary Grant et Audrey Hepburn- et le récit est habilement mené. On se prend à rêver à une suite.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par La rédaction
Enorme pub pour les produits de La Française des jeux, Qui perd gagne ! sonne faux du début à la fin. Et on se demande qui Elsa Zylberstein peut-elle bien impressionner dans ce rôle de femme à poigne ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Une comédie de moeurs désuète, figée dans les années 70. Une forme vieillotte pour une histoire qui s'essouffl. Impair et passe malgré le duo Lhermitte-Zylberstein, le premier en joueur invétéré et manipulateur, et la seconde en flic rationnel qui ne croit pas au hasard.
MCinéma.com
par Camille Brun
Qui perd gagne n'est même pas bien écrit (l'histoire est bourrée d'invraisemblances et jamais on ne rit) et à peine bien interprété. Pendant que Thierry Lhermitte et Elsa Zylberstein ronronnent, on se demande ce que le formidable Maurice Bénichou est allé faire dans cette galère. En fait, QUI PERD GAGNE, c'est plutôt " qui perd son temps ". Et comme le temps, c'est de l'argent...
Première
par Sophie Grassin
Faites vos jeux, rien ne va plus chez Bénégui. S'il séduit (un peu) quand il trousse, sur le modèle des comédies américaines des années 40, les relations conflictuelles entre Angèle et Jacques, il se perd en revanche dans les rebondissements et les ficelles de sa comédie sur la manipulation. N'est pas Lubitsch qui veut. Zylberstein et Lhermitte jouent (en finesse pour l'une, tout en sobriété pour l'autre) et perdent tous deux leur mise.
Télérama
par Marine Landrot
Il n'y a rien à gagner, à part un ennui profond, qui pousse à l'observation obsessionnelle de détails anecdotiques comme le col de chemise de Thierry Lhermitte, peluchant de l'intérieur, ou la composante des menus McDo sur les tables de la brigade des jeux. Le réalisateur du Petit Marguery perd ses étoiles au guide du cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Cette comédie à l'américaine, fourrée d'un rebondissement final, bénéficie de dialogues plus tenus que la moyenne (Laurent Bénégui est également romancier) et Elsa Zylberstein démontre qu'elle a le knack hollywoodien.
TéléCinéObs
Les deux comédiens principaux insufflent vitalité et finesse à une mise en scène soignée mais prudente. Le couple fonctionne à merveille -genre Cary Grant et Audrey Hepburn- et le récit est habilement mené. On se prend à rêver à une suite.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Enorme pub pour les produits de La Française des jeux, Qui perd gagne ! sonne faux du début à la fin. Et on se demande qui Elsa Zylberstein peut-elle bien impressionner dans ce rôle de femme à poigne ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Une comédie de moeurs désuète, figée dans les années 70. Une forme vieillotte pour une histoire qui s'essouffl. Impair et passe malgré le duo Lhermitte-Zylberstein, le premier en joueur invétéré et manipulateur, et la seconde en flic rationnel qui ne croit pas au hasard.
MCinéma.com
Qui perd gagne n'est même pas bien écrit (l'histoire est bourrée d'invraisemblances et jamais on ne rit) et à peine bien interprété. Pendant que Thierry Lhermitte et Elsa Zylberstein ronronnent, on se demande ce que le formidable Maurice Bénichou est allé faire dans cette galère. En fait, QUI PERD GAGNE, c'est plutôt " qui perd son temps ". Et comme le temps, c'est de l'argent...
Première
Faites vos jeux, rien ne va plus chez Bénégui. S'il séduit (un peu) quand il trousse, sur le modèle des comédies américaines des années 40, les relations conflictuelles entre Angèle et Jacques, il se perd en revanche dans les rebondissements et les ficelles de sa comédie sur la manipulation. N'est pas Lubitsch qui veut. Zylberstein et Lhermitte jouent (en finesse pour l'une, tout en sobriété pour l'autre) et perdent tous deux leur mise.
Télérama
Il n'y a rien à gagner, à part un ennui profond, qui pousse à l'observation obsessionnelle de détails anecdotiques comme le col de chemise de Thierry Lhermitte, peluchant de l'intérieur, ou la composante des menus McDo sur les tables de la brigade des jeux. Le réalisateur du Petit Marguery perd ses étoiles au guide du cinéphile.