Avis : Duel - Page 7

Un de mes films favoris de Spielberg, à ne pas manquer!

Un film simple, mais angoissant
une seule route, un malade qui vous suit
vous faîtes quoi ?
A l époque y a pas Uber pop

Un film totalement bourin, bien mieux que mad max, Duel est considéré comme le premier film choc de Spielberg et on le comprend, le suspense est casi insupportable. Un excellent divertissement.

Avec pas grand chose,Steven Speilberg réalise un trés bon film a suspens.Je ne met pas 4 étoiles a cause de la scéne dans le bar trés longue et ennuyeuse.

Un énorme suspense dans l'un des premiers films de Steven Spielberg qui a rencontré un énorme succès. Un film qui nous coupe le souffle du début à la fin du film.

Juste un mot, Waou ! On est pris dans l'intrigue, qui est certainement la plus simpliste de l'histoire du cinéma ! Et pourtant ! On est vraiment pris dedans ! Du grand art ! Culte !

Le premier film de Spielberg, et pourtant ! Malgré un scénario simple et un budget limité, le jeune Steven bâtit un véritable thriller psychologique d'une densité remarquable. La tension est maîtrisée avec talent. Le décor sert merveilleusement la dimension claustrophobique et schizophrénique du film. C'est une réussite sur tous les plans.

Film culte, étrange et psychologique. L'histoire est très simple et ne paye pas de mine et pourtant la tension qui s'installe et s'impose peu à peu nous empêche de décrocher. Le gros problèmes reste cette difficile première demi heure, ou il ne se passe pas grand chose et qui est très lassante.

Duel ou comment avec zéro budget on peut faire un film qui tient la route...Très bon 1er film de Spielberg ou l'on retrouve tous les ingrédients qui font un bon thriller, le tout à partir d'un scénario simple mais efficace. A découvrir

je sais que c'est steven spielberg qui l'a réalisé , que c'est son premier film, qu'il était très jeune, donc forcément ça sonne bien...mais là il faut pas exagérer l'hypocrisie!!!
car duel est un film amoral, bourrin et pas très instructif! franchement, où en est l'intérêt?
je mets quand même une étoile car j'ai trouvé ça vraiment gonflé et assez marrant de faire un thriller avec...un gros camion destructeur!!!! ce genre de david contre goliath nous as quand meme bien fait marrer..

Pour ma part l ayant découvert ce soir le scénario est d une banalité et beaucoup d' incohérence ce film fait passer le temps mais sans plus ...je mets 2,5 en guise d' encouragement pour ce jeune réalisateur ,il mérite a etre connu ( humour ) !

Assez bon film, original et bien réalisé (c'est d'ailleurs un des seuls Spielberg qui vaille le détour). Par contre, on s'ennuie un peu à la longue.
Il vaut quand-même la peine à être regardé...

Cette ambitieuse proposition de nous conserver hantants grâce à une course poursuite pendant 90 minutes échoue à nous embarquer pleinement. Assurément la faute n'en est pas à la mise en scène, réfléchie, parlante, symbolique de Spielberg qui transforme ce camion en ogre ou cette route en jeu de piste. Cependant le choix d'un comédien dénué de tout charisme, bien que cela serve l'idée de la proie qui cherche en une personnalité d'abord soumise voire pleutre les ressources nécessaires à sa survie, empêche empathie ou intérêt. Ainsi, malgré une variété des attaques du chasseur s'amusant à harceler notre anti-héros, la dynamique halète - sans doute par manque de moyens pour travailler effets sonores ou nerveux. Décevant.

Premier hit certifié d'un certain Steven Spielberg, Duel est avant tout la rampe de lancement qui va envoyer le cinéaste en orbite (d'où il n'est toujours pas redescendu d'ailleurs). À l'origine, une nouvelle de Richard Matheson. En ligne droite, simple et d'un seul tenant. À la lecture, Spielberg jubile. Voilà un projet qui va lui permettre de marcher dans les traces d'un de ses modèles, Alfred Hitchcock. Produite pour quelques 400.000 dollars, la transposition télé est l'étape suivante logique pour le jeune réalisateur (qui vient de signer quelques épisodes de séries, parmi lesquelles Columbo). Oui, Duel était d'abord un téléfilm. Et c'est là que le génie de Spielberg entre dans la partie, puisque son ambition artistique à elle-seule va propulser le projet au-delà de sa catégorie.
À l'arrivée, le film s'impose comme l'un des tops départs les plus foudroyants jamais vu pour un metteur en scène. Rien que sur le cadre, Duel est un morceau de bravoure ininterrompu. Puisque l'intrigue se limite à une poursuite dans le désert, Spielberg décide s'en sert comme le terrain de jeu pour expérimenter tous les angles et toutes les valeurs de plans à disposition : panoramique, caméra embarquée, voiture-travelling, steadycam, plan débullé, décadrage, hors-champ,...Une véritable mine d'or créative, renforcée par un montage proprement fabuleux, jouant à merveille sur la notion de menace (que Spielberg confirmera dans Les Dents de la Mer). La base admirablement dépouillée de Matheson est habillée par un sens du rythme imparable et des points de bascule intelligemment placés. Je pense notamment à l'apparition d'une voix-off, prolongeant l'enfermement progressif du spectateur, qui n'est plus seulement cloisonné dans la voiture mais dans la tête de son malheureux propriétaire (formidable Dennis Weaver). Ou la séquence du passage à niveau, où le découpage devient fou furieux.
L'autre bonne idée du film est de laisser le fantastique se frayer une place dans un récit à priori tout ce qu'il y a de plus terre-à-terre. En dépersonnalisant l'antagoniste, Duel prend des allures de western motorisée entre l'homme et la machine, simultanément planche de salut et moyen de mort sur roues. On en arrive presque à une abstraction, uniquement dirigée par la mécanique (du suspense) et le mouvement. Peu importe donc que le film s'essouffle légèrement dans son dernier quart. Le spectacle était de très haute volée, et la virtuosité de son orchestrateur terrassante. Il ira loin celui-là...

Un grand classique du cinéma, ou l'art de créer du suspens sur un non évenement . Ce film est de fait un marqueur dans l'histoire du cinéma, et cette piste de l'épouvante "Soft" , sera beaucoup travaillée par la suite. Mais il faut reconnaitre à Speilberg le génie d'avoir été le premier à oser. Une réussite.