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Cynisme facile, satire sociale poussée à l'extrême, une photo granuleuse trop crue pour être vraie, un script métronomique, ce film avait tout pour s'effondrer. Mais (...) Ra'anan Alexandrowicz s'en sort plutôt bien. L'énergie faussement béate de sa mise en scène sculpte habilement les attributs sociologiques du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Alexandrowicz filme ses personnages avec beaucoup de tendresse, sans concession, leurs mesquineries relevant davantage de l'égoïsme que du simple calcul froid.
Alexandrowicz ne succombe jamais à la caricature machiavéique ou au misérabilisme. Ses personnages, interprétés avec une certaine humanité, sont aussi touchants que salauds.
(Le Voyage de James à Jérusalem) n'est en rien simplet. Son ironie tisse, jusqu'à la facétieuse élégance de sa pirouette finale, une leçon complexe, d'une mélancolie aussi subtile que désabusée.
Le film est à l'image de son héros : drôle et naïf (...) La musique entraînante et le jeu énergique et joyeux de Siyabonga Melongisi Shibe apportent beaucoup de légèreté à cette fable humaniste (...)
Entre innocence et cupidité, le filme dresse le portrait attendrissant d'un pays en frîche. James caresse la violence d'une société de débrouilles avec le sourire qui sied à la sagesse. C'est parfois la meilleure façon de faire passer les messages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bonne bouille et sourire ravageur, le comédien fait de James un personnage aérien, une sorte de saint joyeux, patient, attentif, généreux. Comme dans tout bon récit picaresque, c'est à travers son regard qu'on découvre cet Israël de nouveaux riches.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Alexandrowicz porte un regard sans concession sur ses contemporains ; mais comme il le fait de manière espiègle et percutante, il souffle sur son premier long métrage un air léger et humaniste.
En donnant à son film la forme d'un conte (...), l'auteur lui enlève toute portée sociale et politique (...) Inoffensif, Le Voyage de James à Jérusalem n'en reste pas moins une comédie agréable, rythmée par une belle musique africaine et portée par la présence lumineuse de son acteur principal (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Aden
Sur le ton d'une comédie à l'italienne, tendre et espiègle, Le voyage de James à Jérusalem est une parabole sur le système occidental.
Chronic'art.com
Cynisme facile, satire sociale poussée à l'extrême, une photo granuleuse trop crue pour être vraie, un script métronomique, ce film avait tout pour s'effondrer. Mais (...) Ra'anan Alexandrowicz s'en sort plutôt bien. L'énergie faussement béate de sa mise en scène sculpte habilement les attributs sociologiques du scénario.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Alexandrowicz filme ses personnages avec beaucoup de tendresse, sans concession, leurs mesquineries relevant davantage de l'égoïsme que du simple calcul froid.
Les Inrockuptibles
Alexandrowicz ne succombe jamais à la caricature machiavéique ou au misérabilisme. Ses personnages, interprétés avec une certaine humanité, sont aussi touchants que salauds.
Libération
(Le Voyage de James à Jérusalem) n'est en rien simplet. Son ironie tisse, jusqu'à la facétieuse élégance de sa pirouette finale, une leçon complexe, d'une mélancolie aussi subtile que désabusée.
MCinéma.com
Le film est à l'image de son héros : drôle et naïf (...) La musique entraînante et le jeu énergique et joyeux de Siyabonga Melongisi Shibe apportent beaucoup de légèreté à cette fable humaniste (...)
Première
Entre innocence et cupidité, le filme dresse le portrait attendrissant d'un pays en frîche. James caresse la violence d'une société de débrouilles avec le sourire qui sied à la sagesse. C'est parfois la meilleure façon de faire passer les messages.
TéléCinéObs
Sous son air léger, ce film brosse un portrait acerbe de la société israélienne d'aujourd'hui. Mention spéciale à l'acteur Siyabonga Melongisi Shibe.
Télérama
Bonne bouille et sourire ravageur, le comédien fait de James un personnage aérien, une sorte de saint joyeux, patient, attentif, généreux. Comme dans tout bon récit picaresque, c'est à travers son regard qu'on découvre cet Israël de nouveaux riches.
aVoir-aLire.com
Alexandrowicz porte un regard sans concession sur ses contemporains ; mais comme il le fait de manière espiègle et percutante, il souffle sur son premier long métrage un air léger et humaniste.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
En donnant à son film la forme d'un conte (...), l'auteur lui enlève toute portée sociale et politique (...) Inoffensif, Le Voyage de James à Jérusalem n'en reste pas moins une comédie agréable, rythmée par une belle musique africaine et portée par la présence lumineuse de son acteur principal (...)
TéléCinéObs
Le film brosse un portrait acerbe de la société israëlienne.