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Une lourde fable ésotérique dans laquelle sectes sataniques et sacrifices d'enfants, dislocation familiale et paranoïa gnangnan font office de passeport pour l'angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Si l'on peut mettre au crédit de Paco Plaza d'avoir su éviter les outrances sanguinolentes, sa mise en scène n'en demeure pas moins très laborieuse (...), dénotant, en l'absence de personnages ancrés dans le réel, une conception symbolique et surannée de l'inquiétude métaphysique qu'elle prétend illustrer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paco Plaza, 29 ans, a bien appris les leçons du cinéma d'angoisse : ambiance glaciale, musique grandiloquente pour dire " brr, ça fait peurrr ", références à Hitchcock et Polanski... Mais avant d'arriver à la cheville des maîtres du suspense, il va falloir qu'il se shoote au Gurozan (...)
Un roman-photo qui collectionne les poncifs sur le paranormal et nous laisse sur cette prédiction menaçante : les abrahamistes n'ont pas fini de sévir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dommage que sur un tel sujet, Paco Plaza décide de gommer toute émotion. Cernée par la mort, la jeune actrice, Erica Prior, ne tient pas la distance. Un peu comme cette histoire alambiquée, trop lissée, trop explicative, pour envoûter.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Chronic'art.com
Une lourde fable ésotérique dans laquelle sectes sataniques et sacrifices d'enfants, dislocation familiale et paranoïa gnangnan font office de passeport pour l'angoisse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Si l'on peut mettre au crédit de Paco Plaza d'avoir su éviter les outrances sanguinolentes, sa mise en scène n'en demeure pas moins très laborieuse (...), dénotant, en l'absence de personnages ancrés dans le réel, une conception symbolique et surannée de l'inquiétude métaphysique qu'elle prétend illustrer.
Les Inrockuptibles
Rencontre étrange avec des disciples du culte abrahamiste. Un scénario intrigant mais sous neuroleptiques.
Première
Avec ce premier long métrage, le jeune Paco Plaza agrandit le cercle d'un cinéma fantastique espagnol caractérisé par un standard de qualité élevé.
MCinéma.com
Paco Plaza, 29 ans, a bien appris les leçons du cinéma d'angoisse : ambiance glaciale, musique grandiloquente pour dire " brr, ça fait peurrr ", références à Hitchcock et Polanski... Mais avant d'arriver à la cheville des maîtres du suspense, il va falloir qu'il se shoote au Gurozan (...)
Télérama
Un roman-photo qui collectionne les poncifs sur le paranormal et nous laisse sur cette prédiction menaçante : les abrahamistes n'ont pas fini de sévir.
Zurban
Dommage que sur un tel sujet, Paco Plaza décide de gommer toute émotion. Cernée par la mort, la jeune actrice, Erica Prior, ne tient pas la distance. Un peu comme cette histoire alambiquée, trop lissée, trop explicative, pour envoûter.