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    I'm Not There
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    3,1
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    231 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 juillet 2008
    Notation très personnelle puisque je ne dénigre pas le film; je me suis profondément ennuyée tout au long de la séance. Ne connaissant absolument rien de l'artiste, aucune des références présentes dans le film ne m'a interpellé et je n'ai souvent rien saisi. J'avais adoré le film sur Johnny Cash sans rien connaître de lui, là je n'ai pas envie d'en savoir plus. Le film n'est pas linéaire ce qui complique la compréhension, les époques et les personnages représentant l'esprit de l'artiste se succèdent (on a grand plaisir à voir Charlotte Gainsbourg). Je n'avais qu'une envie, que ça se termine, ça m'a semblé interminable. Grosse déception, du temps perdu.
    petithom
    petithom

    10 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2007
    Todd Haynes nous livre un biopic certes original (7 acteurs pour le meme Dylan)mais terriblement confus.J'avoue etre totalement inculte sur la vie de Dylan ce qui me dessert probablement pour comprendre toutes les subtilités d'un film ou il est parfois agréable de se perdre meme si le temps parait parfois un peu long.Les moments avec Cate Blanchett sont par contre tous formidables et les apparitions de Gere meme incompréhensible reposantes.Un film qui me donne une impression mitigée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 décembre 2007
    Certes un beau film joliment accompagné des chansons de bob dylan mais confus au point qu'en sortant de la salle on se demande encore qui est bob dylan! Un biopic qui n'en est pas un, original, mais qui manque cruellement d'efficacité. Haynes pose beaucoup trop de questions en 2h15 qui finissent par franchement nous fatiguer.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 décembre 2007
    Todd Haynes S’offre ici deux heures de monologue rabaissant sans cesse le spectateur si son background n’est pas suffisant. Il n’y a, à aucun moment, une aide, une base pour ceux qui n’y connaissent rien, à aucun moment de structure dans le propos. La découpe, le hachage plutôt, du montage semble hasardeux, l’écriture vide d’objectifs et de sujets forts. Bref on ne comprend rien et on s’ennuie ferme, j’étais d’ailleurs loin d’être le seul dans la salle. Une étoile tout de même pour l’énorme prestation des acteurs (Cate Blanchett est exceptionnelle), la qualité de la photographie et l’ajustement musical.
    al111
    al111

    22 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 décembre 2007
    Admettre que la vie de Bob Dylan ne peut être montrée en un seul film, ce pourrait être une preuve de modestie, une marque de respect pour l’artiste.
    Cette vie trop complexe est donc déclinée en six personnages, joués par six acteurs différents, dont une femme (Cate Blanchett) et un enfant.
    Ceux qui viennent chercher une narration linéaire, une sorte de biopic (comme on dit maintenant) de Bob Dylan, même parcellaire, même fantasmée, en seront pour leurs frais. C’est un grand bazar, visuellement soigné, mais dans lequel on se perd vite : il semble qu’il n’y ait pas de direction, de fil conducteur. Les admirateurs du chanteur compositeur risquent d’être fort déçus par cette gigantesque esquive, et ceux qui ne connaissent rien ou presque de sa carrière s’ennuient profondément : dialogues sans queue ni tête, montage chaotique, personnages indéfinis, on se demande parfois si le projectionniste ne s’est pas amusé à découper le film pour le remonter de façon aléatoire. Quelques scènes surnagent, quelques éclairs d’émotion, comme les répliques scandées de Marcus Carl Franklin, ou la rencontre d’une des multiples entités de Bob Dylan avec le personnage joué par Charlotte Gainsbourg.
    Grosse déception donc pour ce délire pseudo-intello, où l’ennui côtoie la prétention, et où le vide fait office de scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 décembre 2007
    Et si Bob Dylan n'existait pas? Et si c'était un mythe, un fantôme, une figure allégorique? Après avoir vu "I'm not there", plusieurs seront tentés de le croire. Pourtant, ce qui semble pure invention dans cette folie filmique a réellement existé, chaque détail étant tiré de la "vraie" vie de Dylan. Le facétieux Todd Haynes écrit ici une nouvelle page de l'histoire du cinéma avec un biopic atypique. Et encore, ce n'est pas un biopic. Mais qu'est-ce alors? On ne sait pas. Un ovni peut-être, un film qui, comme son auteur, se réinvente constamment, qui fusionne sans arrêt pour perturber son spectateur et l'emporter dans un spectacle des plus confondants (il peut être dur de croire que ces six acteurs incarnent un même tout, et pourtant parfois on y croit). Car Dylan, c'est aussi eux, ces acteurs d'exceptions, dont le jeune Ben Wishaw (dont on constate avec soulagement que son rôle de Jean-Baptiste Grenouille ne lui colle pas à la peau), mais aussi la découverte Marcus Carl Franklin, mais surtout elle, Cate Blanchett (qui, malgré un compteur qui tourne à quatre films par an, peaufine ses choix). Un rêve les yeux ouverts, orchestré par l'un des meilleurs cinéastes indie, le toujours bordeline Todd Haynes. En optant pour une trame proche de son fabuleux "Velvet goldmine", il met en place un chaos coordonné sur la quête d'identité et des troubles de la célébrité, qui témoigne d'un savoir faire de la réalisation bluffant, composant un portrait avec des touches de western, biographie classique, road-movie, et ajoute une corde à son arc après avoir excellé dans l'art du mélo ("Loin du paradis"). D'ailleurs, Haynes, c'est un peu Dylan, un zozo aux mille facettes, capable du pire comme du meilleur. Son film est loin de la perfection, surtout sur le plan rythmique, inégal dans l'alignement foutraque de ses séquences. Et pourtant, dans ses plus belles séquences, il s'agit d'un monument du cinéma moderne, doublé d'une ode à la créativité, même la plus folle. Dont act.
    karagounis
    karagounis

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2007
    Cet après-midi j'ai vu un étrange objet filmique nommé "I'm not there" de Todd Haynes qui relate des moments de la vie de Dylan tout en essayant de cerner l'insaisissable : sa personnalité.

    Le film est vraiment très particulier juxtaposant 6 interprètes différents de Dylan à des époques différentes (dont la sublime Cate Blanchett (serais-je un peu amoureux ?)). Le film n'évite pas certaines longueurs, et se la joue un peu arty/intello parfois ce qui peut agacer. Mais la beauté plastique, la qualité de l'interprétation (Haaa Cate, mais aussi le jeune Marcus Carl Franklin bluffant ou Heath Ledger), le montage en aller-retour entre époques différentes (qui étrangement ne nous perd pas) et la musique de Dylan (énorme, géniale, fondamentale pour le folk, le rock) rendent ce film terriblement attachant et jubilatoire même parfois.

    Est-il nécessaire de connaître Dylan pour apprécier le film ?

    Je pense que c'est un plus qui aide, sinon on peut passer à côté.

    Malgré ses défauts et ses imperfections, ce film agit comme une drogue.
    La preuve ?
    J'ai une furieuse envie de le revoir (mais j'adore Dylan donc ceci explique cela)

    A noter un morceau inédit (ou en tout cas dont je ne connaissais pas l'existence) sublime et poignant : celui qui donne son titre au film.
    termal
    termal

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2007
    Vous attendez une bio d'artiste allant de A (la formation) à Z (le vieux sage), vous ne l'aurez pas et mieux vaut passer votre chemin si vous n'êtes pas prêt à accepter autre chose. Mais ce serait vraiment très dommage! En faisant imploser le genre, Todd Haynes fait mieux qu'une bio, que le portrait d'un homme, que la peinture d'une époque. En ne faisant rien de tout cela, il obtient tout. Paradoxe de la fragmentation et des liens apparemment illogiques, ils permettent parfois de donner une vue plus large et plus dense de ce qu'il est difficile d'approcher en tirant sur un seul fil narratif. A plus forte raison lorsque le sujet du film a toujours tout fait pour échapper aux tentatives de l'épingler, quand il était déja ailleurs lorsqu'on croyait savoir où il se trouvait. Martin Scorsese, dans son documentaire No Direction Home, posait avec insistance la question de savoir d'où il venait, où il allait, et s'il avait jamais trouvé sa demeure. Haynes ne fait pas autre chose, mais de façon plus radicale, en questionnant la nature et l'existence de l'être lui-même. Je ne pense pas qu'il faille être dylanologue pour apprécier ce film, et d'ailleurs je ne le suis pas. En revanche, quelques repères sont préférables, sur l'époque, l'histoire des Etats-Unis, les questionnements et les débats autour des artistes, de leur rôle et de leur parole. Plutôt que de jouer le documentaire (qui dirait forcément la vérité) contre la fiction éclatée et insensée, il faudrait plutôt voir Scorsese et Haynes comme complémentaires, les deux cinéastes approchant le mystère Dylan par le même versant: l'échappée permanente, la fuite, la rupture. Mon conseil serait néanmoins, pour ceux qui ne connaissent vraiment rien à Dylan et pour qui les enjeux des années 60 sont lointains, de voir le Scorsese en dvd avant. Cela étant, même si on n'en saisit pas tous les enjeux et références, ce film est assez singulier et stimulant pour passionner tout spectateur qui acceptera de se laisser décontenancer.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2007
    ...I'm not there est une expérience cinématographique unique comme il est rare d'en voir de nos jours. Une plongée dans un monde irréel, onirique mais auquel on croit facilement. Elle est d'autant plus facilité par une mise en scène inspirée au service d'un scénario intelligent, fin, drôle et touchant à la fois. Un vrai tour de force, une grande réussite tant sur la forme que sur le fond. Coup de coeur incontournable de cette fin d'année...suite sur mon blog
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 décembre 2007
    long, trop long.
    1ere partie très bonne.
    2eme partie on s'ennuie, on trouve le temps long, meme la bo ne retient plus notre attention.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 décembre 2007
    Je ressors de la vision de ce film avec une impression très mitigée.
    Formellement, aucun reproche, la mise en scène est très bien, les acteurs aussi.
    Sur le fond par contre je suis déçu, j'attendais d'en apprendre plus sur l'itinéraire et les motivations de Bob Dylan, et sur ce plan là, le film reste assez incompréhensible, à moins d'être dylanophile averti ce qui n'est pas mon cas.
    On ne comprend pas trop ce qu'à voulu faire le réalisateur avec le personnage de Richard Gere par exemple.
    De plus, les allers retours vers chacun des personnages finit par réellement lasser, la dernière demi-heure paraît vraiment longue.
    Et pourtant le film recèle de très bonnes choses en particulier le fait de n'y passer pratiquement que des chansons de Dylan peu connues mais excellentes.
    Je pense que ce film gagnera à être vu en DVD avec le commentaire du réalisateur. Tel quel, il est à réserver aux fins connaisseurs, les autres passez votre chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 décembre 2007
    Un décodeur (avec, en prime, un "Dylan pour les Nuls") devraient être impérativement fournis à l'entrée de chaque salle projetant ce film. J'aime bien le chanteur mais, ne faisant pas partie de la "génération Dylan", je ne suis pas très familière avec l'homme/sa vie/son oeuvre et le parti-pris de Todd Haynes ne m'avance pas plus. Voila un puzzle prétentieux, chichiteux et dégageant un ennui certain. Où est passé le Todd Haynes/période "Velvet goldmine" volontiers déjanté, original et captivant ? De plus, je n'ai pas trop accroché à certains numéros d'acteurs (Cate Blanchett en plein délire transformiste, Richard Gere qui nous fait son "American rigolo" ou la Charlotte Gainsbourg dans une panouille destinée probablement à servir de "mémo" aux castings men d'Outre-atlantique)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2007
    Le meilleur film que j'ai jamais vu ! film absolue !
    de grands moment, dur à suivre et à aimer au début mais plus on avance et plus l'on est séduit et comprend qu'il ne faut pas élucider un mystère mais le vivre ! ceux qui n'ont pas aimer sont ceux qui s'attende à quelque chose de classique mais ici on laisse place à un "nouveau" genre de cinéma, très fouillé, original et surtout hypnotique. Le meilleur moment selon moi est le passage de la chanson Goin' to Acapulco lors du personnage " Billy the kid", grand moment de frisson dans tout le corps. Les prise de vue, les passage d'un personnage à un autre paut paraitre déroutante au début mais au final l'on comprend que chaque transition à un lien très fort et étroit dans le déroulement de l'histoire. pour les fan de Dylan pur et dur évitez d'analyser bêtement, mais regardez ! ressentez, Tod Hayne à vu juste et risque de tout remporter !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2007
    Je connais mal l'oeuvre et le personnage de Bob Dylan.
    Et pourtant... Mon dieu pourtant j'y suis allée sans aucun a priori et surtout surtout sans avoir l'idée ( saugrenue) de voir une bio dans la veine de Walk the Line.
    Pour "sentir" ce film, il faut s'ouvrir. Rester le plus spongieux possible, pour capter chaques scènes, sans vouloir les disséquer ni les interpréter... une émotion... pourquoi vouloir expliquer une émotion. Ca se ressent. Ca se vit. Ce film se ressent et se vit.
    Les dialogues sont précis, incisifs, parfois droles, parfois ineptes, mais toujours à leur place.
    Les acteurs. La par contre je suis moins euphorique que pour le scénario, la bande originale ( phénoménale!!!) la mise en scène, la photo... Cate Blanchett est tout simplement renversante d'émotion, de vérité, de justesse.
    Christian Bale est à sa place, en place.
    Ben Wishaw n'a pas hérité du rôle le plus fascinant hélas mais pourtant il reste dans la droite ligne de la crédibilité. Lisse. Parfaitement inerte. Magnifique d'inexpression. ( ceci est un compliment)
    Le bémol est ce pauvre richard gere qui ne reussit rien de rare dans le role de ce pauvre Billy the kid, qui ne méritait pas ça.
    Pour Heath ledger hélas meme tarif... un jeu d'imitation pauvre et pâle.
    Mais ce n'est pas pour autant que ça fait décrocher.
    J'étais renversée, bouleversée, impregnée de chaque mot, chaque image. Des émotions à l'état brut à chaque respiration. Merci!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 décembre 2007
    Le scénario est complexe pour quelqu’un qui ne connaît pas la vie de Bob Dylan, mais j’ai particulièrement apprécie la grande beauté des images et de la musique. Dommage, cela dit, qu’autant de longueurs se fassent ressentir.
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