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Elliot Alderson
15 abonnés
100 critiques
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4,0
Publiée le 3 septembre 2016
Le personnage de Ron est juste hilarant. Épauler par Steve Carell, qui est parfait dans son rôle d'attardé mental ne fait que compléter la bande de présentateurs. L'apparition des guests-stars est sympa et participe à la réussite du film (spoiler: Ben Stiller, Danny Trejo, Jack Black ). Le film apporte une légère critique des médias. Avec cet humour parfois absurde et ridule, on passe un très bon moment devant ce spectacle d'une telle débilité.
Un film poilant au possible ! aussi bon que Zoolander (c'est dire). Vu, vu, et revu...et devenu culte avec le temps! Un film génial ! Je le recommande à tous ceux qui veulent passer une bonne soirée entre potes.
Considéré comme un film du Frat Pack (il n’y manque qu’Owen Wilson) et de la Team Apatow (producteur ici), Anchorman/Présentateur Vedette : La Légende de Ron Burgundy est le premier film réalisé par Adam McKay qui cartonnera 17 ans plus tard sur Netflix avec Don’t Look Up : Déni Cosmique.
Si l’oeuvre ne brille pas par sa finesse, elle s’avère malgré tout assez incisive sur le monde masculiniste et débile de la télévision du sud des Etats-Unis dans les années ’70, qui n’est pas sans rappeler, en France, un certain PPDA quelques années plus tard.
Jouant à la fois de la satire assez féroce et d’un burlesque usuel qui dénote l’influence du Saturday Night Live, dont McKay et Ferrell (scénariste et tête d’affiche) ont fait partie, Anchorman est une comédie inclassable, malheureusement passée inaperçue de ce côté de l’Atlantique.
J'avais commencé en regardant le deuxième volet que j'ai moyennement apprécié mais ce premier volet est nettement meilleur. J'ai rigolé, le casting est très bon et on se laisse porter par la performance de Will Ferrell, monstre de machisme et de mec lourdingue. La période des années 70-80 est très bien rendue avec des costumes et surtout des look capillaires énormes!
Malgré un titre un brin prétentieux ("La légende"...), c'est un film vraiment agréable à suivre, amusant du début à la fin, joué par une belle brochette d'acteurs connus, incarnant certes des personnages tous un peu bêtes dans leur genre, mais surtout très drôles.
Premier film d'Adam Mckay et premier film d'une longue collaboration avec Will Ferrell tous les deux co-scénaristes dans ce projet et le film est à l'image de Will Ferrell c'est à dire bien déjanté et loufoque. Le film est très drôle, ça se passe dans les années 70 dans un univers très machiste ce qui donne des scènes bien absurdes comme quand ils tentent de séduire Christina Applegate. Les personnages sont énormes, bien beaufs en particulier Steve Carell plus abruti que jamais. Tous les acteurs sont excellents en plus il y a beaucoup de caméos bien sympa je vais pas les citer mis à part Ben Stiller qui fait une courte mais très bonne apparition lors d'une bagarre bien folle. Un film à voir si vous aimez le second degrés et on va pas se mentir la débilité.
Pur produit de ce que la Frat Pack a pu nous pondre de plus inepte (de la même manière que les consternants Dodgeball et Starsky & Hutch étrangement sortis la même année), Anchorman cherche à s’attaquer au milieu de la télévision dans les années 70 mais, à force de vouloir prendre comme principal ressort comique le machisme de ses personnages, ne fait qu’accumuler les blagues de mauvais gout et les clichés les plus crétins. Seuls quelques gags et autres caméos sont amusants mais le jeu outrancièrement insupportable et le manque d’expérience flagrant d’Adam McKay qui signait là son premier film, début d’une longue série de navets tous plus idiots les uns que les autres, font de cette bouffonnerie un énième porte-étendard de la culture beauf américaine sans le moindre intérêt artistique.
J'aime bien Will Ferrell. Il se donne à cent pour cent dans chacun de ses films même si ces derneirs sont rarement bons. Malheureusement, ce "Anchorman : the legend of Ron Burgundy" s'ajoute à la longue liste de navets jalonnent la filmographie de l'acteur/humoriste. Cette comédie sur le milieu des présentateurs de journaux télévisés est plus lourde que drôle et rares sont les passages qui réussissent à nous tirer un sourire. Au contraire, l'humour, souvent potache, n'y est pas très recherché et élaboré. En revanche, le long métrage comporte de nombreux caméos fort sympathiques. A éviter.
Ron Burgundy est un mec, un vrai, il a une moustache, et un gros micro, quand ses mains ne sont pas occupées à lever des bières ou taper sur des épaules. Ron est un modèle usé, un héros de film qui a trente ans de retard, mais il ne le sait pas encore, et va se prendre le décalage horaire (annuaire) en pleine poire à l'arrivée d'une présentatrice moderne et affirmée. Pour son premier film en binôme avec Will Ferrell, la star montante du Saturday Night Live (dont il signe les textes), Adam McKay donne le ton de sa future filmo : il va pousser la satire jusqu'à l'absurde, jouer sur les clichés, verser dans des situations (et surtout des personnages) lunatiques. Cette bande de chroniqueurs est délicieusement infecte, entre celui qui se parfume à l'extrait de Panther pour attirer les filles (mais sent le putois), celui qui parle fort et tient son pantalon à deux mains mais ne fait que passer pour le plouc de service, et notre préféré : Steve Carrell. Son personnage est tant en décalage avec chaque scène, qu'on dirait qu'il joue un autre film, ce qui rend ses interventions géniales ("Loud Noises !!!", sa chevauchée d'ours...). Il signe chacun de nos éclats de rire, là où on trouve le scénario de ce Présentateur vedette très attendu, là où on aurait aimé que Christina Appelgate se donne un peu plus (elle se fait parfois bouffer par les impros), là où le rythme n'est pas très constant... Mais on sourit rien que repenser à la tête impassible de Carrell (on ne sait pas comment il fait, vu les impros tordantes qu'il balance), au plaisir évident de Will Ferrell de se payer un rôle principal comme celui-ci, aux vannes qui égratignent les journalistes des chaînes (les services publics prennent cher), aux guests comme Ben Stiller (qui parle espagnol... pourquoi pas), Danny Trejo, Jack Black (...) qui sont en roue libre... On veut déjà revoir Carrell, on rend l'antenne, à vous les studios. And go f**k yourself, San Diago !
Produite par Judd Apatow, une comédie qui offre une peinture aussi grinçante que drôle des journaux télévisés durant les années 70 entre misogynie et rivalités pour l'audimat. Un humour volontairement gras, truculent et assumé mais qui, à mon goût, manque parfois un peu de finesse. Quelques séquences géniales comme la bagarre générale, aussi absurde que délirante. Un casting très impressionnant de Will Ferrell à Christina Applegate dont le duo possède une alchimie évidente, des seconds rôles grandioses avec une préférence personnelle pour Steve Carell parfait en présentateur météo attardé, des caméos savoureux. Un ensemble clairement en roue libre mais une bonne tranche de rigolade.
Sorti en 2005, "Anchorman : The Legend of Ron Burgundy" est une production Judd Apatow réalisée par l'un de ses plus fidèles lieutenants, Adam McKay. Bienvenue dans le monde féroce du journalisme à sensations où la concurrence s'avère plus rude que jamais. Ici elle oppose la vedette Burgundy à la nouvelle arrivante Christina Applegate. Dès le début du film, il y avait pourtant de quoi douter ; "Ron Burgundy" est un long-métrage qui met un certain temps à démarrer, fait d'abord preuve d'hésitation dans son angle comique, favorisant un scepticisme. Mais en milieu de parcours ces craintes finissent par se dissiper peu à peu. On assiste en effet à une véritable montée en puissance de l'humour, caractérisée parfois par des séquences franchement inspirées. On retiendra notamment une scène de baston improbable, série de caméos qu'il serait cruel de spoiler. Au beau milieu de ce show trône le très bon Will Ferrell. Mais il faut dire que celui-ci est à deux doigts de se faire voler la vedette par l'étincelant Steve Carell, hilarant de bout en bout. Une réussite dans l'ensemble.
Un casting sympa (Steve Carell.. énorme), des gags plutôt drôles et un Will Ferell à fond. Ca ne suffit pas à faire une comédie inoubliable mais Ron Burgundy reste un bon moment malgré son scénario un peu bancal.